Premier vol réussi pour l’avion solaire « Solar Impulse 2 »
1914-2014 : la BA 102 de Dijon a 100 ans ! (2ème partie : 1940-2014)
À compter de juin 1940 et pendant plusieurs mois, l’occupant retint sur l’aérodrome, devenu le « Frontstalag 155 », quantité de prisonniers de guerre – trente mille y furent internés – auxquels fut confiée, notamment, la remise en état des lieux. Consciente du potentiel offert par les installations de la base bourguignonne, la Luftwaffe y installa une école de perfectionnement au bombardement, unité qui, dénommée IV/KG 55 et dotée de Heinkel 111, ne devait quitter Dijon qu’au printemps 1944. Pendant toute la durée de la guerre, l’aérodrome fut le lieu d’implantation d’un état-major, celui de la Flieghorst Kommandantur 17/VII. En ce qui concerne l’infrastructure de la base, une piste en dur – qui avait été mise en chantier au tout début de 1940 – fut construite, de même que de nombreux abris camouflés d’avions ainsi que des installations de toute nature telles que des soutes à essence et à munitions. La base, également lieu de maintenance des appareils de la Luftwaffe stationnés dans l’est de la France et de ravitaillement des avions engagés dans les opérations en mer Méditerranée, se dota début 1943 de plusieurs escadrilles appartenant à une escadre dédiée à la chasse de nuit : la Nachtjagdgeschwader 4. Équipées de chasseurs moyens Messerschmitt 110 et de Dornier 217 dotés de radars de poursuite, ces escadrilles opéraient en fonction des détections effectuées localement par les stations radar de la « ligne Kammhuber », système de défense mis sur pied par l’Allemagne pour protéger son territoire.
Alors que l’activité était foisonnante sur la base, ses installations – et, avec elles, les troupes qui étaient stationnées sur l’aérodrome – finirent par être durement éprouvées, harcelées qu’elles furent par les bombardements alliés. Des bombardements conduits avec efficacité, en dépit de l’action énergique qui fut celle des batteries de défense anti-aérienne positionnées aux abords immédiats du terrain. Le premier fut celui du 28 mars 1944, au cours duquel, en cinq vagues, quantité de Boeing B-17 de la 8th Air Force larguèrent quatre cents tonnes de bombes. Aux considérables dégâts causés ce jour-là par les forteresses volantes américaines s’ajoutèrent d’autres destructions. En effet, la base eut encore à subir un raid opéré par la Royal Air Force dans la nuit du 9 au 10 avril, un mitraillage au sol particulièrement efficace réalisé le 23 avril par des chasseurs North American P-51 Mustang et un important bombardement opéré deux jours plus tard par l’aviation américaine, le tout avant que, le 14 août, l’aérodrome soit pilonné une dernière fois, par quatre-vingt-trois Consolidated B-24 Liberator. L’armée allemande dut se résoudre à évacuer la base, ce qu’elle fit le 10 septembre, après avoir pris soin de la rendre inutilisable, notamment par la destruction de sa tour de contrôle, de soutes et d’abris et de son infrastructure électrique. Il ne resta de l’aérodrome qu’un champ de ruines jonché de gravats et de ferraille et parsemé de carcasses d’avions. Dijon libérée, les troupes américaines s’emparèrent aussitôt des lieux – qu’elles redésignèrent « Y-9 » – et, après une remise en état du terrain, s’attachèrent à prolonger la piste de manière à faciliter les mouvements des unités qui, sans tarder, prendraient pied sur le site : les 111st Tactical Reconnaissance Squadron et 35th Night Fighter Squadron, ainsi que le 320th Bomb Group, unité dotée de Martin B-26 Marauder qui, de novembre 1944 à mars 1945, s’envolant de Dijon, pilonnèrent sans relâche les villes et installations stratégiques du IIIe Reich.
