Rennes Airshow® 2014

24ème Meeting Aérien International
Manifestation clôturant une semaine dédiée au devoir de mémoire
Aéroport de Rennes-Saint Jacques
20 et 21 septembre 2014

Ce meeting, orienté sur la commémoration du centenaire 1914-1918 et le 70ème anniversaire de la libération de Rennes en Août 1944, rendra également un hommage particulier à l’aviation légère de l’armée de terre (ALAT) dont on célébrera les 60 ans.
Dans ce cadre, la manifestation a reçu la labellisation mémorielle exceptionnelle «MEMOIRES et LIBERTE » et a été placée par Monsieur le Ministre des Anciens Combattants sous son haut patronage.
Monsieur le Ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a accepté d’être le parrain du Rennes Airshow® 2014.
RENNES AIRSHOW® 2014 sera dédié à la mémoire du Colonel Diego SANTA, Grand Officier de la Légion d’Honneur et ancien commandant du GALAT n°3 à Saint-jacques de la Lande de 1966 à 1968. 
Programme :
Samedi 20 septembre de 13h00 à 19h00 :
Blériot XI, Stampe SV4, hélicoptère Sea King, EC135, Fokker DR1, Nieuport 28, Bücker 131 Jugman, Extra 260 (Eddy Dusseau), Breitling Wing Walkers, Piper L18 et L19, Nord 3202, Spitfire, EC120 Colibri, TBM700, P51 Mustang, Extra 330 de l’EVAA, Patrouille de France, Corsair, Sea Fury, Klemm 35D et Rafale Solo Display.
Dimanche 21 septembre de 10h00 à 19h00 :
Départ de la Patrouille de France, Biplan HATZ, départ du C160 Transall, Blériot XI, Stampe SV4, EC135, Bücker 131 Jugman, Klemm 35D, Spitfire, Sea Fury, Piper L18, Piper J3, Nord 3202, Morane Saulnier MS760 Paris,  Extra 260 (Eddy Dusseau), TBM700, Rafale Marine, EC120 Colibri, Breitling Wing Walkers, Fokker DR1,  arrivée des « Red Arrows » (Royal Air Force), Nieuport 28, hélicoptère Sea King, Corsair, Rafale Solo Display, Extra 330 de l’EVAA, Piper L18, P51 Mustang, « Red Arrows » (Royal Air Force).

Infos pratiques :
Tarif : 10€/jour gratuit pour les moins de 12 ans
Le programme 3 €
Parking Gratuit
Ouverture du terrain : 12h00 le samedi 20 et 09h30 le dimanche 21 septembre
Informations :
Aéroclub Rennes Ille-et-Vilaine : http://www.acriv.org/

Meeting aérien Des Étoiles et des Ailes à Toulouse-Francazal 2014

Affiche dessinée par Bernard Cadène
1er meeting aérien Des Étoiles et des Ailes
Toulouse-Francazal
21 septembre 2014
Créée en 2010 avec comme perspective l’ouverture du musée Aeroscopia  sur l’aéroport de Toulouse-Blagnac, l’Association des Étoiles et des Ailes est née de la volonté de diffuser une culture artistique et scientifique en lien avec l’aéronautique et le spatial.
Le festival Aérospatial Des Étoiles et des Ailes réunit pendant quatre jours en novembre depuis 2010, petits et grands, amateurs, néophytes et passionnés autour d’animations, de projections de films, de conférences et d’un salon du livre et de la bande-dessinée.
Le 21 septembre 2014, le 1er meeting aérien Des Étoiles et des Ailes se déroulera à l’aéroport de Toulouse-Francazal piste historique de l’aviation française.
Cette journée exceptionnelle vous proposera d’admirer au plus près 80 avions en statique et de rencontrer mécaniciens et pilotes. Vous pourrez aussi voir les démonstrations  de voltige sur Extra 330 de Catherine Maunoury, directrice du Musée de l’Air et de l’Espace du Bourget, double championne du monde de voltige aérienne et de Aude Lemordant, championne du monde de Voltige aérienne 2013 et championne de France 2014.
Vous pourrez également assister aux démonstrations en vol d’appareils d’hier et d’aujourd’hui avec en exclusivité dans un même meeting : La Patrouille de France et La Patrouille Breitling Jet Team
Le meeting sera commenté par Frédéric Beniada  journaliste « aéronautique et défense » à France Info et France Inter. Pilote d’avion, il est l’auteur de plusieurs ouvrages, Concorde, Boeing 747 et Falcon 7X.
Programme :
09h00 ouverture de la plateforme au public
09h-19h00 : Exposition statique de près de 80 avions en statique
12h30-19h00 : Démonstrations en vol
Plateau en vol :
Parachutistes, Antonov 2, cricri, Dornier DO27, Cessna 195, Stampe SV4, CAP10, EXTRA 330 de EVAA, Morane G (qui a traversé la Méditerranée), Nieuport 17, Breguet 14, PT17 Stearman, Yak11, P51D Mustang, Skyraider, MD312, Planeur, PAF, Noratlas, Famille airbus A400M, ATR, Breitling Jet Team, T6 ZERO, ATR42/600, Hélicoptère, OV10 Bronco, Breguet Alizé, DC3, largage de charges à partir d’un avion cargo.

