Je remercie vivement le Musée de L’aéronautique locale de Bétheny qui accueille la série de photos » D’#Hélicesetnuages » durant les Journées Européennes du Patrimoine, les samedi 17 et dimanche 18 septembre 2022. Xavier Cotton sera présent les samedi et dimanche après-midi pour vous recevoir et échnager sur les photos exposées les photos sont tirées sur papier Hahnemühle Photo Rag® Metallic 340 g/m² · 100 % coton · blanc naturel · finition métallique haute brillance le tout contrecollé sur Dibond® .
Exposition photo de Xavier Cotton au Musée de l’aéronautique locale de Bétheny
3e rencontres photographiques de Chateau-Thierry
Le club photo de Château-Thierry (Marne) organise pour la 3eme fois » Les rencontres photographiques de Château-Thierry « . Elles se tiendront, les 7 et 8 mai au Palais des sports de 10h00 à 21H00 le samedi et de 10h00 18h00 le dimanche.
A voir et à écouter : les expositions des 42 photographes retenus pour cette éditions, le stand du Photo-Club, des stands des professionnels du tirage, des conférences…
Ami(e)s photographes, on vous attends nombreux pour venir partager votre passion avec les exposants.
Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter les organisateurs:
- rencontresphotographiques02@gmail.com
- 06 80 99 04 72
PS : j’ai l’honneur d’avoir été sélectionné pour participer à cette 3e rencontre photographiques de Château-Thierry. Pour ces rencontres photographiques, j’ai choisi un thème sur l’aviation bien sûr, « D’hélices et Nuages« . Ne manquez pas de venir les 7 et 8 mai à Chateau-Thierry.
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Exposition photo : Jean-Bernard BARSAMIAN
Images Volantes
de Jean Bernard Barsamian
à Saint-Clément dans l’Allier
du 7 novembre au 8 décembre
Les samedis et dimanches 15h-17h
Entrée libre, masque obligatoire
Jean-Bernard Barsamian est né en 1971 en région parisienne. Il passe son enfance au milieu des cartons de déménagement qui finissent par s’échouer dans le Morbihan. Dans ce remue ménage, un jour, sa salle de bain prend des allures de labo photo. Et, c’est entre les bulles de savon et les effluves du révélateur que jaillit la passion. Sans doute aussi l’héritage immatériel d’une lignée d’aïeux exaltés.
A 7 ans, il déclenche son premier Instamatic offert par son père artisan photographe et artiste peintre. Pour lui, les vacances d’été s’organisent en camps de fouilles archéologiques avec son oncle professeur d’histoire. A 10 ans Jean-Bernard tient là sont premier sujet de «reportage » avec son premier réflex prêté pour l’occasion. A l’adolescence, le goût de l’image s’affirme mais loin de l’école de photographie de ses rêves.
Autodidacte, c’est en 2000 que Jean-Bernard décroche son premier job dans l’image. Responsable de la photographie dans une société de production durant 6 ans, il se forge une solide et riche expérience. Il couvre l’actualité de son département, qu’il s’agisse d’événements institutionnels, de politique, de sport et de spectacle. L’école sur le tas.
En 2006, il se sent prêt pour donner un nouvel élan à sa passion et devient photographe indépendant. Il crée la photothèque du Génopole d’Evry, collabore avec Easyvoyage pour réaliser les book hôteliers à l’étranger, poursuit les campagnes politiques, les reportages institutionnels et répond à un carnet d’adresses pour des reportages événementiels.