Si la remise en état des infrastructures de l’aérodrome demanda plusieurs années, la base – successivement dénommée « base équipée 102 » (1944), « base escale principale » (1946) et « détachement de base aérienne » (1947) – ne tarda pas, néanmoins, à renouer avec les heures fastes qui furent les siennes avant-guerre. En 1949, avec l’implantation en Bourgogne de la 2e escadre de chasse en provenance d’Allemagne, la « base aérienne tactique 102 » devint la première plate-forme de l’Armée de l’air à voir évoluer des chasseurs à réaction. Le choix de la France s’était porté sur un appareil britannique, le De Havilland 100 Vampire, avion qui, rapidement, équipa les deux escadrons relevant de la « nouvelle » escadre dijonnaise : le prestigieux escadron de chasse 1/2 « Cigognes » aux traditions puisant dans les combats de la Grande Guerre et l’EC 2/2 « Alsace ». La 2e escadre perçut toutefois dès 1953 de nouveaux chasseurs : des MD 450 Ouragan, appareils sortis des ateliers de l’avionneur Marcel Dassault, concepteur du premier chasseur à réaction de construction française. L’avion s’avéra plus performant que son prédécesseur ; malheureusement, comme pour le Vampire, la « prise en main » du nouvel appareil se traduisit par de nombreux accidents.
En juin 1955, l’emprise de la base, devenue « base aérienne d’opérations 102 », s’accrut notablement avec l’acquisition de terrains situés sur le territoire de Neuilly-lès-Dijon, ceci pour permettre la construction d’une piste en dur de 2 400 mètres de longueur répondant aux normes édictées par l’Organisation du traité de l’Atlantique nord, alliance militaire à laquelle la France avait adhéré en 1949.
Dès 1956, l’escadre dijonnaise se sépara de ses Ouragan et perçut un nouveau chasseur construit par Dassault : le MD 454 Mystère IVA. À l’automne, en toute discrétion, cet avion supersonique en piqué s’envola à destination du Proche-Orient pour y prendre part, sous les couleurs de l’aviation israélienne, aux opérations déclenchées pour reprendre le contrôle du canal de Suez, nationalisé par le président égyptien Nasser. C’est cet avion qui, à partir de 1957, équipa la Patrouille de France, formation acrobatique dont le nombre d’appareils – qui passa de cinq à douze en quelques années – stationnèrent à Dijon jusqu’au transfert de la PAF en 1962.
En 1961, un nouvel appareil fit son apparition à Dijon : l’AMD Mirage IIIC, chasseur choisi pour équiper les deux escadrons de la 2e escadre de chasse, qui fut la première formation de l’Armée de l’air à être dotée de ce fleuron de l’industrie aéronautique nationale. Premier avion supersonique français, le Mirage IIIC était même capable de vitesse bi-sonique ; il pouvait en outre, propulsé par une fusée d’appoint SEPR 841, atteindre la stratosphère pour y réaliser des missions d’interception. Le pilotage de ce chasseur à aile delta nécessitant un apprentissage approfondi, l’Armée de l’air se dota d’une unité spécialisée dans la formation et le perfectionnement des pilotes sélectionnés pour évoluer sur cet appareil, et cette mission échut à l’EC 2/2 « Côte-d’Or », escadron qui avait été recréé en 1965 et auquel fut confiée l’année suivante la mission de « transformation opérationnelle » de l’ensemble des pilotes de chasse de l’Armée de l’air affectés au sein d’unités dotées de Mirage III. À cet effet, cette unité perçut des biplaces Mirage IIIB, conservant néanmoins plusieurs monoplaces pour le « lâcher » des pilotes en solo. Ce fut, pour la base dijonnaise, le point de départ d’une nouvelle aventure : celle d’abriter un escadron qui ne tarderait pas à être qualifié d’ « Académie de la chasse ». Une académie qui formerait également quantité de pilotes et de mécaniciens venus du monde entier…
En décembre 1965, les installations civiles jouxtant l’aérodrome militaire, elles aussi en plein développement, virent le lancement officiel d’une compagnie aérienne régionale : Air-Bourgogne. Quelques mois plus tard débuta sur la BA 102 le tournage d’une série télévisée qui, par son succès, permit à la base dijonnaise – et à ses aviateurs – d’être connue de tous les téléspectateurs français : Les Chevaliers du Ciel, série adaptée d’une bande dessinée créée par Jean-Michel Charlier, scénariste, et Albert Uderzo, dessinateur, narrant les exploits des lieutenants Tanguy et Laverdure.