Informations pratiques :
Entrée : 10€, gratuit pour les moins de 12 ans
Billets en vente : http://www.desetoilesetdesailes.com/fr/meeting-aerien/billetterie
Parking sur le site de Francazal
Navettes TISSEO gratuites de puis le metro Basso Cambo et parking Carrefour Portet sur Garonne à partir de 11h00
Navettes gratuites depuis Thales Alenia Space à partir de 11H00
Informations :

Meeting de Toulouse-Francazal : http://www.desetoilesetdesailes.com/fr/meeting-aerien
Des Étoiles et des Ailes : http://www.desetoilesetdesailes.com/
Aeroscopia : http://www.aeroscopia-blagnac.fr/
Bernard Cadène : http://www.bernardcadene.com/
La Patrouille de France : http://www.patrouilledefrance.fr/
La Patrouille Breitling Jet Team : http://www.breitling-jet-team.com/fr/


Il y a 100 ans : la première victoire aérienne de l’histoire mondiale de l’aviation

La victoire aérienne remportée le 5 octobre 1914 par le pilote Joseph Frantz et l’observateur Louis Quenault, vue par l’artiste Paul Lengellé (fait « peintre officiel du ministère de l’air » en 1936).

C’est dans le ciel de la Champagne que, il y aura tout juste cent ans dans quelques jours, s’est déroulée la première victoire aérienne de l’histoire mondiale de l’aviation, événement fondateur que la Marne, comme l’Armée de l’air, s’apprêtent à célébrer. Dans la matinée du 5 octobre 1914, un appareil allemand était en effet abattu par un biplan français à quelques kilomètres au nord-ouest de Reims.   Le Voisin type III (1) immatriculé V89 qui décolle du terrain de Lhéry (2) dans la Marne, lieu de stationnement de l’escadrille V 24 (3), au petit matin du lundi 5 octobre 1914 a reçu pour mission la reconnaissance et le bombardement d’une concentration de troupes allemandes signalées à proximité de Reims, un peu au nord du fort de Brimont. Piloté par le sergent Joseph Frantz (4) assisté de l’observateur – et mitrailleur – Louis Quenault (5), le frêle biplan parvient sans dommage au-dessus de son objectif et réussit à y larguer les six bombes qu’il a embarquées – des obus de quatre-vingt-dix millimètres empennés. Le feu nourri de l’ennemi oblige toutefois le pilote de l’avion à entreprendre une manœuvre de dégagement pour se mettre hors de portée de l’adversaire ; mais l’appareil n’a pas été endommagé et reprend la direction du terrain de Lhéry. Néanmoins, son pilote entend lui faire faire un petit détour : un survol de la vallée de la Vesle, au-dessus de laquelle il espère rencontrer un avion ennemi, ce qui lui permettrait de faire usage de l’arme dont son appareil a été équipé. Celui-ci appartient en effet à la seule formation ayant armé ses avions : la susdite V 24 (6). Une escadrille qui, à l’initiative du capitaine André Faure qui la commande et du constructeur Gabriel Voisin, a doté ses six biplans d’une mitrailleuse Hotchkiss de 8 millimètres de calibre (7).  

Deux aviateurs auréolés de gloire : Joseph Frantz (à gauche) et Louis Quenault (à droite), photographiés le 9 octobre 1914 sur le terrain de Lhéry (Marne). Les deux hommes viennent d’être décorés, respectivement, de la Légion d’honneur et de la médaille militaire par le colonel Ganter commandant l’aéronautique de la VeArmée.

