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André Turcat

 André Turcat
Biographie
Pierre Sparaco
André Turcat, né le 23 octobre 1921 à Marseille, est l’un des plus grands pilotes d’essais envol. Diplômé de l’École Polytechnique, il a acquis une notoriété exceptionnelle dès le début de sa carrière grâce aux records mondiaux des démonstrateurs technologiques Gerfaut et Griffon, puis dans les années 1970 et 1980 en qualité de directeur des essais de Concorde. C’est une personnalité rare, pluridisciplinaire, qui a marqué son temps. « Rien ne le destinait pourtant à embrasser une carrière de pilote, et moins encore à prendre place dans le cockpit d’appareils à la pointe du progrès (…), à battre des records mondiaux, à recevoir le prestigieux Harmon Trophy américain des mains de Richard Nixon en 1959 et, plus tard, à prendre les commandes de Concorde. Mais ce ne fut là qu’un début, une première vie (…) son parcours est unique. Et son CV pourrait avoir été rédigé par Jacques Prévert. »
Cet ouvrage retrace minutieusement ses vies multiples, sa longue carrière, au terme de plusieurs dizaines d’entretiens en tête à tête avec Pierre Sparaco, au cours desquels André Turcat a révélé beaucoup de lui-même, même si l’homme ne se « livre » pas facilement. L’ensemble compose un portrait qui souligne la complexité et la richesse tant du personnage que de l’homme public qu’il a été et demeure aujourd’hui.
Le premier vol du Concorde eut lieu à l’aéroport de Toulouse – Blagnac, le 2 mars 1969.
L’Auteur :
Pierre Sparaco est membre de l’Académie de l’air et de l’espace, journaliste, éditorialiste et écrivain. Il a été président de l’Association des journalistes professionnels de l’aéronautique et de l’espace, a reçu le Decade of Excellence Award de la Royal Aeronautical Society britannique, le prestigieux Lyman Award américain pour l’ensemble de sa carrière et le Grand Prix 2006 de l’Aéro-Club de France « pour l’ensemble de son œuvre ». Pierre Sparaco a signé une vingtaine de livres dont un Concorde qui a reçu le Prix Guynemer. Il a publié début 2012 une autobiographie consacrée à ses 50 années de journalisme aéronautique.
Auteur : SPARACO Pierre
Éditeur : Éditions Privat
Date de parution : 11-06-2015
ISBN : 978-2-7089-9254-2
Prix Unitaire : 12,50€

RAFU 27 Mémoires par Paul Bomel

Cet article est paru initialement sur le Site COCARDES : http://www.cocardes.com/2015/06/rafu-27-memoires.html et c’est avec l’accord  de son auteur  Hervé Brun que je le reproduis dans son intégralité.

Voilà bien un livre original à plus d’un titre !

Paul BOMEL est pilote. Avec près de 11500 heures de vol, il a un carnet de vol plus que bien rempli, majoritairement comme pilote privé. Atteint d’une DMLA, Paul perd progressivement la vue et ne peut plus piloter depuis quelques années déjà. Aux demandes répétées de sa famille sur sa vie aéronautique, Paul a souhaité répondre par écrit, avec un livre autobiographique de 400 pages pleines de souvenirs très détaillés. C’est même à se demander si Paul n’a pas tenu un journal quotidien de toute sa vie aéronautique tant le texte est précis et ponctué d’anecdotes.
Quasiment la moitié de cet ouvrage est consacrée à la carrière militaire de l’auteur et à son cursus pour devenir pilote militaire d’hélicoptère. Son instruction est passée par Meknès, Aulnat, Marrakech et Chambéry. Il a ensuite été affecté à Boufarik où un accident a mis fin à cette carrière militaire. Ce livre est un témoignage rare par tous les renseignements donnés sur la formation d’un pilote d’hélicoptère dans les années 50. L’ouvrage se lit bien, et je remercie ce Monsieur pour son geste désintéressé d’avoir mis ce livre gratuitement à disposition de tous les internautes sur la page: 
N’hésitez pas à télécharger le livre, le lire et laisser un commentaire à son auteur !

Attention téléchargement gratuit ne signifie pas libre. La gratuité ne supprime pas l’existence de droits d’auteur.