En 2009, devenir père nécessite quelques garanties sur l’avenir, il intègre alors les Archives départementales des Yvelines. Son travail de photographe s’ouvre sur d’autres aspects : la numérisation et la prise de vue studio et en extérieur. Parallèlement, il continue, pour son propre compte, à couvrir des événements sportifs notamment dans le domaine du motonautisme (24 heures de Rouen, Championnat du monde de Chalon sur Saône, 25 heures de SPA Francorchamps en Belgique…), mais aussi les Mongolfiades, (Festival d’Aras), des spectacles de compagnies de danses orientales, des festivals de jazz, des concerts et initie des travaux plus personnels (notamment autour du Graff)… Il publie dans l’express, dans des revues spécialisées, ses photos font l’ affiche d’événements, la couverture de livre…
Pour Jean-Bernard, s’exprimer par l’image est primordial. Véhiculer ses émotions informer, témoigner, créer, faire voyager, Jean Bernard s’inscrit dans la justesse, la simplicité et l’humilité du regard, fidèle à l’homme discret et sensible qu’il est. Son univers photographique s’arrête notamment sur des photojournalistes de guerre tels que Robert Capa et James Nachtwey pour leur proximité des sujets et leurs témoignages au péril de leur vie. Les noirs et blancs profonds de Jeanlou Sief, et «Les absences du photographe» de Raymond Depardon ou encore les «Vaches» de Thierry Des Ouches font aussi parti de son spectre artistique.
Depuis 3 ans, en fil rouge de son quotidien, Jean-Bernard s’est pris au jeu des instants volés dans son RER qu’il fréquente inlassablement «3 heures par jour, 15 heures par semaines, 60 heures par mois, si tout va bien …» Des jambes croisées, des rails à vif, des tags, des lumières, des brouillards, des mots d’amour, des lectures abandonnées, des foules, des solitudes, des rêveries, des mains affairées, des corps mêlés, des quais désertés, des reflets… Il habite des reflets intarissables intimement poétiques de vies qui ne le sont pas,toujours.
Jean-Bernard, c’est aussi cet attachement à l’Arménie. Le sujet lui va bien et ses clichés N&B de Gyumri bouleversent et piquent l’épiderme.
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Le choix du noir et blanc (épisode 7) : gros plans
Comme je l’avais indiqué dans « Le choix du noir et blanc » certaines photos aéronautiques m’inspirent pour les passer en noir et blanc, cela leur donne un aspect intemporel qui me plait bien. Que ce soit le rendu du métal poli de ce célèbre P-38 Lightning, le reflet du casque d’un pilote de la patrouille Sparflex sur l’aile du L39 Albatros, le coté sobre de cette photo de Mirage F1CR , bien sur l’hommage à Daniel Koblet, pilote disparu, réfléchissant devant le capot ouvert sur la beauté du moteur de son MS-406. ou encore la mis en évidence du flux de chaleur à la sortie des réacteurs de ce rafale et cette série de dérives de Falcon, qui sont probablement en attente de livraison
Surtout n’hésitez pas à laisser vos commentaires pour donner votre avis qu’il soit positif ou négatif.
Si vous souhaitez voir les épisodes précédents en voici la liste :
- Le choix du noir et blanc (épisode 1)
- Le choix du noir et blanc (épisode 2)
- Le choix du noir et blanc (épisode 3)
- Le choix du noir et blanc (épisode 4)
- Le choix du noir et blanc (épisode 5)
- Le choix du noir et blanc (épisode 6)
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Le choix du noir et blanc (épisode 5) : doublé d’hélices
Comme je l’avais indiqué dans “Le choix du noir et blanc” certaines photos aéronautiques m’inspirent pour les passer en noir et blanc, tout en leur donnant un aspect intemporel, cela permet de souligner des formes, des ombres et reflets. Cette fois-ci j’ai choisi de vous montrer des avions volant à deux sur le thème « D’hélices et nuages »
Surtout n’hésitez pas à laisser vos commentaires et vos critiques pour donner votre avis.