Fort de son accélération, l’avion français s’approche rapidement à une centaine de mètres de l’ennemi ; un peu trop vite et pas assez discrètement sans doute puisque l’équipage du Voisin voit soudain l’Aviatik virer brutalement à gauche et accélérer pour tenter d’échapper à son adversaire. Seule alternative pour les Français : couper le virage décrit par l’avion allemand, en dépit des risques représentés par la pénétration dans l’angle de tir de l’observateur allemand. Un observateur qui, d’ailleurs, armé d’une carabine automatique à répétition, en profite aussitôt pour faire feu sur son assaillant, manquant toutefois sa cible. Fort heureusement, Joseph Frantz parvient à repositionner son appareil et le place à moins de cinquante mètres en arrière de l’avion allemand. À Louis Quenault, maintenant, de s’appliquer dans son tir et d’abattre l’appareil ennemi ! Celui-ci, appuyé sur sa mitrailleuse montée sur un trépied métallique, fait feu avec calme, préférant le coup par coup au tir en rafale afin d’éviter l’enrayage de son arme ; l’exercice est d’autant plus aisé que l’ennemi, qui tente bien de se dérober en virant continuellement, ne parvient pas à se dégager du Voisin. Les tirs du Français ne faiblissent pas, seulement interrompus une fois les vingt-cinq premiers coups tirés par la nécessité de changer de chargeur. Mais soudain, ce que Louis Quenault redoutait se produit : voilà que la quarante-septième cartouche enraye la mitrailleuse et la rend inutilisable… Le combat, dominé jusque-là par les Français, va-t-il tourner à l’avantage de l’ennemi ? Non ! Par chance, plusieurs balles ont atteint leur cible… En effet, alors que Louis Quenault a déjà commencé le démontage de la culasse de l’arme pour tenter de réparer, voilà que l’Aviatik, soudain, se cabre (12), puis retombe sur le dos et se met à adopter des mouvements totalement incohérents, suivant une trajectoire désordonnée. L’appareil, dont le pilote est blessé ou inconscient – et même peut-être mort –, n’est visiblement plus contrôlé… Peu après, l’essence embarquée prend feu. L’appareil pique vers le sol en tourbillonnant comme une feuille morte et, à l’issue d’une chute vertigineuse, vient s’écraser dans les marécages de la vallée de la Vesle, à proximité des villages de Jonchery-sur-Vesle et de Muizon.   Suivi à distance par des milliers de spectateurs – les combattants des deux camps terrés dans leurs tranchées respectives –, ce combat d’une quinzaine de minutes soulèvera l’enthousiasme des combattants français. Des combattants qui répondront au bruit sourd du crash de l’avion par une longue ovation. Sur les lieux du crash déferleront un grand nombre de curieux guidés par le nuage de fumée noire provenant de l’appareil en flammes. Puis des fantassins arriveront, qui extrairont des décombres de l’Aviatik les corps partiellement calcinés des deux Allemands (13). Un groupe d’officiers s’approchera alors, parmi lesquels le général Louis Franchet d’Espèrey (14) commandant la Vearmée, qui a personnellement assisté au combat et qui ordonnera leur mise en terre avec les honneurs militaires (15). Ayant pu atterrir à peu de distance du lieu du crash, les deux aviateurs français tenteront de gagner le point de chute à travers les marécages, ce qu’ils feront sous les acclamations. Parvenus sur les lieux, ils y apprendront que les corps des aviateurs allemands ont été retrouvés, chacun, transpercés de plusieurs balles, ce qui les rassurera : du moins ont-ils échappé à d’horribles souffrances. Le général Franchet d’Espèrey promettra alors de décorer Joseph Frantz et Louis Quenault, qui recevront quelques jours plus tard, respectivement, la croix de chevalier de la Légion d’honneur et la médaille militaire (16).   Vers onze heures, les deux Français s’envoleront pour rejoindre leur terrain de Lhéry, satisfaits d’avoir fait leur devoir… et fiers d’avoir remporté la toute première victoire aérienne de l’histoire mondiale de l’aviation. De retour sur l’aérodrome, où l’on s’est inquiété de ne pas voir rentrer l’appareil, les deux aviateurs feront connaître la grande nouvelle : « Nous l’avons eu, notre Boche ! ». Dans les jours qui suivront, deux « reliques » leur seront rapportées des lieux du crash : d’une part un morceau déchiqueté du moyeu de l’hélice de l’Aviatik (17) et, d’autre part, un lourd pistolet bi-canon en cuivre et bois (gravé au pointeau de l’inscription « B 114 »), arme vraisemblablement utilisée par l’équipage allemand pour lancer des fusées servant au réglage de l’artillerie.   Cette victoire aérienne fondatrice, les deux aviateurs français ne devaient jamais l’oublier. Pas plus que le constructeur du biplan, Gabriel Voisin, qui, bien que ne l’ayant pas « vécue », déclarera bien des années plus tard : « J’ai souvent pensé à ces deux enfants que j’ai tués avec une préméditation absolument inhumaine, car c’est moi qui avais conçu cet avion meurtrier, et cet armement presque démesuré pour notre machine. »

Auteur :Frédéric Lafarge, ancien conservateur du Musée de la base aérienne 112 et de l’aéronautique locale (Reims). Septembre 2014.  

Sources : fonds d’archives du Musée de la BA 112 et de l’aéronautique locale (actuel Musée de l’aéronautique locale de Bétheny).

Notes explicatives :  