RVB

4e de couverture :

Breveté pilote privé à 17 ans, engagé dans l’Armée de l’Air à 18,
Paul Bomel a commencé sa formation de pilote militaire sur avion North American T6 puis a participé à la guerre d’Algérie sur hélicoptère Sikorsky H34 avant d’être réformé pour raison
médicale.
Parallèlement à une carrière professionnelle bien remplie, il a gardé le contact avec l’aviation au sein de divers aéroclubs où il a été successivement « simple » pilote, puis instructeur et testeur.
Il s’est par ailleurs fortement engagé comme dirigeant d’aéro-club, au Comité Régional Aéronautique Rhône-Alpes et à la Fédération Nationale Aéronautique.
Après 11 432 heures de vol, Paul Bomel a arrêté sa carrière aéronautique en 2009 alors que la DMLA
commençait à le priver de la vue.
« Papa, nous savons combien de temps tu as consacré à l’aviation, mais nous ne connaissons que peu de choses de ta vie aéronautique ».
Cette remarque de sa fille Isabelle l’a incité à entreprendre la rédaction de cet ouvrage.

Un tour du monde pas comme les autres

Un tour du monde pas comme les autres
Des ailes pour la science
Clémentine Bacri et Adrien Normier


Point de départ de cet extraordinaire projet : l’envie d’un couple de trentenaires Clémentine Bacri, avocate et Adrien Normier, pilote de ligne, de parcourir le monde en avion ultra-léger tout en s’impliquant dans des expériences scientifiques locales nécessitant des relevés photographiques pris en vol.  En échange de leur service il demandent uniquement le gite et le couvert !
Traversant plus de cinquante pays
entre 2012 et 2013, Groenland, Canada, Pérou, Chili, Australie, ils ont rencontré et  partagé le quotidien et les attentes de personnages hauts en couleurs. 
Au cours des 60 000 km parcourus, survolant les montagnes, les volcans, les glaciers et les océans, ils ont eu une vision émerveillée du monde,  mais engagée grâce à leur  participation à une quinzaine de projets scientifiques qu’ils avaient choisis avant leur départ ou qui se sont décidés au fil de leur voyage par des rencontres impromptues.
Prospection archéologique, recensement de cétacés, réalisation de modèle 3D d’un volcan, mesures de dioxyde de soufre, découvertes de géoglyphes datés de 5000 ans, les missions scientifiques sont aussi variées que les paysages survolés. Véritable récit d’aventures, écrit avec humour, simplicité et même suspense, Des ailes pour la science régalera tout lecteur avide de voyages, de nature et de science.
L’expédition s’est faite sous le patronage de Pierre Léna, astrophysicien. 

On peut juste regretter qu’il n’y ait pas quelques pages supplémentaires rassemblant les plus belles photos prises en cours de voyage pour nous faire rêver encore plus, mais on peut espérer qu’un beau livre rassemblant ces photos soit bientôt édité.
Je suis impatient que le deuxième tome concernant l’Australie et l’Asie sorte au plus vite.

Clémentine Bacri est avocate aux Barreaux de Paris et du Luxembourg, elle a participé à des projets de défense des droits de l’homme en Amérique Latine.
Adrien Normier est diplômé en génie aéronautique et pilote de ligne. Il a réalisé plusieurs projets aéronautiques bénévoles pour des associations humanitaires en Afrique.

Auteurs : Clémentine Bacri et Adrien Normier
Éditeur : Éditions Le Pommier
Collection : Science vagabonde
Broché, 288 pages (135 x 200 mm) 
Prix : 20 €
ISBN/EAN : 978-2-7465-0919-1 / 9782746509191

Dorine Bourneton Au-dessus des nuages….

Au-dessus des nuages….
Dorine Bourneton
L’année 2015 sera une nouvelle année importante pour Dorine Bourneton, en effet le 12 février, elle a reçu la Légion d’honneur (elle est déjà titulaire de la médaille d’or de l’Aéro-Club de France et de la médaille de l’Aéronautique du ministère des Transports), ensuite son deuxième livre autobiographique « Au-dessus des nuages…. » est publié aux éditions Robert Laffont, tout comme le premier «La couleur préférée de ma mère» sorti en 2002, et lors du prochain salon du Bourget Dorine devrait être la première femme handicapée à y faire une présentation de voltige aérienne. 

Avec sa joie de vivre que tous lui connaissent dans le monde de l’aviation,  Dorine Bourneton raconte dans son livre le combat qu’elle continue de mener depuis 25 ans pour défendre la cause des personnes handicapées (voir lettre ouverte à François Hollande parue dans le Journal du dimanche du 25 mai 2014)  et notamment la reconnaissance des pilotes handicapés, mais aussi ses combats plus intimes, de femme, de maman, d’amoureuse. 

Dorine Bourneton qui a toujours rêvé de voler, s’inscrit à l’aéro-club d’Auvergne en 1990, elle est lâchée en solo pour ses 15 ans. Le 12 mai 1991, elle est la seule survivante sur quatre dans l’accident du Piper PA28  dont elle était passagère et qui est venu se briser contre un massif du mont Mézenc, en Haute-Loire. Elle perd l’usage de ses jambes, mais pas sa passion pour l’aviation que ce drame renforce. « Ma vie commence par un accident, il me reste les exploits à accomplir », écrit-elle.

