A400M Tactical Display : présentation en meeting

En 2018, Un équipage du CIET (Centre d’instruction des Équipages de Transport) réalise une démonstration tactique de dix minutes de l’A400M lors d’une cérémonie officielle militaire à Salon de Provence. Ces dix minutes ont suffi pour que les organisateurs de meeting aérien réclament avec force la présence de l’A400M Tactical Display pour leur programme. Devant ce succès les deux démonstrations officielles prévues pour l’année ne pouvaient suffire, et finalement cette année, c’est dix-huit présentations publiques qui ont été inscrites au programme de l’A400M Tactical Display.

Lors de la démonstration tactique, l’A400M Atlas s’élance silencieusement sur la piste et malgré ses presque 80 tonnes prend son envol majestueusement et à partir de ce moment le rythme s’accélère franchement, l’avion commence par afficher un taux de montée vertigineux suivi d’un virage à 120° d’inclinaison.

En quelques secondes, l’avion démontre sa grande manœuvrabilité et une capacité à dégager rapidement l’axe de piste comme s’il évoluait dans une zone hostile afin d’éviter un tir ennemi.







Depuis le 26 avril 2019, quinze A400M Atlas sont affectés à l’escadron 1/61 Touraine basé sur la BA123 d’Orléans Bricy.
A noter, sur la dérive du F-RBAA la décoration pour célébrer les 75 ans du 1/61 Touraine.
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Cap’tain Mike : Les tribulations d’un pilote français mélomane en Amérique

Cap’tain Mike
Les tribulations d’un pilote français mélomane en Amérique
par Jean-Noël Violette
Michel Léveillard est un enfant de la guerre. En 1944, il quitte l’école sans même avoir le Certificat d’études, mais avec une vocation déjà ancrée pour l’aviation.
Aux États-Unis, il vivra son rêve américain et aéronautique, devenant là-bas Cap’tain Mike, commandant de bord chez Eastern Airlines. Il lui faudra pour cela beaucoup de travail, de persévérance et de détermination, porté par le feu sacré de l’amour du vol. Il terminera sa carrière, non seulement comme pilote, mais aussi comme ingénieur consultant, spécialisé dans la recherche d’économies sur les avions de ligne.
Instructeur, il affiche un joli palmarès de 27 000 heures de vol, 221 élèves formés sur tous types d’appareils, du planeur-école au quadriréacteur. Plusieurs textes, de la main même de Cap’tain Mike, sont inclus dans cette biographie. Il nous raconte ainsi ce que furent des avions légendaires comme le Stampe ou le Lockheed Constellation, il nous emmène aussi avec lui dans quelques aventures aux confins du Cercle polaire. Avec ces « tribulations d’un pilote français mélomane en Amérique », c’est l’itinéraire passionnant d’un personnage passionné qui nous est raconté.
L’auteur
Jean-Noël Violette est ingénieur, diplômé de l’École nationale de l’aviation civile (ENAC), pilote avion et instructeur planeur. Il travaille comme professeur au ministère de la Jeunesse et des Sports. Amené à des recherches historiques dans le domaine de l’aviation pour l’écriture d’un précédent ouvrage, il a été conduit à croiser la route de Cap’tain Mike. Leur amitié à distance s’est alors cristallisée autour de lieux aéronautiques mythiques et d’une passion commune pour l’histoire aéronautique. Cet ouvrage est le fruit de cette rencontre exceptionnelle.
Disponible en octobre 2019
ATTENTION TIRAGE LIMITÉ, RÉSERVATION CONSEILLÉE.
Editeur : Bleu Ciel Diffusion, 28, boulevard Henri-Paul Schneider – 71200 Le Creusot http://www.aviation-legere.fr/
Format : 16 x 24 cm
Pages : 112 pages, 146 photos et illustrations.
Prix : 20 € , les frais de port sont offerts pour les réservations avant parution.
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10 ans du Rafale Solo Display à travers ses décorations