  1. Bombardier dérivé du Voisin I construit par l’entreprise Voisin Frères de Billancourt (premier vol effectué en février 1914). Motorisation : moteur Salmson en étoile refroidit par eau animant une hélice propulsive. Dimensions : 14,75 m (envergure) x 9,50 m (longueur) x 2,95 m (hauteur). Surface alaire : 49,7 m². Vitesse maximale : 115 km/h (à altitude zéro). Plafond opérationnel : environ 3 500 m. Masse à pleine charge : 1 350 kg (à vide : 950 kg). Armement : une mitrailleuse Hotchkiss de 7,7 mm. Équipage : deux passagers (pilote à l’arrière, mitrailleur à l’avant).
  2. Commune du canton de Ville-en-Tardenois dans l’arrondissement de Reims.
  3. Escadrille dotée de six appareils commandée par le capitaine André Faure.
  4. Né le 7 août 1890 à Beaujeu (Rhône) et décédé le 12 septembre 1979 à Paris, à l’age de quatre-vingt-neuf ans. Repose au cimetière de Montparnasse dans le 14e arrondissement de paris.Koseph Frantz, grand officier de la Légion d’honneur, était titulaire de la médaille militaire, de la croix de guerre 1914-1918 et de la médaille de l’Aéronautique.
  5. Né le 2 octobre 1892 à Paris, décédé à Marseille le 26 avril 1958. Repose à Peyruis (Alpes-de-Haute-Provence).
  6. Particularité s’expliquant par le fait que les aviateurs des deux camps bénéficient dans les premières semaines de la guerre d’une « impunité tacite », les états-majors excluant tout combat entre avions, comme en témoigne notamment une communiqué du quartier général allemand daté du 1eroctobre 1914 : « Ainsi que l’expérience l’a démontré, un véritable combat dans les airs, comme l’ont décrit les journalistes et les romanciers, doit être considéré comme un mythe. Le devoir de l’aviateur est de voir et non de combattre. »
  7. Mitrailleuse qui a été équipée d’un sac permettant de récupérer les douilles éjectées lors du tir, de manière à ce qu’elle ne puissent aller heurter l’hélice en rotation.
  8. Wilhelm Schlichting, âgé de vingt-trois ans, était né à Altendorf le 8 août 1891. Il était le fils de Klaus-Heinrich Schlichting, cordonnier, et de Johanna-Augusta-Sophia née Krey.
  9. Fritz von Zangen, âgé de trente et un ans, était né à Darmstadt (Hesse) le 4 mars 1883.
  10. Avion de reconnaissance construit par Aviatik Automobil und Flugapparatefabrik entreprise fondée en 1910 à Mulhouse et transférée dès 1914 à Fribourg-en-Brisgau . Mise en service : 1914. Motorisation : moteur Mercedes D.I à six cylindres en ligne à refroidissement liquide animant une hélice tractive.Dimensions : 13,97 m (envergure) x 8,63 m (longueur) x 3,30 m (hauteur). Vitesse maximale : 105 km/h (à altitude zéro). Plafond opérationnel : environ 2 500 m. Masse à pleine charge : 1 250 kg (à vide : 825 kg). Armement : aucun. Équipage : deux passagers (pilote à l’arrière, observateur à l’avant).
  11. « Il avait une vue prodigieuse ! » témoignera Gabriel Voisin, parlant de Joseph Frantz. « [Il avait] un excellent esprit, des réflexes étonnants et, surtout, un caractère très pointilleux pour ce qui touchait au fonctionnement de la machine. » Posture qui, un très court instant, inquiètera Louis Quenault, qui redoutera que le biplan ne percute l’Aviatik, d’où une énergique tape qu’il assènera à son pilote : « Attention ! On va rentrer dedans ! »
  12. Dépouilles dont seules les jambes sont calcinées, le reste des corps ayant échappé aux flammes.
  13. Louis Félix Marie François Franchet d’Espèrey, alors général de division, né à Mostaganem (département d’Oran, Algérie) le 25 mai 1856 et décédé à Saint-Amancet (Tarn) le 8 juillet 1942, nommé commandant de la Ve armée le 3 septembre 1914. Il sera élevé à la dignité de maréchal de France en 1921.
  14. Il fera de plus expédier leurs effets personnels à leurs familles, via la Croix-Rouge. Parmi ces effets figurait une lettre que le lieutenant allemand avait écrit à sa mère et qu’il n’avait eu le temps de poster avant de décoller : « […] il y a quelques jours, nous avons rencontré un avion ennemi qui nous a tiré dessus […]. »
  15. « On me propose pour la Légion d’honneur, ça me paraît beaucoup. » écrira Joseph Frantz, au soir du 5 octobre 1914, dans son petit carnet noir ficelé à l’aide d’un élastique. Ces décorations leur seront remises le vendredi 9 octobre 1914 sur le terrain d’aviation de Lhéry par le colonel Ganter, commandant l’aéronautique de la Vearmée. La différence de « traitement » entre les deux aviateurs s’explique par le fait que Joseph Frantz possédait déjà la médaille militaire, décoration qui lui fut remise une quinzaine de jours plus tôt « pour l’ensemble des services rendus par lui depuis le début de la campagne ». Joseph Frantz et Louis Quenault seront cités au Journal officiel de la République française du dimanche 18 octobre 1914 et le texte de la citation de Frantz sera ainsi libellé : « Par décision ministérielle en date du 13 septembre 1914, la médaille militaire a été conférée au sergent Frantz, pilote aviateur, pour l’ensemble des services rendus par lui depuis le début de la campagne. En particulier, le sergent Frantz, au mois d’août dernier, avait réussi, sous le feu de l’infanterie et de l’artillerie de la garnison de Metz, à lancer deux obus sur les hangars d’aérostation de Frescati. Le 5 octobre dernier, ce même sous-officier, accompagné du mécanicien tireur Quenault, a poursuivi un aéroplane et réussi à abattre un avion allemand en reconnaissance dans les lignes françaises. Le général commandant en chef lui confère la croix de chevalier de la Légion d’honneur et décerne au mécanicien Quenault la médaille militaire. »
  16. Pièce de bois rougeâtre portant l’inscription « Heine Berlin ».

   


Journées Européennes du Patrimoine 2014 : Safran ouvre les portes de son musée

©Patrice Véron / Safran
Journées Européennes du Patrimoine 2014 :
Safran ouvre les portes de son musée

Paris, le 1er septembre 2014

A l’occasion de la 31ème édition des Journées Européennes du patrimoine, le Musée Aéronautique et Spatial Safran ouvre ses portes les 20 et 21 septembre prochains.
Vous êtes en famille, passionné d’aviation et d’histoire, venez découvrir une collection de pièces aéronautiques vieille de plus de 100 ans et participer aux nombreuses animations proposées par Safran.
Cette année, le Musée proposera deux expositions :
  • Les « As de la Grande Guerre » qui s’inscrit dans le cadre des commémorations de la Première Guerre mondiale (exposition photos)
  • L’« Oiseau Blanc » : avion équipé du légendaire moteur Lorraine-Dietrich1, qui aurait traversé l’Atlantique 12 jours avant Lindbergh en 1927. Une maquette de l’avion sera exposée ainsi que le moteur Lorraine. 1 L’entreprise Lorraine-Dietrich créée en 1871 construisait des automobiles, du matériel roulant ferroviaire puis du matériel lourd et des moteurs d’avion. Elle est reprise par l’entreprise Gnome et Rhône en 1941. Le moteur Lorraine-Dietrich fera d’ailleurs bientôt partie de la collection permanente du musée Safran.
A noter la participation des Armées (Air, Terre et Marine nationale) qui présenteront leurs métiers, dont celui de l’adjudant Ludovic Quenin, spécialiste du Mirage 2000 et du moteur M53.
Tous les visiteurs pourront profiter d’animations organisées par le Musée en collaboration avec différentes associations :
©Gérard Maré / Safran
  • Le cockpit de l’A320 d’Airbus équipé du moteur le plus vendu au monde, le CFM56, sera mis en place sur le site. Il permettra aux visiteurs de s’initier au pilotage d’un avion de ligne, du décollage à l’atterrissage.(En partenariat avec GG Production « Le rêve n‘a pas de limite »)
  • Un simulateur hélicoptère Bell 206, célèbre hélicoptère américain. Les visiteurs pourront prendre les commandes de cet outil d’entrainement réaliste et faire des vols d’initiation VFR (vol à vue) & IFR (vol aux instruments).(En partenariat avec Nonolight « L ‘hélicoptère à portée de tous »)
  • Trois ateliers Fusées à eau et trois ateliers Micro-fusées à poudre seront proposés aux jeunes (dès 8 ans) afin de leur présenter de façon ludique les différentes étapes de la propulsion spatiale. Les fusées seront tirées depuis le parking du Musée (Altitude moyenne : 20 m).  (En partenariat avec « Planète Sciences »)
  • Un atelier animation mini hélicoptères radiocommandés permettra une initiation au pilotage de ces machines électriques. Cet atelier fonctionnera en continu, par période de 10-15 min. (Proposé par l’AAMS : Association des Amis du Musée Safran)