Si vous souhaitez voir les épisodes précédents en voici la liste :
- Le choix du noir et blanc (épisode 1)
- Le choix du noir et blanc (épisode 2)
- Le choix du noir et blanc (épisode 3)
- Le choix du noir et blanc (épisode 4)
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D'hélices et nuages
En parcourant ma collection de photos prises en meeting aérien, je me suis dit qu’il y avait de quoi faire profiter les passionnés d’avions et de photos. Alors voilà, j’ai construit un album photo noir et blanc en choisissant uniquement des avions à hélice sur fond de nuages, d’où le titre « D’hélices et nuages »
En attendant peut être un jour de l’exposer sur papier, si j’en trouve l’opportunité et le financement, j’aimerai que vous m’apportiez critiques et commentaires sur cette série de photos
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Louis-Paul Bonvillain auteur de la première photo aérienne
A la recherche d’innovation et de sensations cinématographiques nouvelles, Louis-Paul BONVILLAIN, directeur des actualités et du service scientifique de la maison Pathé, fut le premier, à embarquer une caméra dans un avion, C’était à bord du Flyer piloté par Wilbur Wright le 9 octobre 1908 au camp d’Auvours.Voici la photo historique de Louis-Paul Bonvillain (assis) fixant son appareil photographique à l’avion tandis que Wilbur Wright vérifie le moteur du Flyer avant le décollage, tracté sur un rail qu’on aperçoit en bas, partant vers la gauche. Cette splendide photo de Louis-Paul Bonvillain, conservée par son fils Pierre, apporte la preuve que la première bande cinématographique aérienne a été effectuée à Auvours le 9 octobre 1908.
« La première photographie en aéroplane » fut publiée dans « la Vie au grand air », le 28 novembre 1908 avec cette légende: « CE QU’ON VOIT DE L’AÉROPLANE WRIGHT. » La photographie présentée est extraite du « premier film cinématographique, pris à bord d’un aéroplane par M.Bonvillain, directeur du Service des voyages de la maison Pathé ».
Sources des informations :
- Cyrille Bonvillain petit-fils Louis-Paul Bonvillain
- BNF Gallica : https://gallica.bnf.fr/
- Passion pour l’aviation : http://www.passionpourlaviation.fr/2015/01/18/wilbur-wright-au-mans-en-1908/
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Exposition : Boulogne- Billancourt à la conquête du ciel
Des pionniers de l’aviation à la grande industrie
29 janvier – 29 juin 2014
MANOLO CHRÉTIEN
Photographe-plasticien
présenté par la Galerie Arnaud Bard
29 janvier – 2 mars 2014
29 janvier au 29 juin 2014.
Cette exposition patrimoniale propose de découvrir une aventure humaine et industrielle hors du commun qui s’est déroulée à Boulogne-Billancourt même, du début du 20e siècle à l’après-guerre :
l’histoire des pionniers, des entrepreneurs et des industriels de l’aérostat et de l’aviation.
Moteurs d’avions de l’époque, peintures et esquisses de monuments commémoratifs, plans, autographes, films, photographies, journaux, maquettes, affiches, lithographies, jouets, plâtres, cartes postales… Au travers des différents objets et œuvres exposés, le visiteur pourra revivre des moments
ayant contribué au développement de la ville et à son âge d’or industriel.
Pour mettre en valeur ce patrimoine disparu de Boulogne-Billancourt, le service du patrimoine et les Archives municipales de la ville se sont associés au MA-30. Le musée de l’air et de l’espace du Bourget et le musée des Arts et Métiers ont prêté plusieurs œuvres et objets pour cette occasion.
L’exposition comprendra trois grandes sections : l’avionnerie boulonnaise, la production boulonnaise et l’aviation à Boulogne-Billancourt, et permettra également de découvrir le portrait de quelques uns des plus grands avionneurs boulonnais : Esnault-Pelterie, les frères Voisin, Farman…
Conjointement à cet événement au sein du MA-30, les visiteurs pourront admirer un authentique avion de l’épopée boulonnaise dans la nef de l’espace Landowski. Et du 29 janvier au 2 mars 2014, ils y verront aussi les œuvres du photographe plasticien Manolo Chrétien, fils du célèbre spationaute Jean-Loup Chrétien.
L’originalité des clichés instantanés de Manolo Chrétien tient au regard particulier qu’il porte sur les carlingues d’avions. Il se focalise sur un détail : peinture, pochoir, trace de vie antérieure… Ses œuvres sont tirées uniquement sur des feuilles d’aluminium brossé de formes et de formats inhabituels, et sont des abstractions à mi-chemin entre peinture et photographie.