Ce Rafale présenté au 49eme Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace par le Capitaine Cédric Ruet « Rut », revêtait une décoration spéciale pour célébrer les 30.000 heures de vol effectuées par le Rafale dans l’Armée de l’air.
C’est en 2009, 3 ans après son entrée en service à Saint-Dizier que le Rafale prend la relève du Mirage 2000 dans les démonstrations solo en meeting aérien. Ce sera tout d’abord un Rafale de l’escadron 1/7 Provence qui a été doté de cet avion en premier.
Mais le Rafale intervenant souvent en extérieur, cela de vient difficile pour le pilote démonstrateur de conjuguer les deux. En 2011, la décision est prise de confier le « Rafale Solo Display à l’escadron de transformation Rafale (ETR) 2/92 Aquitaine dont les pilotes tous instructeurs sont moins sollicité pour les opération à l’exterieur (OPEX).



Ci-dessus, le Rafale Solo Display à reçue une décoration spéciale pour les 10 ans du Rafale en escadron.
Pour que je puisse compléter l’article, il me manque quelques photos avec les décorations suivantes : Tiger Meet en jaune, en bleu blanc rouge en 2018, Thunder Tiger . Si vous avez des photos du Rafale Solo Display avec ces couleurs où d’autres que je n’aurais pas citées, voudriez me les faire parvenir (1024X683 est suffisant) à mon adresse de contact, vous remerciant par avance
Sources des informations :
Site de l’association Rafale Solo Display Association : https://www.rafalesolodisplay.com
Le Fana de l’Aviation N°599 Octobre 2019 les pilotes racontent « 10 ans de solo pour le « Rafale »
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Paris Air Legend 2019

« Paris Air Legend » s’est tenu le week-end des 7 et 8 septembre 2019 sur la plateforme de Melun-Villaroche pour la deuxième année consécutive. Environ une centaine d’appareils allant du plus petit, le CJ01 Minijet de Nicolas Charmont au plus imposant, l’Airbus Militaire A400M Atlas constituait le plateau de présentation. Le matin n’était pas suffisant pour faire le tour du « village » de commerçants et d’artistes tellement celui-ci était riche. Ensuite entre 10h00 et 12h00, il était possible pour 5€, d’approcher les avions sur le parking et éventuellement de croiser quelques pilotes près de leur machine. Les présentations en vol commençant à 13h00 pour finir à 18h00,

Pour commencer petite surprise ce dimanche 8 vers 12h30, nous avons pu profiter de plusieurs passages de la Patrouille de France signant le ciel de son panache tricolore alors qu’elle n’était pas prévue au programme. En effet la PAF qui était restée stationnée à Melun après son sa présentation de samedi devait rejoindre Lens en tout début d’après-midi pour son meeting aérien annuel. il faut savoir partager pour le bonheur du public. Ensuite se succédèrent un série de tableaux commentés par la voix douce et chaude du commentateur Bernard Chabbert, véritable conteur de l’aviation. Au passage, je tiens d’ailleurs à féliciter les organisateur pour l’excellente sonorisation du meeting.

Je ne pourrai pas sur ce blog vous parler de tous les avions présentés ,mais j’essaierai de vous présenter en détails certains d’entre-eux. Allez voir mon album photo de ce meeting en suivant ce lien : https://www.flickr.com/photos/passiondesavions/albums/72157710799472782 Si certains avions vous interpellent dites le moi, j’essaierai d’en faire un article.
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La PAF en persienne

La « Persienne » est une figure très impressionnante de la Patrouille de France dont un bloc de 4 appareils arrivent par la gauche de manière à ne laisser apparaitre qu’un seul avion, puis progressivement ils s’écartent les uns des autres révélant chacun leur présence.

