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Pour le retour des Fouga à l’entrée du Musée de l’Air

L’année dernière les trois Fouga Magister aux couleurs de la patrouille de France qui servaient de figure de proue au Musée de l’Air et de L’Espace depuis plus de 25 ans ont étés déposés pour leur restauration devenue indispensable.
Après une expertise approfondie, il s’est avéré que l’état de corrosion des appareils était très avancé, à tel point que le projet de restauration a été remis en question. Finalement Le musée de l’air a pris la decision de leur substituer 3 modèles synthétiques identiques qui assureront le meilleur compromis de mise en œuvre, coût économique, durabilité et sécurité.
Pour mener à bien ce projet, le Musée de L’air et de l’Espace lance une campagne de dons privés qui prendra fin début juin. Vous aussi, quel que soit le montant de votre participation, vous pouvez contribuer à ce retour. Participez, votre nom sera cité sur le site Internet, à l’entrée du musée ou sur une plaque au pied des Fouga. Selon votre don vous aurez droit à deux invitations pour le salon du Bourget, des visites exclusives du Musée de l’air et de l’Espace, un déjeuner avec un astronaute et même 30 minutes de vol avec Catherine Maunoury directrice du musée de l’air et de l’espace et double championne du monde de voltige aérienne
Pour les foyers fiscaux français, chaque don donne droit, à une réduction d’impôt de 66% de son montant dans la limite de 20% du revenu imposable. L’excédent éventuel peut être reporté sur 5 ans. Un reçu, à joindre à votre déclaration de revenus, vous sera adressé peu de temps après réception de votre chèque (télécharger le formulaire de don sur cette page) ou que vous l’ayez fait par carte bancaire sur via MyMajorCompany. Vous pourrez d’ailleurs y voir en direct l’état d’avancement de la récolte des fonds. 
Ne tardez pas à participer à ce projet, il vous reste 72 jours !
Les 3 Fouga du MAE en 2008 ©Xavier Cotton

Le dernier vol de Discovery

Quelle n’a pas été la surprise hier à Washington de voir la navette Discovery sur le dos du Boeing 747 de la Nasa spécialement modifié  faire un survol à basse altitude à proximité du Capitole . Il s’agissait en fait de son ultime vol lui permettant de rejoindre son lieu d’exposition :  le Musée national Smithsonian de l’air et de l’espace, près de la capitale américaine.
Discovery a effectué son dernier vol dans l’espace en février-mars 2011 pour une mission de 13 jours vers la Station Spatiale Internationale (ISS) et a été la première des trois navettes à prendre sa retraite. Elle avait été lancée pour la première fois le 30 août 1984. Elle détient les records de jours dans l’espace (352) et d’astronautes transportés (246) 
Les navettes Endeavour et Atlantis, iront respectivement au California Science Center de Los Angeles et au Centre des visiteurs du Kennedy Space Center, en Floride. Challenger et Columbia ayant été détruites lors des catastrophes dont on se rappelle tous provoquant la mort de leur équipage. La navette Enterprise qui  n’a jamais été mise en orbite, puisque utilisée pour faire des tests expérimentaux sera exposée sur l’Intrepid Sea Air Space Museum à New York.
Liste des musées où une navette sera visible :
Musée national Smithsonian de l’air et de l’espace : http://www.nasm.si.edu
California Science Center : http://www.californiasciencecenter.org
Kennedy Space Center : http://www.kennedyspacecenter.com
Intrepid Sea Air Space Museum : http://www.intrepidmuseum.org

Journées Européennes du Patrimoine au MAE

© Philippe Lohat

18 & 19 septembre : Journées européennes du patrimoine
A l’occasion des Journées européennes du patrimoine, le Musée de l’Air et de l’Espace ouvre ses réserves et ses ateliers de Dugny, mais vous pourrez aussi découvrir la préparation de la future exposition correspondant au thème de cette année : « les grands hommes, quand femmes et hommes construisent l’histoire ». Le Musée de l’Air et de l’Espace a choisi de mettre en avant un héros :Charles Nungesser, l’as de la première Guerre Mondiale qui disparût avec François Coli lors de leur tentative de traversée de l’Atlantique en 1927. Le train d’atterrissage de l’Oiseau Blanc sera l’une des pièces maîtresses de cette exposition.

Samedi 18 et dimanche 19 septembre de 10h à 18h :

AU MUSÉE

  • Mini visites gratuites du Musée : « Sur les traces de Nungesser : la vie du pilote », « Les grands raids : les grandes traversées » « L’entre deux guerres » (hall E
  • Conférence « La recherche de l’Oiseau Blanc : Le faisceau de présomptions s’agrandit ! » 
  • Visites IT Mercure sur le parking avion.
  • Pour les 6-12 ans : Planète Pilote !

