
Aéro Vodochody L39C Albatros

Grumman AG-CAT « Pompier volant »

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TBM-3E Avenger HB-RDG à la Ferté 2010


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Prochaine étape des vols d’essai de Solar Impulse : Le vol de nuit
Au départ, un pari fou : l’ambition de faire le tour du monde en avion solaire sans carburant. Dans un monde dépendant des énergies fossiles, le projet Solar Impulse est un paradoxe, presque une provocation : il vise à faire décoller et voler de façon autonome, de jour comme de nuit, un avion propulsé exclusivement à l’énergie solaire, jusqu’à effectuer un tour du monde sans carburant ni pollution. Un but inaccessible, sans repousser dans tous les domaines les limites des technologies actuelles…
Au cours du vol, Markus Scherdel a rencontré malgré tout quelques problèmes. D’abord un phénomène vibratoire est apparu au moment où le pilote entamait un test de descente rapide. La manœuvre a été immédiatement stoppée et un hélicoptère s’est approché du Solar Impulse pour permettre une inspection visuel et constater qu’il n’y avait à priori aucun dommage.
Peu de temps après, le moteur N°4 a commencé à avoir des ratés, sans conséquence toutefois, ni pour le pilote, ni pour l’avion. Toutefois, il a alors été décidé d’interrompre le vol. Markus Scherdel a du attendre trois heures de plus en vol que le vent se calme sur l’aérodrome de Payerne avant de pouvoir se poser.
Rencontrer ce type de problèmes sur le prototype d’une machine aussi novatrice que le Solar Impulse n’a rien d’anormal, les ingénieurs et techniciens du projet vont dépouiller les résultats de ce vol essai afin d’apporter les corrections nécessaires.
Altran (partenaire officiel d’ingénierie) annonce pour dans quelques jours la prochaine étape du projet qui sera cruciale : le premier vol de nuit de Solar Impulse.
Sources des informations :
Solar Impulse : http://www.solarimpulse.com/
Page Altran dédiée au projet : http://www.altran.com/solarimpulse
Twitter officiel de l’événement : http://twitter.com/solarimpulse
AeroBuzz : http://www.aerobuzz.fr/
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Crash du FW190 F-AZZJ en baie d’Hyères
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Marc « Léon »Mathis à bord du FW190 F-AZZJ à La Ferté Alais 2010
© Liliane Cotton |
L’avion s’est crashé à 14 h 50 à quelques dizaines de mètres du rivage hyérois, au lieu-dit « La Marquise ». Ce sont les employés d’une concession de jet-ski qui ont aidé le pilote à s’extraire de l’habitacle. « Ils ont pris un couteau et ont coupé les sangles du parachute retenant le pilote », a rapporté l’un des employés.
Marc Mathis, indemne, a été pris en charge par les marins-pompiers de la base aéronavale du Palyvestre. « C’est la douzième fois que mon moteur me lâche et que je dois me poser en catastrophe », a confié, très calme, le pilote qui compte près de 1600 heures de voltige. Précision c’était la 1ère panne du moteur Ash-82T du F-AZZJ construit en Russie qui n’avait pas causé de problème particulier en 36 heures de vol. Marc Mathis a exploré le domaine de vol de l’avion et mené tous les essais lors de ses premiers vol.
Le F-AZJJ a été relevé le 16 juin par le bateau Paul B de la société Jifmar Offshore Services, Vous pouvez voir les images sur http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=113494 .
Sources des informations :
Var Matin : http://www.varmatin.com
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Mermoz et le LATÉ 25 F-AIEH en Argentine

C’est avec cet avion que Jean Mermoz et son mécanicien Alexandre Collenot durent se poser en catastrophe sur un plateau à 4200 mètres dans la cordillère des Andes en voulant explorer la route du nord par Copiapo entre Santiago du Chili et Buenos Aires en Argentine. Mermoz et Collenot décollent de Santiago et cherchent un passage dans cette barrière montagneuse. L’avion plafonne à 4200 mètres, alors que les cols les plus accessibles sont au minimum à 4500 mètres. Mermoz finit par trouver un courant ascendant le long des parois qui aspire littéralement le Laté 25, lui permettant de passer un col à 4500 m, mais il rencontre des forts vents rabattant sur l’autre versant. Le moteur à plein régime est insuffisant pour contrer ces courants violents, rapidement, il repère une plate-forme couverte de neige, coupe le contact, cabre son appareil au niveau du sol qui s’immobilise entre des pierres après de multiples chocs. L’avion est assez abîmé et devant l’importance des dégâts qui semblent à première vue irréparables, train d’atterrissage faussé, un pneu éclaté, la béquille de queue arrachée, des longerons brisés, Mermoz et Collenot tentent de rejoindre la vallée à pied. Devant les difficultés de la marche à entreprendre, ils renoncent et reviennent à l’avion pour tenter les réparations. Voici le récit fait par Mermoz: « trois jours et deux nuits à 4000 m d’altitude par 16 à 26 degrés sous zéro, mourants de faim (mon mécano ayant oublié les vivres de réserve), réparant notre train d’atterrissage très légèrement affaissé d’un côté et notre empennage un peu arraché sur un rebord de rochers. Conduites d’eau éclatées par le froid. Réparations faites avec du chatterton, des bandes de toile et de l’émaillite. Décollage après 3 km de bonds par dessus trois ravins. Plafond de l’appareil maximum 4500 m. Régime plein moteur 1580 tours soit 330 CV. J’avais repéré à l’avance les endroits où je devais toucher les roues pour faire les bonds prévus. Tout s’est bien passé et lh40 après j’atterrissais à Copiapo, mon point de départ.
Trois jours après, je repartais pour Santiago puis, franchissant la Cordillère, je ramenais l’appareil à son point de départ… «
Sources des informations :
- AEROPOSTALE d’Edouard Bobrowki
- De Latécoère à l’Aéropostale : http://www.memoire-aeropostale.com
- Mémoire d’Aéropostale : http://www.memoire-aeropostale.com
- Le défi de l’Aéropostale : http://aeropostale-ulm.blog.lemonde.fr
- Terra-incognita : http://terra-incognita.over-blog.fr
- Aerostories : http://aerostories.free.fr
- Musée National de l’Aéronautique (Moron Argentine) : http://www.museonacionaldeaeronauticamoron.blogspot.com/
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ATEC ZEPHYR 2000
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North American T6 F-AZRB à La Ferté Alais 2010