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Aéroclub du Boulonnais à Saint-Inglevert


Que vous habitiez dans le Boulonnais ou dans le Calaisis, si l’envie vous prend de survoler votre région ou d’apprendre à piloter, je vous conseille de vous rendre sur l’aérodrome de Saint-Inglevert surnommé le terrain des deux caps (Cap Griz- Nez et Cap Blanc-Nez). Vous y rencontrerez des membres de l’aéroclub du Boulonnais qui forment une équipe accueillante et dynamique.
Avec 3 instructeurs en section avion et deux en section ULM, vous me manquerez pas de créneau pour vous former à la maitrise du vol qui vous permettra d’accéder au plaisir sans cesse renouvelé de survoler votre belle région côtière, et une fois breveté plus rien ne vous arrêtera pour survoler la France et éventuellement d’autres pays
Malgré un incendie tragique qui en 2010 a detruit le hangar et les huit avions (dont 3 démontés) qui se trouvaient à l’intérieur, l’aéroclub du Boulonnais a su rebondir et possède maintenant trois Robin, un Super Emeraude CP 1315 et un Jodel 195 (classé ULM), auxquels est venu s’ajouter un Piper PA 28 (Train rentrant – Pas variable), un deuxième hangar permet d’abriter la flotte de l’aéroclub.
Aéroclub du Boulonnais : https://www.aeroclub-boulonnais.fr/
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L’ÉQUIPE DE FRANCE CHAMPIONNE DU MONDE DE VOLTIGE AÉRIENNE


L’ÉQUIPE DE FRANCE CHAMPIONNE DU MONDE DE VOLTIGE AÉRIENNE

© Elodie Expert-Claudin / FFA

© Damien Bresson / FFA
Les 30e Championnats du monde FAI de voltige aérienne, organisée par la
Fédération Française Aéronautique, se sont déroulés sur l’aéroport Marcel Dassault-Châteauroux Centre, du 22 au 31 août 2019. L’Équipe de France est championne du monde pour la 4e fois consécutive. Louis Vanel est champion du monde aux classements général et masculin. Aude Lemordant est championne du monde au classement féminin pour la 3e fois consécutive. Le grand meeting aérien de clôture et la compétition ont attiré plus de 140 000 spectateurs.
10 jours de compétition, 18 nations : les podiums
Du 22 au 31 août 2019, 61 pilotes de 18 équipes de pays différents se sont affrontés devant les juges internationaux. L’Équipe de France Unlimited est composée de 8 hommes et 2 femmes. 2 ouvreurs inauguraient chaque jour le box de vol.
Deux français montent sur le podium général, 2 françaises sont sur le podium féminin et 8 pilotes français sont dans les 12 premiers.
Le podium du classement général et masculin est :
- Médaille d’Or : Louis Vanel – Aéroclub Villeneuve-sur-Lot : 5e sélection en Équipe de France et plus jeune pilote des championnats.
- Médaille d’Argent : Capitaine Alexandre « Popov » Orlowski – Equipe de Voltige de l’Armée de l’Air, 5e sélection en Équipe de France, champion du monde 2015 et par équipe 2015 et 2017.
- Médaille de Bronze : Mikhail Mamistov, équipe de Russie, champion du monde 2017.
Classement par équipes :
- Médaille d’Or : France
- Médaille d’Argent : États-Unis
- Médaille de Bronze : Russie
Classement féminin :
- Médaille d’Or : Aude Lemordant – Aéroclub Dijon Voltige, 8e sélection en Équipe de France, devient triple championne du monde (2013, 2015, 2019).
- Médaille d’Argent : Svetlana Kapanina, équipe de Russie, 7 titres de championne du monde (1996, 1998, 2001, 2003, 2005, 2007, 2011).
- Médaille de Bronze : Bénédicte Blanchard – Aéroclub Dijon Voltige, 4e sélection en Équipe de France.