Enfin,  toutes les collections permanentes du Musée seront accessibles de 9h à 18h, avec notamment :

  • L’automobile Messier 1925 (première voiture équipée d’une suspension oléopneumatique).
  • La moto à gazogène (Gnome & Rhône D3 de 1929).
  •  L’avion « Mirage III C » et l‘hélicoptère « Alouette II » à bord desquels les visiteurs pourront se faire photographier.
  •  L’avion « Blériot 11 » (équipé du premier moteur Gnome Omega)
  • Démonstration du réacteur à décollage vertical (Coléoptère).
  • Présence sur le parking tout au long de la journée du foodtruck Goody’s

Les 20 et 21 septembre deux petits trains seront mis à disposition de tous les visiteurs et feront la navette entre les animations proposées par la commune de Réau et le Musée Safran.

Témoignages de visiteurs 2013 :
« Mon fils qui rêve d’être pilote est monté à bord du Mirage ! »
«Je suis venu en famille, c’est idéal pour les enfants car il y a beaucoup d’activités de démonstrations.»
« Ce n’est pas la première fois que je viens, mais à chaque fois on apprend ! Nous reviendrons. »

* * * * *

Le Musée Aéronautique et Spatial Safran présente une collection unique de plus de 100 moteurs d’avions, de fusées et d’hélicoptères, dont la plupart ont été restaurés par l’Association des Amis du Musée Safran (moteurs d’avions) ou par des anciens de SEP (moteurs-fusées). Fruits de l’histoire du groupe Snecma, ces moteurs racontent toute l’épopée de la conquête du ciel et de l’espace. Le Musée permet aux visiteurs de parcourir une exposition vivante et interactive où, aux cotés des objets et des
maquettes mis en scène, l’audiovisuel apporte un indispensable complément. Le Musée présente également les principaux équipements fabriqués par le groupe : trains d’atterrissage, systèmes de freinages… ainsi que différents produits prestigieux qui ont marqué son histoire ; voitures, motos, etc.

Safran est un groupe international de haute technologie, équipementier de premier rang dans les domaines de l’Aéronautique et de l’Espace (propulsion, équipements), de la Défense et de la Sécurité. Implanté sur tous les continents, le Groupe emploie 66 300 personnes pour un chiffre d’affaires de 14,7 milliards d’euros en 2013*. Composé de nombreuses sociétés, Safran occupe, seul ou en partenariat, des positions de premier plan mondial ou européen sur ses marchés. Pour répondre à l’évolution des marchés, le Groupe s’engage dans des programmes de recherche et développement qui ont représenté en 2013 des dépenses de 1,8 milliard d’euros. Safran est une société cotée sur Euronext Paris et fait partie de l’indice CAC 40.

* Le chiffre d’affaires 2013 retraité des impacts IFRS11 s’établit à 14,4 milliards d’euros

Pour plus d’informations, www.safran-group.com / Suivez @SAFRAN sur Twitter

 
©Roberto Frankenberg / Safran
Contact Safran
Adresse du Musée :
Rond point René RAVAUD
REAU
77550 Moissy-Cramayel

Horaires d’ouverture :
 9h- 18h

Pour plus de précisions, rendez-vous sur le site Internet du Musée www.museesafran.com ou contactez nous au 01 60 59 41 66


Meeting aérien à Lens-Benifontaine : 23 mai 1988

Programme du meeting de Lens du 23 mai 1988 ©Xavier Cotton

Programme du meeting de Lens du 23 mai 1988 ©Xavier Cotton

Voici quelques photos souvenir du meeting aérien qui a été organisé sur le terrain de Lens-Benifontaine le 23 mai 1988, Ces diapositives  faites avec un appareil photo argentique Minolta équipé d’un Zoom Tamron 28-200mm ont étés scannées a l’aide d’un scanner spécifique pour diapositives.

MS505 F-BARP ©Xavier Cotton

MS505 F-BARP ©Xavier Cotton

Le MS505 Criquet F-BARP à moteur Jacobs (cn 496) alors sous couleurs espagnoles était la propriété de aéro-club Jean Bertin de Chavenay. En Février 2014, Il était stationné dans un hangar à Montbéliard-Courcelle (LFSM) l’hélice en moins (il l’avait encore en 2009),pour le moment l’appareil ne vole plus et aurait désormais besoin d’une restauration complète comme on peut le voir sur sur http://spotaero.blogspot.fr

MS317 F-BGUZ en vol ©Xavier Cotton

MS317 F-BGUZ en vol ©Xavier Cotton

 Le MS317 F-BGUZ (cn 306) était aussi la propriété de aéro-club Jean Bertin de Chavenay il leur appartiendrait toujours mais serait stocké dans un hangar en attente de restauration suite à un accident  lors d’une remise de gaz en date du 2 avril 2010.