Vous pouvez admirer quelques étapes de ce travail et lire son histoire sur le Forum Pégase.TV :
Pour plus d’informations visitez : http://www.f-azrb.com
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Histoire d’une base aérienne : La BA 112 de Reims
À la veille de la fermeture de la BA 112, annoncée pour 2011, ce livre représente un travail important pour préserver la mémoire de notre histoire aéronautique.
Marines Éditions : http://www.marines-editions.fr/
mai 2010, 280 p, reliure cartonnée, 210 x 290 mm, 450 photos, 40€
FRÉDÉRIC LAFARGE :
Chargé de la communication à la BA 112 depuis 1999, Frédéric Lafarge est également administrateur du musée de la base aérienne 112 et de l’aéronautique locale. Historien,

JEAN-PIERRE CALKA :
Ancien contrôleur aérien militaire, Jean-Pierre Calka a servi plusieurs années
à Reims avant de prendre sa retraite en 2002 avec le grade de major. Passionné d’histoire, il est auteur d’articles parus dans la presse spécialisée.
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Jack Krine

Jack Krine à bord du MS317 F-BCNL de l’AJBS ©Liliane Cotton
Jack Krine, né à Corné (Maine et Loire) en 1944, est venu à l’aviation à l’âge de 15 ans, grâce à l’obtention d’une bourse de l’Armée de l’Air. Il passe alors son brevet de pilote avion sur Piper J3 Cub, ainsi que son brevet de planeur (catégorie D).
A 19 ans, il réussit le concours de l’Armée de l’Air et entre à l’école élémentaire de Cognac où il vole sur North American T6, puis sur CM170 Fouga Magister et enfin Lockheed T33. Il est breveté pilote de chasse en 1965 sur Mystère IV. Il rejoint ensuite sa 1ère affectation sur la base aérienne 110 de Creil où il vole sur SMB2 durant 2 années. De 1968 à 1970 il est instructeur sur la BA 709 de Cognac, où il aura un réél coup de foudre pour le Fouga Magister. Il retourne ensuite à Creil jusqu’en 1976, et où il est transformé sur Mirage III et obtient alors son brevet de chef de patrouille de chasse. Nommé officier adjoint des opérations de l’escadre 2 ans plus tard, il assume en même temps les fonctions d’officier de sécurité des vols, ce qui lui permet ainsi de voler sur Mirage III, SMB2, T33, Broussard, MD312 et Fouga. Il participe à l’évaluation en combat aérien du Mirage III et du Mirage F1 au Centre d’Expérimentation Aérienne de Mont-de-Marsan. En 1976, il intègre la Patrouille de France sur Fouga Magister il y sera leader solo en 1977 et 1978.
En 1978, il quitte l’Armée de l’Air pour devenir pilote de ligne à Air-Inter absorbé ensuite par Air France, ce qui lui permet de voler aux commandes du Fokker 27, de la Caravelle, de plusieurs types d’Airbus et du Mercure. Pilote de ligne à Air France, il occupe la fonction de Commandant de Bord et instructeur sur Airbus A320.
Sources des informations :
Patrouille TRANCHANT : http://fouga.patrouille-tranchant.com
Ailes Anciennes de Haute Savoie : http://www.ailesahs.com
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SIAI-Marchetti SF.260 de BAUVECHAIN

Réponse à la question de la semaine précédente, la gueule de requin est peinte à l’avant de ce SIAI Marchetti SF-260M (ST-24 cn1024). Venant de leur base de Bauvechain (EBBE), ils sont arrivés à Reims Prunay (LFQA) en patrouille de 5 SF 260 à gueule de requin accompagnant le sixième spécialement décoré pour fêter les 300 00 heures effectuées sur ce type d’avion en quarante année de service dans l’armée belge. Vous pouvez voir sur cette vidéo que la base de Bauvechain prépare activement son meeting qui aura lieu les 3 et 4 juillet 2010.

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Pilatus PC12 HB-FVZ
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