En 1968, une version plus moderne du Mirage III fut livrée aux escadrons dijonnais : la version E, dotée d’un radar Doppler permettant la navigation à basse altitude par tout temps.
Le 2 juillet 1984, un demi-siècle jour pour jour après la création de l’Armée de l’air, un nouvel oiseau fit son nid sur la BA 102 : le Mirage 2000 C, dernier-né des chasseurs produits par l’avionneur Marcel Dassault, appareil que cette base fut la première à mettre en œuvre. Son évolution ultime, le Mirage 2000-5F, devait faire son apparition en Bourgogne quinze ans plus tard, en 1999, permettant aux aviateurs de la BA 102, au tournant du siècle, de disposer de l’un des plus redoutables chasseurs de la planète, capable par sa technologie et son système d’armes de détecter simultanément jusqu’à vingt-quatre cibles et de « traiter » les huit plus menaçantes. Un avion que piloterait notamment Caroline Aigle, la première femme pilote de chasse de l’Armée de l’air, affectée à Dijon en 2000.
En 2008, après avoir envisagé la fermeture de la BA 102, les autorités gouvernementales décrétèrent finalement son maintien et, localement, l’on s’efforça de renforcer l’aérodrome dijonnais. À cet effet, le projet Renaissance fut lancé, avec pour ambition de développer l’aéroport de Dijon-Bourgogne par l’accroissement de son activité aérienne, tant civile que commerciale. Malgré tout, à l’été 2011, les derniers Mirage présents à Dijon – ceux de l’escadron de chasse 1/2 « Cigognes » – furent transférés sur la base aérienne 116 de Luxeuil, et il ne resta plus sur le site militaire qu’une quinzaine d’appareils : les Alphajet de l’escadron d’entraînement 2/2 « Côte-d’Or », unité sans équivalent dans l’Armée de l’air qui avait été créée quelques années plus tôt pour maintenir en condition opérationnelle les pilotes de l’ensemble des escadrons de la chasse française. Des appareils qui, dans les derniers jours de juin 2014, cent ans très exactement après l’arrivée sur l’aérodrome de ses tout premiers avions, s’envoleront pour un aller qui sera sans retour à destination de la base aérienne 120 de Cazaux, laissant seuls sur l’aérodrome les deux avions de liaison TBM 700 mis en œuvre par le dernier des escadrons à être stationné sur la base : l’escadron de transport 41 « Verdun ».
En dépit de ce transfert qui entraînera la fermeture des installations aéronautiques mises en œuvre par la plate-forme militaire, la base aérienne dijonnaise, plate-forme « à part » au sein du dispositif des bases mis en œuvre par l’Armée de l’air, conservera – mais pour combien de temps ? – plusieurs « spécificités ». Parmi elles, celle d’être le lieu d’implantation de formations elles aussi uniques en leur genre, à savoir l’un des commandements organiques de l’Armée de l’air (le commandement des forces aériennes, transféré en 2012 en provenance de Metz), l’un des trois commandos parachutistes dont dispose l’Armée de l’air (le CPA n° 20, unité forte de trois cents hommes installée à Dijon depuis 2008), l’unité chargée de la formation de l’ensemble des fusiliers commandos de l’Armée de l’air (l’escadron de formation des commandos de l’air 08.566), la structure chargée de former l’ensemble des spécialistes œuvrant sur le Mirage 2000 (l’unité d’instruction spécialisée 62.530) et l’organisme chargé de l’exploitation et de la conservation des informations personnelles – individuelles ou collectives – du personnel servant et ayant servi au sein de l’Armée de l’air (le bureau des archives et des réserves de l’Armée de l’air 24.501).