De cette tragédie, Dorine a su tirer une force intérieure propre à surmonter tous les obstacles. Elle  apprend à piloter avec un malonnier (levier situé entre les deux sièges pilote, commandé par la main droite afin d’actionner le palonnier : vers l’avant, à gauche, vers l’arrière, à droite). A 20 ans elle obtient son brevet de pilote en 1995. Dans la foulée elle participe au rallye aérien Toulouse Saint-Louis du Sénégal, puis  en 1996 au tour aérien des jeunes pilotes de la FFA où elle termine 31e sur 65.

Dorine Bourneton
En 1997, Dorine Bourneton fonde et dirige la « commission des pilotes handicapés » de l’Aéro-Club de France, car elle veut faire reconnaitre  aux pilotes handicapés des membres inférieurs le droit de pouvoir devenir pilotes professionnels.
Grâce à un travail d’équipe et au soutien de Dominique Bussereau Secrétaire d’État aux Transports, l’arrêté ministériel est signé le 23 novembre 2003. Ce texte autorise les pilotes  handicapés à postuler à un brevet d’activité professionnelle de messagerie, fret, surveillance aérienne, vol publicitaire, le transport onéreux de passagers restant exclu, de même que le « vol aux instruments » (sans visibilité) et sur appareils multi-moteurs. Aujourd’hui sept pilotes handicapés ont  obtenu cette qualification de pilote professionnel.
À quarante ans, Dorine Bourneton maman  d’une petite fille vit à Mach 1, le sourire accroché aux lèvres en permanence. Fondatrice d’une société de production audiovisuelle, elle multiplie les voyages, les conférences, les émissions radio, télé… et les vols à travers le monde, participant à de nombreuses manifestations aéronautiques telles que les Tours de France des jeunes pilotes, les Rêves de gosses (Rallyes aériens organisés par les Chevaliers du ciel au profit d’enfants handicapés).  
 

Dorine Bourneton aux commandes du R2160 F-GAXP au Salon du Bourget 2011 ©Xavier Cotton


Dorine Bourneton passe une grande partie de sa vie en l’air. Elle a volé avec la Patrouille de France, avec des Canadair, avec le ravitailleur Boeing C-135. En 2003, Dorine est leader de la patrouille « Bleu ciel »  composée d’un Rallye, d’un DR400 et d’un Aiglon, dont les quatre autres pilotes sont  handicapés des membres inférieurs.  En 2011, lors du Salon du Bourget, Dorine nous offre une superbe présentation d’un Robin R2160 (initialement conçu comme avion d’entrainement à la voltige aérienne). Aujourd’hui, elle passe la vitesse supérieur et s’attaque à son défit de pilote  le plus ambitieux : elle sera, au Salon du Bourget 2015, la première femme handicapée à faire une présentation de voltige aérienne sur le CAP 10 BKM « Handivoltige »( F-PXKE) de l’Amicale Voltige Aérienne (président de l’AVA : Régis Alajouanine).

Pour conclure cet article, citons Dorine Bourneton : 
« Au-dessus des nuages ….la vie apparait comme le plus beau des cadeaux et le dépassement de soi, le meilleur cap vers le bonheur. « 


Les dates clés :

  • 1990 – Inscription à l’aéro-club d’Auvergne 
  • 1991 – Accident d’avion (passagère) 
  • 1995 – Brevet de pilote privé à Toulouse Lasbordes 
  • 1996 – Tour Aérien des Jeunes Pilotes (compétition)
  • 1997 – Commission Pilotes Handicapés à l’AéCF* 
  • 2002 – Premier livre autobiographique «La couleur préférée de ma mère», Robert Laffont
  • 2003-04 – Leader de la Patrouille Bleu Ciel 
  • 2011 – Vol de Présentation au Salon du Bourget (SIAE)
  • 2014 – Début de la formation de voltige aérienne à l’AVA
  • 2015 – Remise de la légion d’honneur

Références du livre :
Titre : Au-dessus des nuages….
Auteur: Dorine Bourneton
Éditeur : Robert LAFFONT 
Parution : 19 Février 2015
Format : 1 x 215 mm
Nombre de pages : 216
Prix : 19,00 €
ISBN : 2-221-14547-X

Source des informations :
Le site de Dorine Bourneton : http://www.dorinebourneton.fr
Dorine Bourneton Au-dessus des nuages… :
http://www.laffont.fr/site/dorine_bourneton_&181&32997.html
Dorine Bourneton- Comment j’ai gagné mes ailes malgré mon handicap (Youtube) 
Info-pilote n°708 Mars 2015


Adrienne Bolland, la déesse des Andes

 Adrienne BOLLAND
La déesse des Andes*

 A l’occasion de la « Soirée des Femmes dans l’Aviation » qui se tiendra à l’aéroclub de France le 6 mars 2015, Martine Laporte donnera une conférence sur Adrienne Bolland et présentera son livre « Adrienne Bolland, La déesse des Andes » qui sortira le 10 mars 2015.