D’autres manifestations sur le thème de l’aviation seront également organisées au cours du premier semestre 2014 à Boulogne-Billancourt, dans le cadre de la programmation culturelle de la ville.
À travers cette exposition, la ville de Boulogne-Billancourt entend poursuivre sa politique culturelle à la fois ambitieuse et dynamique, issue de l’incroyable richesse de son patrimoine historique et industriel.
Blue Flame-ALUMINATIONS JUSTE-CIEL-Oshkoch/USA-juillet 2012 ©Manolo Chretien |
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Exposition photographique : Mille et une manières de voler d’Alain Ernoult
@Alain Ernoult |
Mille et une manières de voler
par Alain Ernoult
du photographe Alain Ernoult, qui mettent en lumière les différentes étapes techniques qui ont conduit l’homme à la conquête du ciel.
Ses passions pour la lumière, la vitesse et la liberté du ciel ont amené Alain Ernoult à porter un regard intense sur le vol, les hommes en vol et toutes les façons de voler. La maîtrise des images et leur beauté parfois insolite montrent à l’évidence la relation étroite qui associe à la performance des machines, la prouesse du pilote et celle du photographe. Chacun est emporté
dans un même mouvement par son goût des limites. Le visiteur pourra ensuite continuer son exploration du ciel en assistant à une séance du planétarium.
Source des informations :
Alain Ernoult : http://www.ernoult.com/
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Exposition de photographies de la Donation Couzinet à La Roche-sur-Yon 21 mai-31 août
René Couzinet et Jean Mermoz devant l’Arc-en-Ciel AMRY Donation René Couzinet |
1928 – 1933
Exposition de photographies de la donation Couzinet
21 mai – 31 août
Rue du vieux marché et place de la vieille horloge
En 1921, il entre à l’École des arts et métiers d’Angers dont il sort diplômé en 1924. Puis il fait Sup’Aéro et débute son service militaire au Bourget. C‘est à ce moment qu’il trace les plans de son premier avion qu’il baptise « Arc-en-Ciel ».
Le 7 mai 1928, l’« Arc-en-Ciel » décolle pour la première fois de l’aérodrome d’Orly lors d’un nouveau vol d’essai. L’appareil s’écrase sous les yeux de René Couzinet.
Le deuxième « Arc-en-Ciel » est détruit par un incendie en février 1930.
Le troisième « Arc-en-Ciel » est assemblé au début de 1932 et des vols d’essai ont lieu pendant l’année.
Enfin, le 7 janvier 1933, l’« Arc-en-Ciel » décolle du Bourget. Le 16 janvier l’appareil effectue la traversée de l’Atlantique Sud de Saint-Louis du Sénégal à Natal (Brésil) avec six personnes à bord (dont Mermoz, le pilote, et Couzinet, le constructeur).
Le 17 janvier, l’appareil se pose à Rio de Janeiro, puis le 22 à Buenos Aires. Une foule immense acclame l’équipage.
Le 21 mai, l’appareil est de retour au Bourget. L’exploit est salué par le public et la presse internationale.
La Maison Renaissance est ouverte du lundi au samedi de 15 h à 18 h, en juillet et en août, sur rendez-vous pour les autres périodes.
Ouverture exceptionnelle de la maison Renaissance les 24 et 25 mai de 10 h à 18 h.
La Ville de La Roche-sur-Yon est dépositaire depuis 1985 de la donation Couzinet, constituée des archives de l’entreprise Avions René Couzinet et d’objets et de photographies présentés à la maison Renaissance (salle René Couzinet, au 1er étage).
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Les Envols : Jacques Henri Lartigue et les débuts de l’aviation
Photographie Jacques Henri Lartigue / «15 janvier 1911. Issy-les-Moulineaux. Mahieu sur Henri Farman et un Blériot XI » / © Ministère de la Culture – France / AAJHL |
un grand photographe, Jacques Henri Lartigue. Passionné par les débuts de l’aviation, il est venu à
Issy entre 1907 et 1912 pour photographier les performances audacieuses et spectaculaires qui s’y
déroulaient.
