Archives mensuelles : mars, 2018

« Comment vole un avion ? » : une formation gratuite et ouverte à tous dispensée par l’ISAE-SUPAERO

A380 Le bourget

Leader mondial de la formation supérieure en ingénierie aérospatiale, l’ISAE-SUPAERO lance une nouvelle édition de son cours en ligne gratuit et ouvert à tous (MOOC Avion) qui débutera le lundi 30 avril prochain. L’occasion pour tous les passionnés d’aviation et d’aéronautique de comprendre précisément « Comment vole un avion » !

Véritable moyen de partage du savoir-faire et de l’expertise de l’Institut, la formation en ligne « MOOC Avion » permet de sensibiliser le grand public au domaine aéronautique et de susciter des vocations. Ce cours entièrement gratuit complète la gamme de formations de haut niveau proposée par l’ISAE-SUPAERO.

Alliant pédagogie et rigueur scientifique, ce cours aborde la mécanique du vol et l’aérodynamique à l’aide d’outils variés tels que des vidéos, des exposés, des animations, des expériences virtuelles grâce au simulateur de vol, et même, en situation réelle à bord d’un avion TB20 instrumenté.

Incidence, pente, assiette, forces exercées sur l’avion à l’équilibre et lors de manoeuvres en vol, forces aérodynamiques sur une aile… autant de termes et de sujets expliqués au fil des cours par Eric Poquillon, enseignant en dynamique du vol expérimental.

Aux termes de chaque semaine, des évaluations sous forme de quiz et/ou de cas pratiques seront proposées. À l’issue des 4 semaines de cours, pour un volume de travail estimé à 3h par semaine (cours et travail personnel), une attestation de « suivi avec succès » pourra être délivrée afin de valider les nouvelles connaissances acquises. Pour aller plus loin, une certification payante, validée après examen, apportera une reconnaissance supplémentaire qui pourra être valorisée dans un curriculum vitae, sur un profil Linkedin ou encore pour obtenir une promotion.

Le MOOC Avion en bref :

▪ « Comment vole un avion ? Une introduction à la mécanique du vol. »
▪ 4 semaines de cours à partir du 30 avril 2018
▪ Volume de travail estimé : 3h/semaine
▪ Délivrance d’une attestation de suivi avec succès (gratuite) ou d’une certification (payante)
▪ Inscriptions sur la plateforme FUN-MOOC – http://moocavion.isae.fr
▪ Communautés MOOC-Avion : www.facebook.com/moocavion et https://twitter.com/moocavion

A propos de l’ISAE-SUPAERO

Leader mondial de l’enseignement supérieur pour l’ingénierie aérospatiale, l’ISAE-SUPAERO offre une gamme unique de formations de très haut niveau : ingénieur ISAE-SUPAERO, ingénieur par apprentissage CNAM-ISAE, master Aerospace Engineering, 5 masters orientés recherche, 15 Mastères Spécialisés, 6 écoles doctorales.
L’ISAE-SUPAERO rassemble plus de 100 enseignants et chercheurs permanents et 1700 étudiants et doctorants, et s’appuie sur 1800 professeurs vacataires issus du monde professionnel. Il partage son campus avec le centre ONERA de Toulouse. Plus de 30 % de ses 650 diplômés annuels sont étrangers. Son réseau d’alumni compte plus de 21 500 anciens diplômés sur tous les continents. Il développe une politique de recherche tournée vers les besoins futurs des industries aérospatiales ou de haute technologie avec qui, il a mis en place plus de dix chaires d’enseignement et de recherche.
Sur le plan international, l’ISAE-SUPAERO coopère avec les meilleures universités mondiales (Caltech, Stanford, Georgia Tech, UC Berkeley, EP Montreal, TU Munich, TU Delft, …).
www.isae-supaero.fr


Pourquoi embarque-t-on par la gauche dans un avion ?

Arrivée à Brest, descente des passagers sur le tarmac par la porte avant gauche (HOP CRJ 1000Next Gen F-HMLJ,) ©Xavier Cotton

Peut être avez vous remarqué en embarquant dans un avion que ce soit depuis le tarmac ou depuis l’aérogare, c’est toujours par la porte de gauche. Même si les avions de ligne ont aussi une porte sur le coté droit, les portes gauches sont généralement plus larges et hautes pour laisser entrer les passagers plus facilement.