Pourquoi l’histoire d’Adrienne Bolland – cette femme aussi exceptionnelle qu’atypique –n’a-t-elle jamais été racontée dans un livre ?
Pourquoi est-elle la seule gloire des ailes françaises, oubliée de tous les dernières années de sa vie, à n’avoir jamais eu aucun monument à son nom ?
Parce qu’elle était intrépide ? Intrépide certes, mais tellement authentique et droite.
Elle a été décorée de la Légion d’Honneur (au grade de Chevalier en 1924 et au grade d’Officier en 1947).

À l’occasion du 40e anniversaire de sa disparition, le 18 mars 1975, Martine Laporte s’est attachée à
réparer cet oubli et à redonner à Adrienne Bolland la place qu’elle mérite parmi ses compagnons de vol. Ses recherches l’ont conduite jusqu’en Argentine et au Chili, sur les traces de cette héroïne…
Adrienne Bolland, c’est la première femme pilote qui a traversé la Cordillère des Andes le 1er avril 1921, à bord de son Caudron G-3, un avion en bois et en toile avec un moteur de 80 chevaux. Lorsqu’elle a réalisé cet exploit, elle avait à peine 25 ans, pilotait depuis seulement 13 mois et totalisait 40 heures de vol…
Adrienne Bolland, c’était aussi une femme d’engagement : lutte auprès de Louise Weiss en 1934, dans le combat pour le droit de vote des femmes, engagement auprès des républicains espagnols en 1936, et, en 1942, dans la Résistance – en se chargeant du repérage de terrains susceptibles d’aider les Forces françaises libres du général De Gaulle. Elle s’intéressa à toutes les causes qui, tout au long de sa vie, lui semblaient justes.
Vous découvrirez dans ce livre le caractère bien trempé d’Adrienne, son impertinence, son humour et sa verve.
* Surnom donné à Adrienne Bolland par les Sud-Américains

Martine LAPORTE
Après avoir passé 30 ans dans les transports terrestres, la voici maintenant auteure et éditrice d’ouvrages consacrés à l’aéronautique. 

C’est à l’occasion de nombreux séjours en Argentine et au Chili, qu’elle s’est intéressée à Adrienne Bolland, à qui elle voue une profonde admiration. 
Elle a eu l’occasion de survoler la partie de la Cordillère dite des « Hautes Andes », là-même où Adrienne a réalisé son exploit
VILLALOBOS Éditions
Société d’édition spécialisée dans l’histoire de l’aviation ayant déjà réalisé plusieurs ouvrages consacrés aux Lignes Aériennes Latécoère et à l’Aéropostale. Villalobos, c’est le nom d’un sommet dans la Cordillère des Andes, près duquel Jean Mermoz réalisa un atterrissage périlleux le 9 mars 1929, sur le plateau des trois condors, avec un « Latécoère 25 ».
Titre : Adrienne Bolland, La déesse des Andes
Auteur : Martine Laporte
VILLALOBOS Éditions : www.villaloboseditions.com 
Sortie: le 10  mars 2015
70 pages de photos d’époque, de documents et articles de presse, ainsi que des vues aériennes de la Cordillère des Andes.
ISBN : 978-2-9535837-2-5 
prix : 28,00 €

Commande possible sur le site de Villalobos Éditions : www.villaloboseditions.com  « onglet contact »
ou par mail : villalobos@orange.fr


AEROSCOPIA, MUSÉE AÉRONAUTIQUE LE GUIDE

AEROSCOPIA, 
MUSÉE AÉRONAUTIQUE LE GUIDE
Philippe Ollivier et Fabienne Péris
L’agglomération toulousaine et Blagnac ont vu naître l’aviation et sont rapidement devenues la première plateforme aéronautique d’Europe.
De la genèse de l’aviation avec Clément Ader à la CAO (conception assistée par ordinateur) qui a prévalu à la conception de l’A350, des ateliers de bois et de toiles aux immenses industries contemporaines, des avions de ligne ou d’affaires aux avions de combat, ce guide complet dresse une véritable frise de la conquête de l’air.

Cet ouvrage, riche de documents anciens et inédits, permet au visiteur d’Aeroscopia de retrouver les données techniques des maquettes et des appareils exposés au musée, du Breguet à l’A380, et de s’immerger dans l’aventure épique des grands constructeurs aéronautiques. Le guide incontournable pour comprendre ce siècle qui fut celui de l’aviation à Toulouse !