Stampe SV4 F-BAHF ©Xavier Cotton

Stampe SV4 F-BAHF ©Xavier Cotton

Présent au meeting de Lens en 1988, le Stampe SV4C F-BAHF (cn 1121 construit en 1949). Son premier propriétaire était l’État à travers le SFA (Service de Formation Aéronautique) qui l’avait basé à Carcassonne, puis à Challes-les-Eaux de 1964 à 1966. Il a été ensuite vendu à l’Aéroclub Marcel Dassault Voltige (Nangis-Les Loges). D’après le registre de la DGAC (direction Générale de L’aviation Civile), il est basé à Rethel-Perthes (Ardennes) depuis 1981.

Le MS505 F-BARP ©Xavier Cotton

Le MS505 F-BARP ©Xavier Cotton

La Patrouille de France 1988 sur Alpha Jet ©Xavier Cotton

La Patrouille de France 1988 sur Alpha Jet ©Xavier Cotton

La patrouille de France sur Alpha Jet 1988 ©Xavier Cotton

La patrouille de France sur Alpha Jet 1988 ©Xavier Cotton

Solos N°7 et N°8 de la Patrouille de France 1988 ©Xavier Cotton

Solos N°7 et N°8 de la Patrouille de France 1988 ©Xavier Cotton

Alouette III de l'ALAT ©Xavier Cotton

Alouette III de l’ALAT ©Xavier Cotton

Ballon à Gaz Banque Populaire ©Xavier Cotton

Ballon à Gaz Banque Populaire ©Xavier Cotton

Les 3 PC7 (HB-HMA, HB-HMB, HB-HMC) de la Patrouille Martini-Europe 1 ©Xavier Cotton

Les 3 PC7 (HB-HMA, HB-HMB, HB-HMC) de la Patrouille Martini-Europe 1 ©Xavier Cotton

Passage à l'anglaise de la Patrouille Martini-Europe 1 ©Xavier Cotton

Passage à l’anglaise de la Patrouille Martini-Europe 1 ©Xavier Cotton

C’est en 1986 que la Patrouille Martini-Europe 1 a changé d’appareils passant du Sia Marchetti SF260 au Pilatus PC-7 passant ainsi du moteur à piston au turpopropulseur. La Patrouille Martini-Europe 1 équipe  ses avions d’un pod sous chaque aile avec un système de fumigène,  cette double trainée permet de bien souligner leurs évolutions dans le ciel. En 1991 La patrouille Martini-Europe1 devra cesser son partenariat avec la célèbre marque d’apéritif suite à la loi Évin du 10 janvier 1991 relative à la lutte contre le tabagisme et l’alcoolisme.

MS317 F-BGUZ en vol ©Xavier Cotton

MS317 F-BGUZ en vol ©Xavier Cotton

CAP 20 LS 200 F-GAUA ©Xavier Cotton

CAP 20 LS 200 F-GAUA ©Xavier Cotton

Ce CAP 20 LS 200 (cn 02)  F-GAUA appartenait alors à aéro-club de Château Thierry. En 1999 il a été acheté par Dominique Levrel qui l’a basé à Nouméa. Dimanche 29 novembre 2009 lors du meeting aérien d’Ouatom en Nouvelle Calédonie, Christine D’Arbel qui pilotait l’avion s’est grièvement blessée lors d’un accident. Suite à une mise en vrille de l’appareil, l’avion s’est écrasé au milieu des arbres en dehors de l’aérodrome. Christine D’Arbel est remise aujourd’hui de son accident et on lui souhaite de continuer à partager l’aviation !
Vous pouvez voir les photos du meeting de Lens 1988 sur Flickr en suivant ce lien: 1988 meeting de Lens

Amicale du Super Constellation – Journées Portes Ouvertes – 27 & 28 septembre 2014

L’Amicale du Super Constellation organise des Journées Portes Ouvertes
 les 27 et 28 septembre 2014.
L’Amicale du Super Constellation organise des Journées Portes Ouvertes les 27 et 28 septembre 2014.
Ce sera l’occasion pour le public de (re)découvrir le Lockheed L-1049 C Super Constellation, le plus bel avion de ligne à moteurs à pistons jamais construit.
Sorti des usines de Burbank, CA en novembre 1953, le F-BGNJ est le dernier exemplaire encore en « bon état » existant en France.
Classé monument historique, il est le premier appareil à avoir participé aux évacuations sanitaires lors du conflit du Biafra en 1968.
Il est ainsi à l’origine de la création d’Aviation Sans Frontières qui verra le jour 10 ans plus tard.
En restauration depuis 2000, il est depuis 2012 enfin ouvert au public.
Beaucoup de travaux de restauration restent à faire, notamment le remplacement de l’ensemble des hublots (en cours), la restauration complète du cockpit (quasi terminé), l’aménagement d’une partie des sièges et d’un petit salon version « Parisien Spécial », la remise en place des dérives à entoiler…

Cette année nous aurons le plaisir d’accueillir les associations Aéroscope, AREA ainsi qu’ Aviation Sans Frontières.

Venez nombreux !