L39 Albatros LX-MIK patrouille Sparflex lors du meeting d'Epernay 2015 ©Xavier Contton

L39 Albatros LX-MIK patrouille Sparflex lors du meeting d’Epernay 2015 ©Xavier Contton

De même concernant les avions de chasse que la verrière se soulève vers le haut ou bascule sur le coté, le pilote montera par la gauche de l’avion. Cette habitude de monter dans un avion par la gauche que soit dans un avion de ligne, un avion militaire (chasse et transport) ou même un avion de voltige aérienne aurait un explication très pratique. Durant la première guerre mondiale, les premiers pilotes de chasse étaient généralement issus de la cavalerie et conservaient dans un premier temps leur uniforme de cavalier. Ils ont donc transposé leur habitude de monter à cheval par la gauche, en faisant de même avec leur avion. Traditionnellement afin de la sortir plus facilement du fourreau de la main droite, les cavaliers portaient leur épée à gauche et montaient à cheval du même coté afin de ne pas les blesser. L’épée a disparu, mais les cavaliers d’aujourd’hui montent toujours à cheval par la gauche, et il en va de même pour les aviateurs ! Et du coup, le Commandant de Bord d’un avion prend traditionnellement le siège de gauche.

Lors du meeting d'Épernay 2015, Francis Pelletier monte à bord du Boeing Stearman PT17 N4561N ©Xavier Cotton

Lors du meeting d’Épernay 2015, Francis Pelletier monte à bord du Boeing Stearman PT17 N4561N ©Xavier Cotton


Les étudiants de l’ENAC rencontrent Mikaël Brageot – Pilote Red Bull Air Race

Mickael Brageot à Épernay à l’occasion du championnat de France de Voltige 2015 ©Xavier Cotton

Mickael Brageot à Épernay à l’occasion du championnat de France de Voltige 2015 ©Xavier Cotton

Le jeudi 29 mars 2018 à partir de 17h30, en amont de la grande course aérienne Red Bull Race de Cannes qui aura lieu du 20 au 22 avril, Mikaël Brageot, voltigeur et pilote de course, dialoguera avec les élèves de l’ENAC (Ecole Nationale de l’Aviation Civile).

Parmi les quatre pilotes français de la grande Red Bull Air Race 2018, Mikaël « Mika » Brageot, un aquitain de 30 ans, instructeur de voltige avec 3 000 heures de vol au compteur, fait partie des favoris.

Il se rendra sur le campus de l’ENAC afin d’échanger avec les étudiants de l’Ecole. Qu’ils soient élèves pilotes, ingénieurs ou contrôleurs, ils sont tous passionnés d’aéronautique, et auront le privilège d’échanger durant plus d’une heure avec ce pilote hors normes.

Cet échange à l’initiative de l’Association des élèves de l’ENAC, fera écho à leur apprentissage. Il sera en effet animé par Jean-Pierre Celton, enseignant à l’ENAC et aura pour thématique « Des pilotes d’exception, un avion d’exception, une course d’exception« .

L’échange abordera à la fois :

  • Le processus de sélection et d’entraînement des pilotes (pré-requis, sélection, condition physique, préparation mentale et physique, contraintes et efforts subis, spécificité du pilotage etc.)

  • Les spécificités techniques des avions (descriptif, structure, commandes de vol, instrumentation particulière, motorisation, carburation, Jauge etc.)

  • Les spécificités de la course (Règlement, conditions de vol, pénalités, juges, sécurité des vols etc.)

De plus, des animations en réalité virtuelle permettront aux étudiants du campus de se mettre dans la peau de véritables pilotes du Red Bull Air Race. La technologie Hololens leur permettra de se plonger dans la peau des pilotes et de vivre en avant-première la Red Bull Air Race en 3D.

A propos de l’ENAC 

L’École Nationale de l’Aviation Civile (ENAC), l’école de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) sous tutelle du Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire, rassemble des activités de formation et de recherche en ingénierie aéronautique, navigation aérienne et pilotage avions. Chaque année l’ENAC accueille plus de 2000 élèves répartis dans 30 programmes de formation et 3500 stagiaires au titre de la formation continue. Preuve de son rayonnement international, on retrouve ses 22 000 anciens élèves dans une centaine de pays et sur les 5 continents.