De 1914 à 2014, ce sont bien cent ans d’une vie trépidante qui auront rythmé l’existence de la base aérienne 102, entrée en service en tant que « camp d’aviation ». Cent ans d’une activité foisonnante qui se sera tout bonnement confondue avec une autre palpitante aventure humaine et technologique : celle de l’Armée de l’air !
Frédéric Lafarge
chargé de relations publiques
et délégué au patrimoine historique de la BA 102
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Contribution à un long-métrage sur Clément Ader, en partenariat avec l’association Rêves de Gosse
Le principe est simple : les personnes souhaitant effectuer une contribution financière bénéficieront de contreparties exclusives : DVD (édition Collector), affiche, nom au générique, invitation au tournage… L’objectif à atteindre est de 6650 euros. Cette somme servira exclusivement à financer le tournage et la production du film. A noter que la campagne de crowdfunding prendra fin début juillet.
Si le projet se concrétise, les bénéfices liés aux ventes de DVD seront directement reversés à l’association Rêves de Gosse (http://revesdegosse.fr/). Les comédiens José Garcia et Véronique Jannot, parrains de l’association, soutiennent d’ailleurs ce projet de long-métrage.
Pour en savoir plus sur le film, l’équipe, les intervenants, le crowdfunding, etc., n’hésitez pas à consulter la brochure de présentation disponible au téléchargement sur http://www.clementader-lefilm.com/bonus/telechargements/
Sites internet :
http://www.clementader-lefilm.com
http://fr.ulule.com/clement-ader
http://www.facebook.com/docuader
https://twitter.com/aderlefilm
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Clément Ader 1841-1925 |
- une fiction
- un documentaire
Dans le cadre de recherches sur Clément Ader en vue de la rédaction d’un ouvrage, son auteur a découvert des éléments matériels laissant présager d’un premier vol du pionnier français non pas en 1890 (comme supposé jusqu’alors), mais en… 1879 !
L’intrigue traitera du travail d’investigation destiné à authentifier les éléments en question.
Le documentaire :
Il s’articule autour de réflexions, recherches, etc. menées par d’éminentes personnalités de l’aviation : Gérard Feldzer, Bernard Marck, Antony Angrand, etc., pour ne citer qu’eux. Leurs compétences diverses et abouties (historiens, auteurs, journalistes, ingénieurs…) permettront de répondre à trois questions :
Quels furent les contextes (industrialisation, modernisme, militarisation…) propices à Clément Ader pour l’invention d’Eole à la fin du XIXe siècle ?
Comment le débat sur la « paternité de l’aviation », opposant Clément Ader aux frères Wright, est-il né ?
Plus d’un siècle après le vol supposé d’Ader en 1879, peut-on affirmer qu’il a bel et bien eu lieu ?
* L’équipe du projet :
Ce projet filmique est né sous l’impulsion de Sylvain Thomas et de Thomas Leroux, qui en seront les réalisateurs.
A noter que tous deux ont suivi des études de cinéma.
Les réalisateurs seront assistés de techniciens à l’expérience éprouvée : l’un des premiers opérateurs « Steadicam » de France, un jeune réalisateur primé au Short Film Festival de Cannes, et un photographe-monteur professionnel.
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1914-2014 : la BA 102 de Dijon a 100 ans ! (1ère partie : 1914-1940)
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« The Legend of Little Eagle » of Florian Rochat
Nearly 70 years later a journalist, Hélène Marchal, hears of the event. But there is more to it: she finds a copy of a letter her grandfather wrote to the parents of the pilot who lost his life. She comes to understand that the house she has just inherited would have been destroyed had the aviator not sacrificed his life, by deciding to steer the plane away from the house.
Her mother was four years old at the time, and was at home. If first lieutenant John Philip Garreau had bailed out with his parachute when there was still time, Hélène’s mother would have been killed. Hélène pales at the thought: she would not have been born if the pilot had not acted in a way which, to her, is simply heroic. She owes him her life!