Lieu : Aéroport de Nantes-Atlantique – Chemin de Frémiou, Saint Aignan de Granlieu. (à côté de Météo France)
GPS : Lat 47° 8’57.59″N – Long 1°36’25.12″O 
Horaires d’ouverture : Samedi et Dimanche de 9h 12h30 et de 14h à 18h30
Tarif : 4 € (gratuit pour les moins de 18 ans), parking gratuit
Renseignements et informations : http://superconstellation-nantes.fr et contact@superconstellation-nantes.fr

Plan d’accès au Lockheed L-1049 C Super Constellation F-BGNJ

Portes Ouvertes du Bernay Cumulus Club d’ULM

Tout est dans l’affiche, si vous habitez dans l’Eure et que vous souhaitiez découvrir le vol en ULM dans une ambiance chaleureuse alors venez aux Portes Ouvertes organisées le 6 septembre 2014 (de 10 à 19 heures) sur l’aérodrome de Bernay-Saint-Martin par le « Bernay Cumulus Club ».
Si vous souhaitez manger sur place, ce sera possible entre 12H30 et 14h00 pour 20€ par personne (10€ pour les moins de 12 ans). Un cochon de ferme sera farci et grillé sur place.
Pour plus de renseignements et réserver votre repas vous pouvez contacter le club au 06 75 60 48 95 ou 06 16 56 46 98 

Meeting aérien du centenaire à Amiens

Meeting Aérien Somme 14-18
Aérodrome d’Amiens-Glisy
12, 13 et 14 septembre 2014
Entrée libre
Vendredi 12 septembre :
Cette première journée est ouverte aux établissements scolaires avec de nombreux ateliers pédagogiques adaptés aux jeunes et au grand public. Durant l’après-midi, la Patrouille de France (PAF) effectuera son vol d’entraînement au-dessus de l’aérodrome. 
Samedi 13 septembre :
Le site de l’aérodrome d’Amiens-Glisy accueillera des démonstrations d’avions historiques, d’ULM, de planeurs, de ballons, de montgolfières, de cerfs-volants et de sauts en parachute. La Patrouille de France effectuera son show en milieu d’après-midi. De nombreuses animations ponctueront cette journée.

07h00 – Décollage de montgolfières sur les sites de la Grande Guerre
09h30 – Activités ludiques et animations
           – Vols d’aéronefs historiques
14h30 – Ouverture et cérémonie commémorative
           – Vol du Dakota avec sauts de parachutes avec drapeaux européens
            – Défilé et aubade de la musique de l’Air
            – Défilé des reconstituants historiques, avec roulage de véhicules d’époque  
           – Vols d’avions historiques
           – Concerts de Pipe Band
16h30 – Show acrobatique de la Patrouille de France
           – Vols d’avions historiques
17h30 – Gonflement des ballons
18h30 – Décollage des ballons
19h00 – Décollage des montgolfières 

Dimanche 14 septembre :

07h00 – Décollage des montgolfières sur les sites de la Grande Guerre
09h30 – Activités ludiques et animations
          
           – Vols d’aéronefs historiques
13h30 – Meeting aérien des avions historiques avec des avions venus de France, de Belgique, d’Allemagne et d’Angleterre. Depuis le car podium de l’Armée de l’Air, avec les commentaires éclairés d’Ivan Hairon et des présentateur de l’armée de l’air sur les différents avions en évolution, le public pourra mieux apprécie et comprendre le rôle important de l’aviation et ses évolutions au cours de la Grande Guerre.
Plateau du Meeting aérien, sont déjà annoncés : 
 
    •    Triplan Fokker Dr1’s
    •    Triplan Sopwith
    •    Fokker Einedecker
    •    Royal Aircraft Factory SE5
    •    Patrouille de Stampes
    •    Boeing Stearman
    •    Piper Cub (avion de reconnaissance)
    •    Lancer de cerf-volant d’observation « Saconnney »
    •    Répliques ULM d’avion 14-18
    •    Voltige aérienne (avions et planeurs)
    •     Parachutisme
 Pour plus d’informations :  www.centenaire-aerien-somme14-18.fr


21eme Meeting aérien international de Roanne

21ème meeting aérien international de Roanne
L’aviation militaire de la grande guerre à nos jours
Aérodrome de Roanne
Samedi 6 septembre 2014
de 14H00 à 18h00

Le thème du 21° meeting aérien international de Roanne sera l’aviation militaire de la Grande Guerre à nos jours. Le programme est maintenant quasi définitif et le plateau sera d’une exceptionnelle qualité et d’une grande diversité et nous verrons évoluer tous les types d’avions en 6 tableaux : L’aéronautique à Roanne – L’aviation dans la 1ère Guerre – L’essor de l’Aviation – La 2ème Guerre Mondiale – L’après guerre et l’aviation contemporaine – Les réacteurs, les patrouilles, l’aviation militaire et un final en Bleu-Blanc-Rouge. Des avions prestigieux de la première guerre mondiale jusqu’aux avions à réaction modernes, c’est toute l’évolution de l’aviation de 1914 à 2014 qui sera présentée.

Cette 21eme édition s’annonce exceptionnelle par le nombre, la variété, et la qualité des appareils présents: SE5, FOKKER, SPITFIRE MUSTANG, SKYRAIDER… pour n’en citer que quelques un!

De nombreuses patrouilles et formations feront également le show: Les COCHONS LEADER, Les CAPTENS, La patrouille REVA, Les CARTOUCHE DORE, Boeing PT17 STEARMAN, TANGO BLEU, SPARFLEX sur L39 et LA PATROUILLE DE FRANCE qui clôturera ce meeting à 18H30.