Par la diversité et la qualité de ses formations, ses moyens humains et pédagogiques, l’ENAC est aujourd’hui la 1ère école aéronautique européenne.

www.enac.fr


Patrouille d’après guerre sur Stampe

Pilotes de la  Patrouille sur Stampe à Rouen-le Madrillet après guerre (collection privée Michel Léveillard)

Cette photo de la collection personnelle de MIchel Léveillard a été prise selon ses souvenirs à Rouen-Le Madrillet lors du « Premier Grand Meeting d’Après Guerre » en 1947. A l’arrière de la voiture, de gauche à droite on identifie avec certitude le Lieutenant Alain Michaux le Capitaine Roger Perrier et le Lieutenant Yves-Marie Kerguelen, Seul le pilote à l’avant droite n’est pas encore identifié avec certitude
C’est seulement en 1946 que se reforme une patrouille acrobatique à l’école des « Moniteurs de Tours ». Prenant le nom de « Patrouilles de Tours », elle fut équipée de Stampe SV4 paris les deux cents exemplaires qui furent livrés à l’Armée de l’Air. Cet avion conçu avant la guerre, fut utilisé également par les plus grands pilotes civils de la nouvelle génération : Jean D’orgeix, Léon Biancotto, Fred Nicole, Reine Lacours, Monique Caillard etc. Divers moteurs sont montés sur le biplan a ailes décalées : moteur Renault 4 P et ses dérivés ou le moteur Mathis retenu spécialement pour la patrouille.

La patrouille était commandée par le Capitaine Perrier un grand ancien de la patrouille d’Étampes d’avant guerre, il constitua sa première équipe avec le lieutenant Guido et le Lieutenant Michaux. En 1947, deux nouveaux équipiers seront formés : le Lieutenant Darbois et le Lieutenant Kerguelen ; La formation des équipiers s’effectuait ici en deux parties : dans un premier temps, ils devaient réaliser l’exécution parfaite de toute les figures de voltige en solo de façon à se donner une grande assurance dans toutes les positions de vol. Ensuite ils passaient à l’entrainement en patrouille répétant les mouvements jusqu’à produire une évolution parfaite. Pour conserver leur qualification de chasseurs, les pilotes de la Patrouille d’Etampes volaient également sur monoplace, en l’occurrence, des Yak 3 hérités du Normandie-Niemen ( jusqu’en mars 1948) puis des Dewoitine D.520  double commande hérités de l’école des moniteurs de Tours qu’ils sont allés chercher à Châteauroux (le 22 juin pour les trois premiers). En 1949, ils avaient encore  six D.520.

Au mois d’août 1947, l’école des Moniteurs de Tours était dissoute et la Patrouille reprit son ancien nom « Patrouille d’Etampes en rejoignant la base du même nom, mais dès le 1er septembre 1948 elle changea à nouveau de dénomination et prit le titre de d’Escadrille de Présentation de l’Armée de l’Air N°58 (EPAA 58).

Au cours de la saison de 1948 de nombreuses démonstrations eurent lieu tant en France qu’à l’étranger : Luxembourg, Charleroi, La Haye-Ypenburg, Bruges-Maldegem, Anvers. Trois patrouilles à trois furent ainsi constituées, composées d’anciens chasseurs de a guerre 39-45 sous les ordres du Capitaine Roger Perrier

  • Capitaine Roger Perrier
  • Capitaine Jean Louveau
  • Lieutenant René Darbois du G.C. I/3
  • Lieutenant Yves-Marie Kerguelen du G.C. I/2
  • Lieutenant Maurice Guido du « Normandie Niemen »
  • Lieutenant Amaury Monfort du G.C. I/8S/
  • Lieutenant Richard du G.C. I/2
  • Lieutenant Alain Michaux du G.C. III/6
  • Lieutenant Louis Le Flècher du G.C. « Alsace »
  • Sergent-Chef Roger Parodi du G.C. I/5

Plus 3 individuels

  • Capitaine Marc Izaac de Kasba Tadia
  • Lieutenant Alain Le Guénnec du G.C. II/3
  • Aspirant Jacques Ménard du G.C. I/4

Marcel Lapotre assis dans un Stampe de la patrouille lors de la manifestation organisée à Saint Martin Aux Buneaux le 29 août 1948 (collection privé e de Michel Léveillard)

La patrouille se déplaçait souvent à quatre : trois pour la patrouille et un pour une démonstration individuelle. Alain Le Guennec jouait le plus souvent le rôle du pilote débutant « Ademaï » en décollant avec MS-315, comme s »il ne savait pas piloter et se mettant en mauvaise situation , bien sûr comme tout numéro de clown, tout était maitrisé du début à la fin.