Who was he? The address on the letter is her only lead: Browning, Montana. Hélène Marchal decides to travel there to investigate, to go through the archives and try to find any remaining witnesses. Gradually she will piece together the life of a very young man nicknamed Little Eagle. With hindsight, his life takes on the dimensions of a legend. And with it brings the protagonists to question their own destinies.
- File Size : 2012 KB
- Print Length : 239 pages
- Price : 5,15$ or 3,71€
- Simultaneous Device Usage : Unlimited
- Publisher : Florian Rochat (May 5, 2014)
- Language : English
- ASIN : B00K5SVTYI
- Text-to-Speech : Enabled
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Airexpo 2014
A quoi va servir le financement ?
- La commission avion. Les avions qui viennent sont pour la plupart entretenus par des passionnés qui doivent être rémunérés pour continuer à faire voler leurs machines de rêve. Ces pilotes doivent également être logés et nourris pendant 2 à 3 jours.
- La logistique. En effet, accueillir 25 000 spectateurs ne se fait pas sans un minimum de logistique tel que la sonorisation, l’électricité, l’eau, les toilettes, les buvettes, les exposants ou encore le stand VIP. De plus, le jour du meeting près de 200 bénévoles issus des écoles organisatrices sont présent pour tout installer et accueillir au mieux le public, et bien sûr ils faut les nourrir !
- La sécurité. Il faut rémunérer les pompiers, les gendarmes, les policiers présents le jour du meeting
- la communication. Pour un évènement de cette ampleur, elle participe à la visibilité de l’évènement dès les premiers mois de préparation. Puis lors du meeting elle s’occupe du point information, de l’accueil des médias et de la boutique.
http://www.airexpo.org/
https://www.facebook.com/meetingairexpo?fref=ts
https://twitter.com/airexpo
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LE PILOTE ET LE PETIT PRINCE
Parmi les événements en cours d’organisation autour de la parution du livre, une exposition des croquis et dessins préparatoires se tiendra au centre tchèque de Paris, du 29 avril au 6 juin.
Au tournant du siècle dernier, naissait un petit garçon aux cheveux blonds, qui allait devenir un grand aventurier… En ces temps de grandes découvertes, on rêvait de nouvelles inventions. Alors que l’on assistait aux débuts de l’aviation, Antoine construisait déjà, à l’âge de douze ans, sa propre machine volante… Et même si elle ne fonctionnait pas, cela ne le découragea pas !
Dans cet album foisonnant qui s’adresse aussi bien aux enfants qu’aux adultes, Peter Sís nous raconte l’histoire de ce petit garçon qui s’est donné tous les moyens pour réaliser son rêve : voler.
On suit, pas à pas, ses débuts dans l’Aéropostale, mécanicien avant de devenir pilote, et on découvre des anecdotes de sa vie hors du commun. Au fi l des rencontres et des voyages qui l’ont marqué, jusqu’à la seconde guerre mondiale au cours de laquelle il disparut, les planches magnifiques et captivantes de Peter Sis nous immergent totalement dans la vie de ce formidable aviateur, qui aimait lire et écrire pendant qu’il volait…
Peter Sís, peintre, illustrateur, écrivain et cinéaste, a grandi à Prague où il a suivi les cours de l’Académie des Arts Appliqués. Après des études au Royal College of Art à Londres, il s’est installé aux États-Unis. De renommée internationale, il vit dans l’état de New York avec sa femme
et leurs deux enfants.
Ses albums ont reçu de nombreux prix, comme le Prix Andersen pour l’ensemble de son œuvre lors de la Foire de Bologne 2012, le Prix Sorcières pour Madlenka, la mention spéciale du Salon de Montreuil pour Les trois Clés d’or de Prague, le Grand Prix de Bologne (catégorie nonfiction) pour L’Arbre de la vie, Charles Darwin, et Le Mur, mon enfance derrière le rideau de fer, a notamment reçu la prestigieuse médaille Caldecott aux États-Unis. Peter Sís vient par ailleurs de créer une monumentale tapisserie d’Aubusson en l’honneur du poète irlandais et prix Nobel de littérature Seamus Heaney, commandée par U2, Paul Simon et Amnesty International, qui orne depuis mi avril l’aéroport de Dublin.