Un index de tous les avions exposés pour évoquer dans le musée.
Une série de QR code permet également de visionner via un smartphone une tablette des vidéos publiques relatives aux thématiques abordées.
Les auteurs :
Journaliste et communicant, Philippe OLLIVIER a travaillé dans la presse quotidienne régionale. Il a publié de nombreux ouvrages aux Éditions Privat parmi lesquels Midi-Pyrénées, grands sites (2012) et Patrimoines, l’histoire en mouvement (2013). 
Fabienne PÉRIS est responsable des collections et de la diffusion culturelle au sein d’Aeroscopia. Photographe indépendant, Alain BASCHENIS est spécialisé dans les reportages d’activités de patrimoine au sens large : paysages, architecture, hommes et savoir-faire. Il a publié entre autres aux Éditions Privat Hautes- Pyrénées (2014) et Aubrac, les Hautes-Terres (2014)
AEROSCOPIA, MUSÉE AÉRONAUTIQUE LE GUIDE

Philippe OLLIVIER et Fabienne PERIS et
Alain BASCHENIS (photographe)
Editions Privat
Collection : Aéronautique et défense
14 x 24 cm
185 pages, broché
13,90 €
ISBN : 978-2-7089-9257-3
GENCOD : 9782708992573
Code distributeur : S561845


Bois d’aviation de Jean-Marie Ballu

Bois d’aviation
Sans le bois, l’aviation n’aurait jamais décollé
Jean-Marie BALLU
préfacé par Catherine Maunoury


PRÉAMBULE
Le bois a permis l’envol de l’aviation et, pendant un siècle, son épanouissement. 
Matériau facile à travailler, léger, souple, résistant et largement disponible, il est naturellement devenu le premier matériau de structure puis de revêtement, avec le bois moulé ou le très fin contreplaqué.
Les premiers constructeurs d’avions, souvent des marins, s’entourèrent de menuisiers. C’est en dentelle de bois, toile et fils de fer, que tous les inventeurs bricolèrent leurs prototypes pour tenter de voler. Que de pistes essayées, rêves ou délires de bois, avant d’arriver aux solutions volantes.
Les ballons et dirigeables firent également appel au bois comme les premiers planeurs, hélicoptères, ailes volantes et avions, même ceux à réactions, tous furent en bois. Il est toujours utilisé dans la construction aéronautique légère !
En nous racontant l’apport du bois à la conquête de l’air, c’est à un voyage allant de la forêt à l’atelier d’aviation d’hier et d’aujourd’hui que nous convie l’auteur.
SUJET DU LIVRE :
Il y a à peine plus d’un siècle, les premiers « avionneurs » se sont inspirés des graines (ailes volantes de la nature), des bateaux et des oiseaux, en copiant jusqu’à leurs os creux, en évidant leurs bois.
Après le frêne, résistant et élastique, et le bambou, les résineux à accroissements fins l’emportèrent rapidement. Quant aux hélices, elles furent sculptées en bois précieux : noyer, acajou…
Au gré d’une réflexion historique et technique, l’auteur nous entraîne dans les menuiseries et les ateliers bois des avions, assister aux tâtonnements avant les premiers envols, au choix des meilleurs bois d’aviation en forêt, aux techniques d’assemblage de ces bois pour garantir la légèreté et la sûreté. Il retrace la construction de nombre d’avions de légende, civils ou militaires, comme celle du célèbre Mosquito anglais, chasseur en bois de la seconde guerre plus rapide que ceux en métal, ou celle du plus grand avion jamais construit au monde, avec 18 m d’envergure de plus que l’A 380, le Spruce goose d’Howard Hugues. Il traite de l’évolution de la construction des avions de chaque époque, sans oublier les hydravions et la naissance de l’aéronavale.
Après un siècle, le bois est toujours présent dans l’aviation populaire et de compétition, CAP 10 et suivants. Il est resté longtemps en tête dans la vitesse et l’acrobatie jusqu’aux années 2000, et les meilleurs pilotes de voltige volaient encore il y a peu sur bois, pur ou composite. Enfin l’auteur, en professionnel de la forêt, nous rappelle que le bois, naturel, renouvelable et écologique, est le seul matériau qui consomme du CO2 et produit de l’oxygène dans son processus de fabrication !
L’AUTEUR :
Issu d’une famille de forestiers l’auteur, agronome et ingénieur général des Ponts des Eaux et des Forêts, a fait une grande partie de sa carrière à l’Office National des Forêts avant de la terminer comme président de la section « nature, forêt, paysages » du ministère de l’agriculture.
Au-delà de nombre de rapports sur la forêt et la nature, il a été notamment l’auteur de plusieurs livres sur la forêt et le bois (aux Éditions du Gerfaut) :
« Bois de marine, les bateaux naissent en forêt », primé en 2001 par l’académie de marine, réédité en 2003 et 2008.
« Bois de musique, la forêt berceau de l’harmonie », mars 2004,
« 250 réponses aux questions des amoureux de la forêt« , octobre 2006, « L’Hermione, l’aventure de sa reconstruction », juin 2007, réédité en juin 2010,
« La Fayette’s liberty ship of 1780, the reconstruction of the frigate Hermione », mai 2011.