« Après ces 10 jours de compétition intense, Châteauroux reste plus que jamais la capitale mondiale de la voltige. Le public a répondu présent, plaçant ces Championnats du monde au niveau des plus grands événements sportifs internationaux. » se réjouit Jean-Luc Charron, président de la Fédération Française Aéronautique.
Succès populaire et sportif
Mais au-delà d’être une compétition sportive de haut niveau, cet événement est l’occasion de célébrer l’aviation et de communiquer sur l’ensemble des activités de la Fédération Française Aéronautique et de ses 600 aéroclubs.
Pour cette deuxième édition des World Aerobatic Championships (WAC) Unlimited à Châteauroux, la FFA a pu être aidée – comme en 2015 – par les équipes de l’Aéroport Marcel-Dassault et a pu compter sur l’appui de la région Centre, du département de l’Indre et de Châteauroux Métropole ; sans oublier ses sponsors comme Total, Subaru et le soutien de la Direction Générale de l’Aviation Civile, du Ministère des Sports et de l’Armée de l’Air.
Grâce à eux, à la mobilisation de nombreux bénévoles et des équipes de la Fédération Française Aéronautique, ces Championnats ont été un grand moment aéronautique en l’air comme au sol, avec de nombreuses animations.

A propos de la Fédération Française Aéronautique (FFA)
Créée en 1929, la FFA est actrice du développement de l’aviation légère. Elle regroupe plus de 600 aéroclubs et 41 000 pilotes. La fédération fait le lien entre les pouvoirs publics, les autorités de l’aviation civile française et la communauté de l’aviation légère. Plus grande fédération de pilotes privés en Europe et 2e au monde, elle représente 2 200 instructeurs, 2 500 avions et plus de 500 000 heures de vol par an. La Fédération Française Aéronautique, sous l’impulsion de son Président Jean-Luc Charron, travaille également au concept d’aéroclub du futur pour préparer au mieux la transition énergétique et sociétale nécessaire pour faire perdurer l’activité des aéroclubs français. Parmi les nombreux sujets d’action, la FFA a identifié le besoin, dans le cadre des énergies propres, d’accompagner le saut technologique que constitue la propulsion électrique des avions légers. La FFA a donc lancé dans son «Fab’Lab’» l’évaluation de l’avion électrique en conditions réelles d’exploitation dès son arrivée en France au mois de mars 2018.
www.ffa-aero.fr
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Meeting Aérien d’Albert 2019

Dimanche 25 août 2019 aura lieu la Fête Aérienne d’Albert Picardie organisée par Sport Evènements.
Le meeting aérien d’Albert est le plus important des Hauts de France « pour l’édition la plus importante encore jamais organisée. Nous aurons plus d’une centaine d’avions au sol ou dans les airs », annonce Pascal Cordierl de ’association Bleu ciel organisation, qui organise la manifestation avec l’association Bleu ciel organisation. Patrouille de France , Patrouille royale jordanienne, Rafale, F-16, Pitts ,Corsaire,T- 6, Fokker , Extra 330, Yak, Airbus etc . Hélicos ,Paras, Planeurs..
Entrée du Meeting à 10h00. Arrivée de la Patrouille de France à 11h00 .Au sol beaucoup d’avions en exposition dans lesquels vous pourrez embarquer : Mirage 2000 Armée de l’Air – Xingu Marine Nationale – Hélicoptère Caïman NH 90 Armée de Terre – Casa 295 M Polish Air Force – ERJ 145 Force Aérienne Belge, Hercules

le plateau extrèment riche
- La Patrouille Royale Jordanienne
- la Patrouille de France
- l’équipe de voltige de l’armée de l’air,
- Le Rafale Solo Display,
- Le F16 Solo Display de la Belgian Air Force
- LE F16 Tiger Demo Force aérienne polonaise
- La Patrouille Royale Jordanienne
- L’Aphajet Solo Display
- L’A400M Tactical Display
- Douglas DC3
- Yak 3 Stéphane Canu
- Yak 18 de Jean Michel Legrand
- Yak 50 Etienne Verhellen
- Yak 52 Fred Dutaloir et Yak 52 G-YYAK Jean Philippe Martel
- Yak 55 Jacques Bodart – Yak 3 Stéphane Canu
- Hélicoptère Dauphin de la marine nationale
- l’armée de terre française avec leurs moyens aériens,
- la gendarmerie et ses hélicoptères et
- plusieurs forces aériennes internationales.
- la Force aérienne belge, de
- la Royal air force britannique,
- la Force aérienne polonaise
- des warbirds : Corsair, Zero
Tarif: 10€ par personne gratuit -10 ans.
Vous pouvez acheter vos billets sur internet : Ticketmaster ou chez Leclerc, Auchan et bien entendu à l’Office de Tourisme Pays du Coquelicot.
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Verrons nous revoler le Lockheed 1049 HB-RSC sous pavillon allemand?