Au-delà de cette évocation du glorieux passé isséen, l’exposition présente l’objet de curiosité qu’est alors l’aviation naissante. Les clichés nous font découvrir des engins volants en tous genres (aéroplanes, dirigeables et « aviettes ») ainsi que les essais de décollage de Gabriel Voisin et d’Alberto Santos-Dumont, qui témoignent de l’aspect inventif de leurs tentatives de vol.
Les exploits et les prouesses sont régulièrement rapportés dans les journaux. C’est ce qui amène Jacques Henri Lartigue à vendre ses premiers clichés à la presse ; par exemple, l’« extraordinaire virage de Roland Garros sur Blériot XI, à Issy-les-Moulineaux le 15 mai 1911», reproduit en première page de La Vie au Grand Air dans son numéro du 10 février 1912, témoigne de cette conquête de l’air. Plusieurs de ses escapades isséennes sont par ailleurs mentionnées dans ses agendas de 1911 et 1912.
Issu de la grande bourgeoisie parisienne, amateur de divertissements et lui-même sportif assidu, il porte un intérêt soutenu aux sports mécaniques, symboles de vitesse et de nouveauté. Il évolue avec aisance dans ce monde où les héros sont en même temps les inventeurs, les ingénieurs et les pilotes de leurs machines. Les compétitions qu’ils se disputent et les records qu’ils remportent suscitent son
enthousiasme d’enfant et de jeune homme. Ce sont autant de prétextes à une apologie visuelle du mouvement – sujet qui retient toute son attention de photographe. Telles sont les approches que l’exposition se propose de privilégier dans une œuvre qui couvre presque un siècle. Elles font écho au regard tour à tour curieux, ébloui, admiratif de ce personnage qui, depuis son premier appareil reçu à l’âge de huit ans, pratique la photographie en amateur peu soucieux des convenances. En outre, témoins de son univers, ces clichés illustrent cette grande épopée.
Cette exposition, réalisée avec l’Association des Amis de Jacques Henri Lartigue / Ministère de la Culture –France, s’accompagne d’un riche programme d’animations et de conférences.
Photographie Jacques Henri Lartigue / «1910. Janvier. Paris – Issy les Moulineaux, Henry Farman sur son nouveau biplan à ailerons arrières.» / © Ministère de la Culture – France / AAJHL |
CONFERENCES :
Jacques Henri Lartigue (1894-1986), une vie en images
Jeudi 16 mai 2013, à 18h30
Conférence par Selma Zarhloul, Association des Amis de Jacques Henri Lartigue (Donation Jacques Henri Lartigue) / Ministère de la Culture
Né dans un milieu privilégié, préservé des vicissitudes du quotidien, Lartigue a la prescience de vivre des moments exceptionnels voués à disparaître. Dès lors, il va mettre tout en oeuvre afin de garder la trace de ces instants de vie. Il nourrit ainsi une oeuvre protéiforme – à travers la peinture, l’écriture et la photographie entre autres – qui parcourt le vingtième siècle. Une œuvre solaire obéissant à une seule injonction : capturer la beauté !
Jacques Henri Lartigue, peintre et photographe au cœur des années folles
Jeudi 20 juin 2013, à 18h30
Conférence par Anne-Laure Sol, Conservateur du Musée d’art et d’histoire Louis Senlecq – Centre d’Art Jacques Henri Lartigue (L’Isle-Adam)
Dans le tourbillon des années folles qu’il vit intensément, la peinture est invoquée par Jacques Henri
Lartigue comme un troisième médium – après le journal intime (ses fameux agendas) et la photographie -pour tenter d’endiguer la marche des années.
Après quelques leçons à l’Académie Julian, il se met à peindre avec la même boulimie qu’il photographie ou écrit.
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Expo 2010 « Nos agents ont du talent » au CRNA-Est
Ces photos furent affichées au CRNA-Est du 18 juin au 18 novembre 2010 dans le cadre de l’exposition « Nos agents ont du Talent ». En cliquant sur le diaporama vous pouvez avoir accès à l’Album sur Picasa Web, où je donne plus d’informations sur chaque photo.
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