RÉCOMPENSES

Après s’être vu décerner à Toulouse, le Prix des Ailes 2014 (France Bleu), Bois d’aviation. Sans le bois, l’aviation n’aurait jamais décollé a reçu le 17 décembre un nouveau prix, le Prix du livre aéronautique 2014 à l’hôtel de Guénégaud, siège de la Fondation Sommer (un des pionniers de l’aviation).
Par ailleurs, cet ouvrage de la collection « Bois de » (Bois de Marine, Bois de musique), qui traite de l’utilisation du bois dans la construction des premiers avions, et présente une histoire de l’aviation sous un angle tout à fait original et novateur, a été labellisé « Centenaire 14/18 » par la Mission du Centenaire et a reçu le coup de cœur de l’Aérobibliothèque.
L’ÉDITEUR :
IDF, Institut pour le développement forestier, 47 rue de Chaillot, 75116 Paris.
Livre édité avec les soutiens du Musée de l’Air et de l’Espace, du Service Historique de la Défense, et de celui de la Fondation Sommer.
LIVRE :
Format : 24 x 30 cm / 192 pages / quadri / cartonné / 
Prix : 37 €.
Présence de QR code (« flashcodes ») pour compléter l’information sous forme de vidéos. 
ISBN : 9782916525075.
Si vous souhaitez commander ce livre, consulter la « Fiche de présentation de l’ouvrage »

14-18 L’aviation des missions spéciales

14-18 L’aviation des missions spéciales

Damien Rocha

 De l’union improbable de l’Aviation et des Douanes françaises, naquit à Hermonville, un jour de novembre 1914, l’école des » Missions spéciales ».
De nombreux élèves y furent instruits, puis envoyés en territoires ennemis pour effectuer leur devoir patriotique, pour une France victorieuse !
Découvrez leurs aventures.
Comment une mission aérienne au départ de Rosnay devait mettre un terme au conflit le 25 décembre 1915.
Accompagnez l’As Jean Navarre, l’enfant terrible de l’aviation, dans quelques unes de ses frasques savoureuses.
Navarre, l’homme de toutes les audaces et de toutes les folies !
La mission spéciale est l’une des pages de l’histoire d’un conflit horrible, aujourd’hui effacée de la mémoire des Hommes. Pourtant à l’origine de nos « Forces spéciales » contemporaines.
 
 
Titre : 14-18 L’aviation des missions spéciales
Auteur : Damien Rocha 
Préface : Général d’armée aérienne Jean Fleury, chef d’état de l’armée de l’air (24 avril 1989 – 1er décembre 1991)
Éditions Damien Rocha-Deroche
204 pages 69 documents ou photographies
ISBN N° :978-2-9531290-2-1
Prix : 20€
En vente à Reims dans les librairies :
FNAC Place d’Erlon et réseau FNAC
La Procure Largeron 13 rue Carnot
Le coeur à l’ouvrage 18 rue Chanzy
Librairie Amaury 30 avenue Jean Jaurès

Eclats d’hélices par François Brévot

Eclats d’hélices
Warbirds 
et éclairages fantastiques
de
François Brévot
préface de Jack Krine

François Brévot nous rapporte dans ce livre des images exceptionnelles d’avions ayant marqué l’histoire des deux guerres mondiales, qu’il a capturées avec ses appareils photo au cours de ses voyages autour du monde.
Grâce à des textes courts et sa connaissance du milieu aéronautique militaire, l’auteur nous permet  de découvrir ou redécouvrir ces appareils mythiques souvent restaurés par des passionnés et dont la présentation en vol impressionne autant le public amateur que les passionnés de l’aviation. Un livre de référence sur le sujet

Chargé de ses 15 kg d’optiques et de « Nikon » en sac à dos, François Brévot voyage sans relâche sur tous les continents depuis vingt ans, à la chasse aux images d’avions. Les prises de vues en vol, tout comme les « Airshows » les plus exotiques, ou même les musées, entrent tous dans ses meilleurs albums d’images. Ainsi, l’auteur photographie plus régulièrement dans des pays aussi divers que le Canada, la Nouvelle-Zélande, l’Autriche ou la Russie. Il a précédemment publié aux éditions Pascal Galodé : Avions et meetings d’exception  en 2011, Avions et salons d’exceptions en 2013 et L’Agenda de l’aviation.   