Depuis la décision de Bretling d’arrêter toute opération de sponsoring aéronautique, les chances de revoir voler un jour le Lockheed 1049 Super Constellation « Star of Switzerland » (HB-RSC) étaient minimes , d’autant plus qu’il y a des des travaux de restauration importants à réaliser en particulier sur les ailes. Et malgré tout la bonne volonté du comité de direction de « La Super Constellation Flyers Association » qui gérait jusque là le quadrimoteur, l’argent nécessaire n’a pu être collecté. Mais, « La Super Constellation Flyers Association » à annoncé le 7 juillet que le « Star of Switzerland » était racheté par un groupe d’investisseurs allemands qui possède déjà plusieurs avions de collection. Le « Star of Switzerland » sera démonté et transporté par la route jusqu’à l’aérodrome de Bremgarten sa nouvelle base,
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Aérodrome de Rouen-Rouvray 1910-1968

Création de l’aérodrome
C’est en juin 1910 que L’activité aéronautique a commencé sur le champ de manœuvre (partie rose 31ha) avec le Meeting de Rouen. Par la suite, un hangar apparaît épisodiquement jusqu’à l’automne 1912, quand la société La Mouette, qui commandite les travaux de Louis Lefebvre, aménage un terrain sur le domaine du Château-Blanc, 500 m à l’est du champ de manœuvres. L’activité locale au cours des années 1913-1914 est encore très mal connue, mais les militaires de passage, de plus en plus fréquents, viennent se poser au Château-Blanc plutôt que sur le terrain de manœuvres, certain d’y trouver une aide mécanique. Au printemps 1913, un éphémère aérodrome apparaît à Bois Cany, sur le territoire de la commune de Grand-Quevilly. Ses promoteurs, les frères Douthwaite, se sont fait connaître par divers essais de planeurs à Pont-Audemer depuis 1909. Les Aéro-Guide de 1912 et 1914 mentionnent la possibilité de se poser dans les prairies de Sotteville (Est) et Saint Gervais (Ouest), mais cela n’est que le reflet d’atterrissages fortuits par le passé – aucun compte-rendu d’une utilisation effective, sauf pour des baptêmes de l’air à Sotteville par le pilote Poiré en 1919 et 1920.
En 1920-1921, la société « Aérodrome de Rouen » exploitant quelques avions, ceux-ci sont abrités dans un hangar au nord du champ de manœuvres.
On retrouve mention du champ de manœuvres dans le le Bulletin de la Navigation Aérienne dès 1924 (le BNAé existe depuis 1921).
Dans le BNAé de mai 1926 (N°74 page 10) le champ de manœuvre apparaitra sur la liste des “Terrains pouvant être utilisés éventuellement” avec la note suivante “Les terrains ci-dessous pouvant par leur destination propre ne pas être utilisables en permanence, les navigateurs aériens ne devront y atterrir qu’en cas de force majeur ou après s’être renseigné sur son état, il est décrit comme suit :
« Rouen (Rouvray), 400m, Alt 69M, champs de manœuvre Seine inférieur 4km,S,S,W de Rouen 49°23’ N 1°3’E Abris : Néant, Avitaillement E (essence), H (huile), E (eau) Néant, Réparation néant »
En 1927, la ville de Rouen achète le terrain au nord du champ de manœuvres, avec l’accord pour utiliser celui-ci. Ce n’est qu’à partir de 1930 que l’Aéro-club de Normandie louera cette partie de terrain à la ville de Rouen, le club n’ayant pas d’avion avant le mois de novembre de la même année.