Editeur ; Grasset Jeunesse
à partir de 7 ans – collection PETER SÍS
270 x 305 mm – couv. reliée – 48 p. – 15.90 €
Nuart : 8211097 – Isbn : 978 2246 787143
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Meeting Aérien Grand Troyes
Dimanche 29 Juin 2014
En savoir plus :
Aéroport de Troyes en Champagne
Horaires du show : 10 h-12 h et 13 h 30-18 h
Ouverture du site à 9 h
Gratuit pour les moins de 10 ans – Tarif enfants (10 à 17 ans) : 5 € – Tarif adultes : 10 €
Parking gratuit
Contact :
contact@skyline-events.fr
http://www.skyline-events.fr/
http://www.meeting-aerien-troyes.fr/
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LATÉ 302 « Mouneyrès » en rade de Brest en mai 1938
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Laté 302 « Mouneyrès » en rade de Brest 1938 ©Michel Quillien |
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Laté 302 « Mouneyrès » derrière le contre-torpilleur « Le Terrible » ©Michel Quillien |
Concernant la photo ci-dessus on peut en déduire les informations suivantes :
- Le déploiement du pavillon de poupe indique une direction du vent qui peut avoir deux sens, mais dans les deux cas, il vient de tribord et même de tribord avant. On distingue un petit clapot, donc le vent est faible < 15 kts.
- Le « flou » des hélices pourrait laisser penser que les moteurs tournent et que l’appareil avance, (ligne d’écume devant les nageoires), donc il n’est pas remorqué. La ligne claire partant du bas gauche de la photo et allant vers la poupe ne doit pas être une remorque, car la sécurité du personnel stationnant dans cette zone ne serait pas.
- Tout l’équipage portent la coiffe bleue, les marins à pompon sont en bleu de chauffe et les gradés à casquette, en bleu de drap.
- Dernière constatation sur la date, à partir du 1er mai, on arborait la coiffe blanche et on quittait le « jersey », les deux marins (André Quillien et Marcel Le Bars) à la poupe le portent encore, zone sombre à l’encolure. la photo a dû être prise en France et avant le 11 mai.
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Laté 302 « Mouneyrès » aux abords du contre-torpilleur « Le Terrible » ©Michel Quillien |
Caractéristiques générales du Latécoère 302 :
Hydravion sesquiplan quadrimoteur à coque méttalique
Envegure 44 m
Longueur : 26,15m
Hauteur : 7,98m
Motorisation : 4 x Hispano-Suiza 12 Ydrs.2 de 930 Ch
Hélices : Ratier tripale à pas variable en vol
Poids à vide : 13, 9 T
Poids max : 23, 7 T
Vitesse max en vol 235 km/h
Vitessse de Croisière : 160 Km/h
Rayon d’action : 3 100 km
Plafond pratique 3 500 m
temps de montée à 3 500 m : 45 minutes
Temps de décollage : 24 S
Équipage : 10
Armement : 4 bombes G2 (75Kg) ou 12 (150 Kg), 4/5 mitrailleuses Darne 7,5 mm(armement d’aile non monté)
(1) Le Lieutenant de Vaisseau Hervé Mouneyrès s’est perdu corps et bien au dessus de l’Atlantique Sud en tentant la traversée sur un Farman Goliath le mai 1927.
Le Capitaine de Corvette René Guilbaud et son second, le Lieutenant de Vaisseau Albert Cavelier de Cuverville ont disparu le 18 juin 1928 à bord du Latham 47 qui se portait au secours du dirigeable italien « Italia » au pôle nord.