Éditions Pascal Galodé : http://www.pascalgalodeediteurs.com/
Broché – quadricouleur – 160 pages
Format : 270x210mm
Prix : 30€
Frais de port indicatifs : 1 €
ISBN : 9782355933295
Distribué par CED/BLDD
Date de parution : 05/10/2014


L’aviation légère en France 1920-1942

L’aviation légère méritait un livre !

L’aviation légère a formé des milliers de pratiquants et pratiquantes et amené de nombreux jeunes vers un métier en rapport direct avec le monde de l’aéronautique. Pourtant l’aviation légère suscite peu d’intérêt dans le monde de l’édition aéronautique, les « beaux » livres sur l’Aviation ne lui consacrent que quelques paragraphes, quand ce n’est pas quelques lignes seulement….

Depuis des années, Roger Gaborieau rêvait, au sein d’une petite structure éditoriale, de trouver un auteur qui consacrerait son talent à un travail de fond sur l’aviation légère. Car si les auteurs régionaux qui passent des années à retracer l’histoire de l’aviation font un excellent travail, celui-ci est souvent limité à leur région.
Souhaitant une vision un peu synthétique et générale de la naissance de l’aviation légère et de son développement, il décida donc de produire lui-même cet ouvrage qu’il avait envie de trouver en librairie.
Son travail a été favorisé par sa proximité avec le Musée Régional de l’Air -Espace Air Passion- d’Angers. Ce superbe musée est consacré  à l’aviation légère, ce qui fait son originalité et son intérêt. Géré par l’association  Groupement pour la préservation du patrimoine aéronautique  (GPPA), bien connu des amateurs, il conserve de belles pièces volantes ou statiques de notre « petite » aviation. Mais pas seulement. Son créateur, Christian Ravel, collecte depuis plus d’un demi-siècle, les documents, photos, manuels techniques, journaux et revues concernant le sujet.
D’abord à titre personnel, puis pour le musée, le travail de Christian Ravel a permis de créer une section « Archives et documentation » exceptionnelle et d’une richesse insoupçonnable. Une mine pour les historiens, les chercheurs, les journalistes et autres auteurs…
En plongeant dans les dizaines de milliers de photos conservées à Angers (Maine-et-Loire), Roger Gaborieau a pu trouver le fil du livre qu’il espérait si fortement. Christian Ravel et son équipe des archives du musée, son président François Blondeau, ont eu la gentillesse de l’aider en mettant à sa disposition ce matériel d’illustration et en le conseillant. Ensuite,  ce fut deux ans de travail pour Roger Gaborieau qui est prêt à vous raconter l’histoire si vous voulez bien le suivre

L’Auteur :

Roger Gaborieau, auteur de « L’aviation légère en France, 1920 – 1942″ est journaliste, pilote privé et instructeur de vol à voile, membre du Musée Régional de l’Air – Espace Air Passion – d’Angers.
Passionné d’aviation ancienne et de collection, il a participé à l’édition de plusieurs auteurs dans le domaine de l’aéronautique et acquis l’expérience du contact avec les amateurs de livres aéronautiques.

Souscription à la commande du livre :


La parution étant prévue pour le début novembre 2014,
jusqu’au 30 octobre vous pouvez faire partie des quelques privilégiés qui auront permis la publication de « L’aviation légère en France, 1920 – 1942″. Une souscription sous forme de financement participatif est en cours afin de réunir les fonds nécessaires à l’impression. En fonction du montant attribué, les souscripteurs bénéficient de quelques petits avantages tel que la newsletter, une dédicace personnalisée, une collection exclusive des marques-page « les avion légers des années 30 » ou encore la citation de votre nom dans la page de remerciement des soutiens du projet.
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http://www.aviation-legere.fr/
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Eclats de vie d’un pilote de chasse 1952-1967

Éclats de vie d’un pilote de chasse 1952-1967
Jean Louis Sébastiani
Autobiographie


« Et puis le vecteur, le T-Bird argenté, dont on a tous rêvé. Plus d’hélice et son régulateur, plus de couple à pleine puissance au décollage, plus de rugissement des 600 CV du R-985 Wasp. Le T-33 tricycle traduisait dans la finesse de ses lignes la performance, l’espace réduit du cockpit offrait au pilote toute la gamme des switches et autres organes de pilotage à portée de main et la verrière (canopy) type bulle favorisait considérablement la visibilité. On touchait du doigt ce « masterpiece » qui allait très bientôt nous faire passer des 300 km/heure aux 900 km/heure d’un seul coup d’un seul! Un autre monde nous ouvrait ses portes dans la logique de nos ambitions et du parcours du combattant attaqué dans la grisaille et la gadoue clermontoise d’Aulnat moins d’un an plus tôt. »