Désigné comme « terrain de secours« , il sera déclaré « aérodrome d’état, terrain de l’armée de l’air et terrain privé en cours de réalisation » dès la parution de la loi du 30 juin 1933 définissant le domaine de l’air.
Il est alors décrit comme ayant une aire d’atterrissage de 600M X 400M contre 500m X 400m initialement incorporant donc une partie des terrains loués par l’aéro-club de Normandie à la ville de Rouen.
Les Cercles Aériens Régional (CAR) sont créés en 1933, en remplacement des Centres civils d’entraînement chargé des réservistes; l’un d’eux est installé à Rouen à la demande de l’ACN (un hangar Bessonneau est signalé la même année à coté du hangar de l’ACN, probablement affecté à la nouvelle unité). Il devient Centre Aérien Régional en 1935, puis dissous à la fin/1936-déb./1937 pour céder la place à un Groupe Aérien Régional (GAR 503), rebaptisé Groupe Aérien d’Observation (GAO 503) le 2 septembre1938.


En 1937, ses dimension ayant étés portées à 900 m X 520 m , l’aérodrome occupa dès lors la plus grande partie des 31 ha du champs de manœuvre.

La création d’un nouveau terrain à Boos est décidée en juillet 1936 par le ministère de l’Air pour l’accueillir l’unité de réserve qui doit y être transféré en janvier 1937 ; ce transfert semble seulement se faire dans ses installations provisoires au bord de la RN 14 à la fin 1938 ou au début 1939 (Bessonneau ou double-tonneau, ou les deux… ?).
En avril 1939, il est désormais prévu le stationnement sur le nouveau terrain d’une escadre de chasse, d’une escadrille de réserve de chasse et d’une escadrille d’observation. La partie est de la plate-forme n’est pas prévue d’être utilisable avant juin 1940. Les marchés pour la base aérienne sont passés en 1939 et les travaux commencent probablement en 1940 (peu avancés en juin 1940, il en reste cependant quelques vestiges…). Un terrain annexe de Boos à Ymare, est mentionné par un document de l’AA en juin 1940, aménagé après septembre 1939.

Les Alliés occupant l’aérodrome, ont aménagé sur le « terrain de manœuvres » une bande de 600 m x 40 m, ils ne sont donc pas responsables du rattachement des deux terrains. » mais l’aéro-club qui, prenant en location 23 ha appartenant à la ville, a agrandi la plate-forme militaire qu’il était déjà autorisé à utiliser.

Après la guerre, le terrain de Rouen-Boos est jugé trop loin, par ailleurs, les terrains de sa plate forme sont jugés mal drainés. Pour ces raisons, il est décidé de conserver le terrain de Rouen-Rouvray pour l’aviation à moteur, tandis que le GRAL installe ses planeurs à Boos en 1947. Des projets d’extension de Rouen-Rouvray vers le sud avec échange terrains/Office National des Forêts (ONF) sont envisagés, puis un projet de pistes en dur, mais les trajectoires de départ passent au-dessus de la raffinerie de Grand-Couronne, ce qui entraine l’abandon de celui-ci.
Cette vision différente des choses conduira le département de la Défense à n’accepter, dans un premier temps, que provisoirement l’exercice d’une activité d’aéro-club sur l’ancien champ de manœuvres puis à revendiquer sa restitution lorsqu’une unité d’infanterie sera annoncée, en 1951, devoir rejoindre la garnison de Rouen.
On peut lire dans la revue annuelle de l’Aéro-Club de Normandie de 1951, « Nous disposons d’un terrain honorable où peuvent maintenant se poser les appareils de type commercial, deux pistes récemment construites de 900 et 1200 mètres, viennent doter notre ville de Rouen d’un aérodrome digne de cette grande cité commerciale et maritime«

