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| (Photo collection privée Xavier Cotton)  .  | 
La nouvelle tour de contrôle de l’aéroport de Bruxelles National est entrée en service le 8 décembre 2004 et inauguré par Belgocontrol le 7 mars 2005. La précédente datait de 1958. Elle avait été  construite, comme le reste du terminal, pour l’exposition universelle de  Bruxelles et n’était plus vraiment adaptée au trafic de  Bruxelles-National. Au point que Belgocontrol avait dû installer de  nombreuses caméras sur l’ensemble de l’aéroport, ainsi qu’une seconde  tour, afin de bénéficier d’une visibilité complète sur le site.
Pour un coût de 50 millions d’euros, la nouvelle tour de contrôle présente en effet des  mensurations impressionnantes : 60 mètres haut (contre 40 pour l’ancienne  tour), 18 mètres de diamètre, un champ de vision de 360°, 12 postes de  travail pour les contrôleurs aériens. Pour une meilleure visibilité sur toute la plateforme aéroportuaire, la tour  a été équipée de vitrages entièrement anti reflets, conçus expressément  pour la tour de Bruxelles. 
Juste en dessous des postes de  travail, une salle de contrôle, reproduite à l’identique, sert à  l’entraînement des contrôleurs. À 35 mètres de haut, un poste  d’observation météo a également été prévu, ainsi que divers espaces de  détente pour permettre aux contrôleurs aériens d’être toujours  au top de  leur forme
Cette nouvelle tour de contrôle permet à Belgocontrol de faire face aux développements de l’infrastructure de l’aéroport de Bruxelles National et à l’évolution du trafic aérien, tout en garantissant une gestion optimale du trafic aéroportuaire avec le plus haut degré de sécurité 
Deux ans de travaux seulement ont été nécessaires pour mener à bien la construction de la nouvelle tour.
Celle-ci se compose de la tour proprement dite et, à sa base, d’un bâtiment trapézoïdal de 3.500 m2 au sol, sur trois niveaux. 7.600 m3 de béton ont été nécessaires, ainsi que 820 tonnes d’armatures, 105 tonnes de profils métalliques, plus de 4.000 m2 de vitrage et 725 m3 de maçonnerie.
Le fût de la tour compte neuf côtés, afin de causer le moins de réflexions perturbatrices des ondes hertziennes. La tour repose sur un radier de 20 m de diamètre et 1,8 m d’épaisseur, et sur 26 pieux de 1,2 m de diamètre et de 6 m de profondeur, soit une charge maximale de 8.350 tonnes.
Celle-ci se compose de la tour proprement dite et, à sa base, d’un bâtiment trapézoïdal de 3.500 m2 au sol, sur trois niveaux. 7.600 m3 de béton ont été nécessaires, ainsi que 820 tonnes d’armatures, 105 tonnes de profils métalliques, plus de 4.000 m2 de vitrage et 725 m3 de maçonnerie.
Le fût de la tour compte neuf côtés, afin de causer le moins de réflexions perturbatrices des ondes hertziennes. La tour repose sur un radier de 20 m de diamètre et 1,8 m d’épaisseur, et sur 26 pieux de 1,2 m de diamètre et de 6 m de profondeur, soit une charge maximale de 8.350 tonnes.
Source des informations :
Belgocontrol :  http://www.belgocontrol.be/
La dernière heure : http://www.dhnet.be/
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