De 1948 à 1951 les patrouilles étaient ainsi constituées

En 1948

Perrier, Kerguelen, Darbois
Michaux, Le Flécher, Parodi
Guido, Montfort, Slt Richard

En 1949

Perrier, Kerguelen, Darbois
Michaux, Le Flécher, Parodi
Guido, Montfort, Ménard

En 1950

Guido, Montfort, Ménard
Michaux, Darbois, Kerguelen
Izaac, Le Flécher, Claveau

En 1951

Guido, Ménard, Montfort
Izaac, Claveau, Darbois
Kerguelen, D’Hulst, Charollais.

 

Source des informations :

Michel Léveillard

Didier Lecoq : http://aeroplanedetouraine.fr/patrouille_etampes/

La Patrouille de France présenté par l’armée de l’air dont le texte est de Daniel Doucet

 


Deux L39 radiocommandés format XXXl

Surprenant de voir  ces modèles radiocommandés de L-39 Albatros de taille XXXL voler en patrouille avec fumigènes à l’appui et tir de fusées leurres. Marc Petrac et Christian Glaser pilotent avec une grande dextérité ces deux jets aux couleurs de la patrouille Breitling

Modèle : Aero L-39 Albatros Breitling – tomahawk design

Pilotes : Marc Petrac / Christian Glaser

Échelle : 1/2,7

Envergure : 3,50 m

Longueur : 4,65 m

Poids au décollage : 77 kg

Motorisation : turbine JetCat avec 55 kg de poussée


Anjou Ailes Maquettes 2018

 

Vous possédez une maquette dont vous êtes fier ? Elle représente une machine ancienne ? Vous êtes novice complet ou grand habitué des concours ? Soyez le bienvenu à Anjou Ailes Maquettes.
Comme chaque année, que votre maquette vole depuis dix ans ou qu’elle soit en cours de construction, qu’elle fasse quelques centimètres ou plusieurs mètres d’envergure, que cela soit un planeur, un avion ou tout autre machine volante, venez soumettre votre travail au jugement des visiteurs du Musée Espace Air Passion / GPPA.

Trois prix récompenseront votre travail :

– Le prix GPPA, honorant la plus fidèle reproduction d’une des machines du musée.
– Le prix du public, décerné à l’aéronef reconnu le plus beau par les visiteurs du musée.
– Le prix de l’aviation française, pour la plus belle maquette d’aéronef français.

Les vols des maquettes exposées sont ouverts au public le Dimanche après-midi


Blériot XI de Jean-Louis Benoît

Jean-Louis Benoît devant son Blériot XI

Jean-Louis Benoît passionné d’aviation  près d’Avord a construit un Blériot XI  identique à celui de la traversée de la Manche réussi par Louis Blériiot, le 25 juillet 1909. Pesant moins de 400 kg celui-ci a pu être classé et immatriculé comme ULM

N’existant aucun plan de cet avion, Jean-Louis Benoît s’est néanmoins basé sur son passé de traceur plan de forme au sein de l’école Hispano-Suiza pour faire quelques croquis d’après des photos d’époque. Il a aussi trouvé un vieux plan de modèle réduit anglais et refait tous les calculs d’angle, de résistance, Il a consacré 200 heures par mois à la réalisation de son Blériot XI. Tout en restant fidèle à la conception d’origine, Jean-Louis Benoît a fiabilisé l’ensemble, ainsi si la structure est toujours en bois de sapin, il a renforcé celle ci grâce à la technique  du lamellé-collé, c’est pour la même raison de fiabilité qu’il a remplacé le moteur Anzani tricylindres de 25 Cv  d’origine par un moteur de 40 Cv

Le département des avions anciens du musée de l’Air, voit avec intérêt renaître cet avion. « Des versions de Blériot, il en existe, notamment des Blériot XI-2, en version biplace. Mais le seul vrai Blériot XI monoplace, ce sera le mien* », s’enthousiasme Jean-Louis Benoît. Pilote lui même, Jean-Louis Benoît pourra présenter en vol sa machine lors des meetings aériens, vous pouvez le contacter à cette adresse amicalebleriot(at)yahoo.com. Mais  il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et à prévu de se lancer dans un autre défi : la construction d’un biplan Nieuport 17.