La voltige, toujours impressionnante par la dextérité des pilotes en solo ou en patrouille ravira les spectateurs par les impressionnantes figures présentées avec les CAP 10 de Claude ROUX et des CAPTENS.

Nous verrons également évoluer les 2 champions de France 2014, et du monde en titre, de voltige aux commandes de leur EXTRA 330SC : Aude LEMORDANT et François LE VOT.
Et pour la première fois à Roanne, une simulation de course d’avions entre pylônes. Attraction conçue et réalisée par des pilotes Roannais
 
Dernière minute : l’avion gros porteur d’Airbus Industrie l’AIRBUS A 380 sera présent au meeting de Roanne.
C’est Ivan HAIRON qui assurera avec maestria les commentaires de ce meeting faisant rêver petits et grands devant les démonstrations éblouissantes des pilotes et de leurs machines, tout en nous faisant partager informations techniques et historiques grâce à sa gigantesque culture aéronautique.

Horaire :
9H00 :  ouverture de la plateforme
10h30 à 12h00 : présentation en vol des avions basés
14h00 à 18H30 : Meeting aérien
18h30 : Clôture du meeting avec la Patrouille de France

Tarif :
Moins de13 ans gratuit
De 13 à 18 ans 5€
Adultes 20€
Pour plus de renseignements : http://www.meeting-roanne.net


Potez 29 Escadrille 1 d’Indochine à Bach MaÏ

Potez 29 n°30  escadrille 1 d’Indochine ©Jacques Hémet

Potez 29 n°30 escadrille 1 d’Indochine ©Jacques Hémet

Voici de nouveau une photo de la collection Jacques Hémet. A la question posée sur Aéroforum, Lucien Morareau qui a participé au livre « L’Aviation Française en Indochine 1910-1945 » de Christophe Cony Michel Ledet m’a répondu.
Cette photo a été prise le 17 décembre 1933 sur le terrain de Bach Maï près d’Hanoï. L’appareil un Potez 29 avait ainsi été décoré pour un numéro comique organisé par les membres de la 1ère escadrille à l’occasion d’un fête aérienne donnée ce jour. De gauche à droite et de haut en bas, on peut lire les inscriptions suivantes sur l’appareil : « Défense d’afficher – Fragile – Messagerie-Transit – Air-Anziani Hanoï – Entrée – La Flèche Tonkinoise – Sens de marche – Haut – Bas »
Au second plan,on peut voir deux Potez 25 TOE.

Source de des informations :
« L’Aviation Française en Indochine 1910-1945 » de Christophe Cony Michel Ledet avec la participation de Lucien Morareau paru aux éditions Lela Presse le 10 juin 2012


Show aérien en hommage à Louison Bobet

Show aérien en l’honneur de Louison Bobet
Aérodrome de Quiberon
22 août 2014

A l’occasion du cinquantième anniversaire de la thalassothérapie, la Ville de Quiberon rend hommage à Louison Bobet, grand sportif et créateur de la thalassothérapie bien-être. Vous pouvez  trouver ici le programme complet des festivités :  
http://www.quiberon.com/decouvrir/les-50-ans-de-la-thalassotherapie-de-quiberon
Mais il faut noter en particulier qu’à partir de 12h  sur l’aérodrome de Quiberon vous pourrez assister à un Show aérien commenté par Ivan Hairon. Vous pourrez y admirer les évolutions de la patrouille Captens, mais aussi  de quelques Biplans classiques tels qu’un Boeing Stearman PT17, un WACO YMF-5,  un CB1, un Pitts S 2 A et encore des parachutistes… en maillot jaune !
Des avions anciens seront exposés. Les commentaires seront assurés par Ivan Hairon.
Au sol, Danny Dimbas assurera l’ambiance musicale, sur un rythme jazzy et ensoleillé.

Louison Bobet en 1956 collection privée Dominique Morin
Renseignements : 
Ville de Quiberon – Tél. 02 97 30 24 00 – quiberon@ville-quiberon.fr
Sérine Barbin 06 74 90 00 11 – serine.barbin@bbox.fr
Florence Walter 02 97 30 24 25 – communication@ville-quiberon.com

Fête Aérienne de Saint Quentin-Roupy

Affiche dessinée par Antoine Crespin
Fête Aérienne Aérodrome de Saint-Quentin Roupy
24 Août 2014 
de 10h00 à 18h30

Les festivités auront pour thèmes :

  • la Commémoration du Centenaire de la Guerre 14 / 18 avec la reconstitution de combats aériens. 
  •  et les 70 ans de la Libération de la Ville de St Quentin. 

La présence de la Patrouille de France, de la Patrouille Cartouche Doré et de l’Équipe de Voltige de l’Armée de l’Air ainsi que du Sirpa Air sont confirmés par le Ministère de la Défense.
Mais il y aura  aussi bien d’autres avions tel que Cessna 140 et Luscombe, une patrouille de 2 Pitts qui feront de la voltige, des Biplans Stampe SV4C et MS 317, un Yak 52 et un Yak 3 au couleurs du Normandie-Niemen Klem 35D, Pilatus P2, Beech18, Fieseler Storch….
Une reconstitution des combat aérien  de la guerre de 14-18 aura lieu avec des effets pyrotechniques avec un Morane type H, un Fokker DR1 Triplan comme celui du Baron rouge, Léopoldoff, Royal factory SE-5….. De même aura lieu une reconstitutions des combats aériens de la seconde guerre mondiale.
 C’est Ivan Hairon qui assurera les commentaires de ce magnifique show aérien se terminera à 18h30. Tout cela pour un prix d’entrée modeste de 5€