Les débuts de l’aviation à réaction à la poursuite de nouvelles performances, l’épisode de la guerre d’Algérie, l’entrée dans le « plus vite que le son », la vie en formations opérationnelles, puis le monitorat en École de Chasse, point final de ces épisodes distincts et variés: c’est l’aventure que partage avec nous Jean-Louis Sébastiani au fil de ses souvenirs. Engagé dans l’Armée de l’Air en 1952, formé comme pilote de chasse à l’US Air Force, l’auteur nous fait revivre l’aventure extraordinaire de l’aéronautique. Accessible à tous, généreusement illustré de photographies d’époque, son témoignage fascinera les néophytes et ravira les amoureux de la voltige. « Injection, mélange, plein petit pas, démarreur, ça tourne, ça tousse, ça fume, c’est parti… Vous êtes aux commandes et vous allez bientôt décoller »!

Editeur : http://www.societedesecrivains.com
Titre : Eclat de vie d’un pilote de chass 11952-1967
Autobiographie
Auteur : Jean Louis Sébastiani

Prix : 42,95 € 
Pages : 356 pages  
ISBN : 9782342028522  


Cazaux Histoire de la base aérienne 120 « Commandant Marzac »

Cazaux

Histoire de la base aérienne 120
 « Commandant Marzac »
Robert Galan
Préfaces du Colonel Laurent Thiébaut et du Général d’armée aérienne Denis Mercier


Ce livre, illustré de plus de 120 photographies inédites, paraît à l’occasion du centenaire de la base aérienne de Cazaux et des 80 ans de l’armée de l’air.
Entre l’océan et l’étang de Sanguinet, dans un cadre paradisiaque, la base aérienne 120 « Commandant Marzac » est une complexe machine de guerre dont ce livre retrace la grande et la petite histoire. L’ouvrage se décompose en 7 chapitres : de la création de la base aérienne au Cazaux du XXIe siècle tout en évoquant le rôle du site dans les deux conflits mondiaux.

Dans une première partie, Robert Galan revient sur la création de la base qui fut un centre d’instruction au tir avant la Première Guerre mondiale, sous l’impulsion du commandant Marzac –
officier aussi clairvoyant dans son appréciation du rôle de l’arme aérienne dans les conflits futurs,
qu’ingénieux lorsqu’il s’agira de faire vivre la base avec les moyens du bord.

Dans les chapitres suivants l’auteur évoque le rôle du site durant la Grande Guerre et la 2ème Guerre
mondiale. « Si au tout début de la guerre, en 1914, le site de Cazaux fut délaissé. » L’été 1915, Cazaux faisait son entrée dans l’histoire de l’aviation en devenant « l’Ecole de tir aérien de Cazaux ». Durant le 2e conflit mondial, « la base n’est pas oubliée dans le plan de bataille français. En mai 1940, l’école devint Ecole de perfectionnement de tir et de bombardement ». Sous l’occupation « rapidement elle devint un camp d’entraînement pour Ergänzungsgruppe JG51 et 54 équipés de Bf-109E. »
Au lendemain de la guerre la base se réorganise : « les groupes de bombardement furent transformés en groupes de transport, les mitrailleurs et navigateurs reconvertis en navigateurs et radiotélégraphistes de bord. (…) Une instruction ministérielle porta création de l’École de mitrailleurs, navigateurs et bombardiers sous le nom de base école 2/706. »

Mais ce n’est qu’en 1962 que le site deviendra base aérienne BA 120. La guerre froide est alors une réalité et la base un élément de l’éventuelle riposte nucléaire. Elle accueille les Mirage IV porteurs de l’arme nucléaire, le Centre d’études et d’instruction des armes nucléaires, biologiques et chimiques et organise des campagnes de tir aérien où les aviateurs s’exercent avec des munitions réelles. Plus tard, s’ajouteront les escadres de chasse et leurs célèbres Alpha Jet, un escadron d’hélicoptères et l’étonnant Squadron des forces aériennes Singapouriennes.
« Cent ans ont passé depuis que le Capitaine Marzac a découvert, (…), le site dans lequel allait se
nicher, puis croître et s’épanouir, la base de Cazaux. Le site n’a pas changé… ». Pourtant la base aérienne de Cazaux est devenue la plus grande base aérienne de France, et une composante incontournable de l’économie du secteur.

Cazaux Histoire de la base aérienne 120 « Commandant Marzac »
Robert Galan
Editions Privat
143 pages – 24,50 €TTC
ISBN : 978-2-7089-9248-1