* NDLR : Je ne suis pas sur que ce soit le seul Blériot XI monoplace, car il y au moins celui de l’aéroclub des garrigues (http://www.clubaerodesgarrigues.org/) et la réplique Luxembourgeoise LX-TEC (http://earlyaviator.gandi-site.net/#) plus celui construit par le MAPICA de la Baule et vendu aux enchères en 2014 (https://www.aerobuzz.fr/breves-culture-aero/un-bleriot-xi-en-vente-chez/)

Blériot Xi qui atraveré la manche en 1909

Le Blériot XI avec lequel Louis Blériot a traversé la Manche le 25 juillet 1909. Il est désormais conservé au Musée des Arts et Métiers à Paris © Xavier Cotton

Le Blériot XI qui relia Calais à Douvres a été assemblé, il y a cent dix ans à Neuilly-sur-Seine. Il fut présenté à l’exposition internationale de locomotion aérienne de Paris, en décembre 1908.  Puis Louis Blériot effectua le premier de son avion, le 23 janvier 1909, avec un moteur Anzani tricylindres de 25 chevaux. Après avoir battu le record de vol européen, par un vol de 36 minutes, Louis Blériot décide de s’inscrire au concours lancé par le Daily Mail, journal britannique qui offrait 1.000 livres sterling au premier pilote qui franchirait la Manche. Le 25 juillet 1909, Il réussit cet exploit en 37 minutes. L’avion est conservé au Musée des Arts et Métiers à Paris depuis plus de 100 ans.


Meeting aérien du Bourget 2018 – 120 ans de l’Aéro-Club de France

meeting aérien le Bourget 15 avril

A l’occasion du Carrefour de l’Air organisé comme chaque année par le Musée de l’Air et de l’Espace et pour fêter le 120ème anniversaire de l’Aéro-Club de France, ces deux institutions se sont associées pour organiser une très grande fête aéronautique.

Dimanche 15 avril 2018

Aéroport de Paris- Le Bourget

Entrée gratuite

Le meeting aérien, habituellement proposé depuis 2011 à l’occasion du Carrefour de l’Air ,  prendra encore plus d’ampleur cette année.

  • Dimanche 15 avril de 10h00 à 12h00, Exposition statique des avions sur le tarmac du parking Tango (plan d’accès).
  • Dimanche 15 avril  à partir de 13h00, Présentation aérienne commentée par Bernard Chabbert, le « conteur » de l’aviation 

A l’ouverture du meeting, La Patrouille de France honora cet événement en effectuant plusieurs passages près du public.

Plusieurs champions du monde de voltige aérienne sont attendus, pour des vols de démonstration et des rencontres avec le public : Catherine Maunoury, Eric Vazeille, Aude Lemordant, Alexandre Orlowski et d’autres pilotes de records.

Allant de l’entre-deux-guerres aux années soixante, ce meeting témoigne de l’évolution de l’aviation tant civile que militaire sur quatre décennies.

Pour plus d’information :

Musée de l’air et de l’Espace  : http://www.museeairespace.fr/

Aéro-Club de France : http://www.aeroclub.com/

Au programme : une quarantaine d’avions seront attendus dont voici la liste établie au 2 février 2018, celle ci pouvant évoluer :

De Havilland Canada DHC-1 Chipmunk

 

G-AOJR
Morane-Saulnier MS.315 F-BCNL  
Bücker Bü 133 Jungmeister SP-YBK
Boeing-Stearman PT-17 F-AZGR  
Stampe SV-4 F-BCGQ  
North American OV-10 Bronco F-AZKM
Douglas DC-3  F-AZTE
 Junkers Ju 52  F-AZJU  
 Hawker Sea Fury  F-AZXJ
 North American P-51 Mustang F-AZSB  
 Curtiss P 40 N F-AZKU  
 Douglas AD Skyraide  F-AZFN
North American T6 « Zero »  F-AZZM
Consolidated PBY Catalina  N9767
Cessna 170 F-BICE
BULLDOG Team F-AZKI F-AZOG
Stinson Reliant  F-GPJS  
Nord 3202  F-AZND  
Fi 156 Storch F-BDXM  
Piper L-4B Grasshopper  F-GHIP
Auster J/1N G-AJAE  
Cessna 337 Push Pull  F-HCRF  
Yankee Delta – Fouga magister  F-GSYD
Morane 181 Avionette “Détroyat”  F-AIYH
Spartan 7W Executive  N47W
Breguet Atlantique 2 – Aéronavale
Falcon 50 – Aéronavale
Patrouille de France
Extra 330 – EVAA
Extra 330 LC – Catherine Maunoury  F-HCSA
Extra 330 XC – Aude Lemordant F-HXAL
Beech Bonanza – Nicolas Ivanoff  D-ENIR
Cap 222  F-WWMZ  
Pitts S2B  F-HBOB