Sources des informations :
Michel Quillien
Aéroforum : http://www.aerostories.org/~aeroforums/
Les Ailes Françaises : Les hydravions à coque 1ere partie
Poste des choufs : http://www.postedeschoufs.com/
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Aidez à la restauration du DC3 N56NA

Après en avoir eu la garde pendant près de 20 ans, le Musée Européen de l’Aviation de Chasse de Montélimar a acquis depuis quelques semaines le Douglas DC-3 N56NA (c/n 4979). Cet avion construit en 1942 a été utilisé par le Maréchal Montgomery pendant ses campagnes. le Musée Européen de l’Aviation de Chasse de Montélimar envisage de le restaurer pour l’exposer aux couleurs des C47 Dakota utilisés lors du débarquement de Normandie en Juin 1944 lors de l’opération Overlord. Pour cela le Musée Européen de l’Aviation de Chasse de Montélimar a lancé une campagne de dons par l’intermédiaire de My Major Company. En fonction de l’importance de votre don vous aurez droit à une ou plusieurs entrées gratuite, un pass annuel pour le Musée, La brochure du Musée ou même un vol de découverte de 30 minutes sur North American Rockwell OV10 Bronco du Musée Européen de l’Aviation de Chasse de Montélimar et dans tous les cas vous recevrez un certificat vous permettant une réduction d’impôt de 66% du montant de votre don. Alors dépêchez vous, il reste jusqu’au 7 juillet 2014 pour réunir les 15 000€ nécessaires au projet A QUOI VONT SERVIR VOS DONS ?
Budget nécessaire à la réalisation du projet :
- Déplacement de l’avion : 500 €
- Démontage des éléments mobiles et remise en état : 500 €
- Décapage et mise en peinture : 7000 €
- Peinture et fournitures : 5000 €
- Aménagements (accès, intérieur) : 2000€
Total : 15 000 € Au-delà des 15.000 Euros atteints, le Musée Européen de l’Aviation de Chasse de Montélimar affectera vos dons à la construction du nouveau hangar qui lui permettra d’abriter 12 avions déjà en rénovation. Musée Européen de l’Aviation de Chasse de Montélimar : http://meacmtl.com
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Promenade en dirigeable avec Airship Paris
Il revient le 2 juin 2014…
Le dirigeable AirShip Paris, haut comme un immeuble de 5 étages et long de ses 75 mètres, viendra se poser le 2 juin 2014 à l’aérodrome de Paris-Pontoise (Cormeilles en Vexin) pour prendre ses quartiers d’été. Il accueillera à son bord pour la seconde année ces dizaines de touristes un peu particuliers qui ont décidé de découvrir la France et ses richesses culturelles à 300m de haut au travers d’un voyage unique et rare.
Un survol merveilleux du château de Chantilly et des richesses culturelles et artistiques de la région.
Un étonnant voyage d’initiation, mêlant baptême de l’air et découverte culturelle…
Le vol-croisière Grand-Tour
Survol durant une heure la région d’Auvers sur Oise, son château, les terres où Van Gogh a peint les derniers mois de sa vie, puis remontée vers la magnifique Abbaye de Royaumont et… dernière étape exceptionnelle en direction et au-dessus du Château de Chantilly qui a appartenu aux grandes familles princières de France, et les jardins dessinés par Le Nôtre, le Musée Condé…mais aussi les Grandes Écuries, le Musée Vivant du Cheval et les jardins dessinés par Le Nôtre pour le Grand Condé à la fin du XVIIème siècle.
Une occasion de découvrir en trente minutes les sensations d’un voyage en dirigeable et le plaisir culturel… merveilleux et fort en souvenirs.
Il emmène les passagers au-dessus d’Auvers sur Oise, là ou Van Gogh a peint ses derniers tableaux. Il survole ensuite le château d’Auvers sur Oise, le château de Mery sur Oise avec un oeil sur les paysages du Vexin Français.