Elle conduira, à la même époque, le ministère de l’Agriculture à rappeler que le terrain de manœuvres occupé par le « prétendu aérodrome » avait fait partie de la forêt de Rouvray avant d’être affecté, en 1883, au département de la Guerre et que, entre autres conditions, il avait alors été convenu qu’en cas d’abandon de tout ou partie des terrains en cause par le Service militaire, les surfaces ainsi délaissées devraient faire retour à l’Administration forestière.
Une solution de compromis sera tout de même trouvée en 1954, qui consistera à :
- maintenir l’aérodrome dans son emprise d’alors,
- affecter au département de la Guerre une parcelle de 120 ha de la forêt domaniale de Rouvray, parcelle située de l’autre côté de la R.N. 138,
- Incorporer au domaine forestier 65 ha appartenant à la Guerre dans la forêt de Mormal et les 38 ha constituant l’emprise de l’aérodrome d’Arnay-le-Duc.

La conclusion s’étant forgée par la suite des possibilités réduites de l’aérodrome, sa fermeture et le transfert de son activité sur Rouen-Boos (LFOP) devenu Rouen-Vallée de Seine seront décidés en décembre 1968.

Remerciements et sources des informations :
Je tiens à remercier les personnes qui m’ont aidé à réaliser cet article :
- Michel Léveillard, mémoire de l’aéroclub de Normandie qui m’ a fait parvenir tous les scans de la collection privée de Jean Bétrancourt .
- Alain le petit fils de Jean Bétrancourt qui a donné son accord pour la publications sur mon blog des documents zt photos de cette collection.
- Pierre-François Mary qui fait un travail de recherche très poussé sur l’histoire aéronautique normande et entre autres sur celle de Rouen et de l’Aéro-Club de Normandie. Il croise les informations avec rigueur pour vérifier leur authenticité et réalité. Il a complété mon article avec plusieurs informations précisant les tenants et aboutissants concernant les décisions de développement de l’aérodrome de Rouen-Rouvray.
- Luc Aubin qui a écrit l’histoire de l’Aéro-Club de Normandie dans la revue Trait d’Union (n°277 et 278)
- François Kowal qui m’a envoyé les scan de plusieurs documents sur l’Aérodrome de Rouen-Rouvray et l’ACN
- Le travail de mémoire de l’aviation civile par l’intermédiaire de ce site : http://atlas.aviation-civile.gouv.fr et patrimoine-memoire.aviation-civile.gouv.fr/flb/05-01_Bulletin-navigation-aerienne-annees-1920/ (les deux sites fonctionnent en flash)
- Si j’oublie quelqu’un , qu’il veuille bien me pardonner et me le signaler
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PC-6 Pilatus : Arrêt de production

Comme annoncé en 2017, l’avionneur suisse Pilatus arrête la production de son PC-6, 60 ans après son 1er vol réalisé en mai 1959. Le PC-6 Porter devint dès 1961 « Turbo-Porter » en remplaçant son moteur à piston d’origine par une turbine. 500 exemplaires du célèbre PC-6 (avion multi-rôle) ont été produits par les usines de Stans depuis 1959 dont un peu plus de 300 seraient toujours en service dont le F-GMEL du Paraclub de Lens qui date de 1962. Une petite centaine de machines ont été fabriquées aux USA sous licence.
Le PC-6 Turbo-Porter est connu pour son aspect rustique et sa fiabilité, ses qualités ADAC (Avion à Décollage et Atterrissage Court) qui lui permette de décoller en 475 m et atterrir en 315 m, sa palette de vitesse allant de 53 Kt pour la vitesse de décrochage à 145 kt en croisière et sa charge utile de 1200 Kg ont fait de lui, l’avion favori des parachutistes et des pilotes devant se poser sur des pistes courtes et sommaires. Pilatus assure le support et l’approvisionnement en pièces détachées pour les vingt ans à venir
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