Du mardi au dimanche de 14hà 20h
Les tarifs
Vol découverte « Van Gogh » 250€ TTC/Personne adulte
Vol-Croisière Grand Tour 450€ TTC/Personne adulte
Prix enfant (2 à 12 ans) – 20% du prix adulte
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NetJets Europe accède à l’aéroport de La Môle
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Phenom 300 Signature Series™©NETJETS EUROPE |
Nouvelle destination pour le Phenom 300 Signature Series™
Marine Eugene, Directrice des ventes de NetJets Europe, commente : « Il s’agit d’une période de l’année extrêmement chargée pour NetJets nous avons de nombreux clients qui souhaitent séjourner à Saint-Tropez pendant l’été. Nous avons examiné leurs schémas de vol et pris en compte leurs commentaires, et sommes ravis de pouvoir proposer aux propriétaires de nos Phenom 300 un aéroport supplémentaire avec la destination de La Môle. C’est un nouvel exemple de la manière dont NetJets s’appuie sur ses 50 années d’expertise dans ce secteur pour continuer à améliorer son offre de services. »
Par le passé, il était nécessaire de posséder une autorisation spéciale pour exploiter l’aéroport de La Môle en raison des vents variables, du relief montagneux, de la circulation dense des hélicoptères et des exigences strictes de performances pour les avions . Après une étude réalisée sur place, NetJets Europe a soumis, avec succès, un dossier de demande d’homologation d’exploitation et les pilotes de ses avions Phenom 300 Signature Series™ ont suivi la formation correspondante nécessaire, assurée par la Direction de l’Aviation civile du Sud-Ouest de la France, pour obtenir l’autorisation d’utiliser cet aéroport.
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Intérieur Phenom 300 Signature Series™©NETJETS EUROPE |
« Nous disposons des meilleurs pilotes du monde, aux commandes de l’avion le plus moderne. En assurant la formation de ses pilotes à l’utilisation de cet aéroport supplémentaire, NetJets souligne une fois de plus la manière dont l’entreprise se distingue de ses concurrents. L’accès à La Môle permettra à nos clients propriétaires d’avions Phenom 300 Signature Series™ de disposer d’un accès rapide depuis plus de 1 000 aéroports européens vers l’une des destinations balnéaires estivales les plus prisées », ajoute Marine Eugene.
Grâce à ses excellentes performances, le Phenom 300 est l’un des rares avions d’affaires à être autorisé à utiliser l’aéroport de La Môle. L’avion Phenom 300 Signature Series™, qui doit intégrer la flotte européenne dans les semaines à venir, redéfinit toutes les possibilités d’un avion léger. Son rayon d’action, sa vitesse et sa fiabilité sont parmi les meilleurs au monde, tandis que sa cabine offre aux passagers confort et aménagements, dont deux zones de climatisation ainsi qu’un espace accru pour les jambes et la tête, habituellement uniquement disponible dans des avions plus grands. Grâce à ses performances élevées allant de pair avec une conception réfléchie, le Phenom 300 est un avion aux capacités uniques – des atouts qui ont permis d’obtenir son homologation pour l’aéroport de La Môle.
Notes :
Les clients, actuels et potentiels, intéressés par le Phenom 300 et souhaitant utiliser l’aéroport de La Môle doivent contacter le service des ventes de NetJets Europe au +44 207 590 5120.
*Marques déposées de Embraer Executive Jet., ou de ses filiales
À propos de NetJets Europe
Créée en 1996, NetJets Europe est désormais la plus importante société européenne d’avions d’affaires. Unique société d’avions d’affaires pan-européenne à posséder sa propre flotte, NetJets Europe, par l’intermédiaire de NetJets Transportes Aéreos S.A. (NTA), est seule capable d’assurer un service constant de classe mondiale, avec un engagement inégalé en faveur de la sécurité et de la sûreté. NTA fut le premier opérateur d’avions d’affaires à recevoir la certification IOSA, la certification de sûreté la plus élevée au monde. NetJets Europe emploie plus de 1 300 collaborateurs au total et possède plus de 130 avions. NetJets Europe est l’agent marketing de NetJets Transportes Aéreos S.A., un transporteur aérien de l’UE.
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