AUX ATELIERS DE DUGNY

Entrée et Navette GRATUITE
Horaires : 10h-18h au 1 rue de la 2ème DB – Dugny

Horaire de la navette GRATUITE  
au départ du Musée
10h30, 11h30, 12h30, 15h, 16h, 17h

Au départ de Dugny
11h, 12h,14h30, 15h30, 16h30, 17h30


Mermoz et le LATÉ 25 F-AIEH en Argentine

LATE 25 F-AIEH du Musée National de l’Aéronautique à Moron en Argentine ©Serge Delabarde
Je remercie Serge Delabarde (http://terra-incognita.over-blog.fr/) de m’avoir envoyé la photo de ce Laté 25 F-AIEH (cn603) exposé au « Muséo Nacional de Aéronautica » à Moron près de Buenos Aires  qui reste le seul exemplaire de Laté 25 existant au monde, restauré grâce à la volonté de passionnés argentins. Le Laté 25 est un Monoplan à aile parasol pourvu d’une cabine fermée pour 4 passagers et d’un poste de pilotage torpédo, il a été construit à 61 exemplaires, dont 16 machines ont été acquises par l’Argentine et 4 par le Brésil. C’est un des avions mythiques de la Ligne et certainement celui qui symbolise le plus la partie sud-américaine. Mis en service de 1927 à 1929, il contribua au succès de l’Aéropostale grâce à sa robustesse qui le rendit fiable et résistant à des conditions extrêmes. À la fin de l’aventure de la ligne, le gouvernement argentin racheta la plupart de ceux en service et continua à les exploiter jusqu’en 1939.
C’est avec cet avion   que Jean Mermoz et son mécanicien Alexandre Collenot durent se poser en catastrophe sur un plateau à 4200 mètres dans la cordillère des Andes en voulant explorer la route du nord par Copiapo entre Santiago du Chili et Buenos Aires en Argentine. Mermoz et Collenot décollent de Santiago et cherchent un passage dans cette barrière montagneuse. L’avion plafonne à 4200 mètres,  alors que les cols les plus accessibles sont au minimum à 4500 mètres. Mermoz finit par trouver un courant ascendant le long des parois qui aspire littéralement le Laté 25, lui permettant de passer un col à 4500 m, mais il rencontre des forts vents rabattant sur l’autre versant. Le moteur à plein régime est insuffisant pour contrer ces courants violents, rapidement, il repère une plate-forme couverte de neige, coupe le contact, cabre son appareil au niveau du sol qui s’immobilise entre des pierres après de multiples chocs. L’avion est assez abîmé et devant l’importance des dégâts qui semblent à première vue irréparables, train d’atterrissage faussé, un pneu éclaté, la béquille de queue arrachée, des longerons brisés, Mermoz et Collenot tentent de rejoindre la vallée à pied. Devant les difficultés de la marche à entreprendre, ils renoncent et reviennent à l’avion pour tenter les réparations. Voici le récit fait par Mermoz: « trois jours et deux nuits à 4000 m d’altitude par 16 à 26 degrés sous zéro, mourants de faim (mon mécano ayant oublié les vivres de réserve), réparant notre train d’atterrissage très légèrement affaissé d’un côté et notre empennage un peu arraché sur un rebord de rochers. Conduites d’eau éclatées par le froid. Réparations faites avec du chatterton, des bandes de toile et de l’émaillite. Décollage après 3 km de bonds par dessus trois ravins. Plafond de l’appareil maximum 4500 m. Régime plein moteur 1580 tours soit 330 CV. J’avais repéré à l’avance les endroits où je devais toucher les roues pour faire les bonds prévus. Tout s’est bien passé et lh40 après j’atterrissais à Copiapo, mon point de départ.
Trois jours après, je repartais pour Santiago puis, franchissant la Cordillère, je ramenais l’appareil à son point de départ… « 

Sources des informations :


GPPA Musée régional de l’Air d’Angers

GPPA Musée régional de l’Air  d’Angers  ©Xavier Cotton

 

Le terrain d’Angers Loire aéroport est une escale de premier choix pour les pilotes privés car vous pouvez y visiter le Musée Régional de l’Air GPPA où vous pourrez y voir avions et planeurs superbement restaurés. Ce musée est très vivant, on peut voir les bénévoles y travailler et une partie de sa collection est montré en vol lors des meetings, en particulier lors du meeting Anjou Ailes Rétro, le dernier week-end d’août.
Sur 3500m2 couverts vous pourrez y voir le René-Gasnier n°3 (avion du 1er vol en Anjou), des machines (avions, planeurs, pou du ciel, autogires) restaurées jusqu’à leur remise en vol, Des modèles réduits, mes moteurs du plus petit au plus gros (3500 CV), et des bénévoles en train de travailler à la restauration des ces machines et vous expliquant leur passion.Mais, on peut aussi y trouver un centre de documentation et commander des liasses de plan numérisées directement depuis le site : http://www.musee-aviation-angers.fr/

Pour les enfants de l’école primaire au lycée, il y a des ateliers pédagogiques adaptés.

Voici les tarifs et périodes d’ouvertures du Musée Régional de l’Air GPPA :

Du 16 avril au 15 octobre :
Du mardi au samedi, de 14h à 18h.
Le dimanche, de 15h à 19h.
Fermé le lundi.

En juillet et en août : ouvert aussi le matin, de 10h à 12h.

Du 16 octobre au 15 avril :
Uniquement le week-end, de 14h à 18h.
Tous les jours, de 14h à 18h pendant les vacances scolaires de la zone A.

Adulte : 5,00 €
Enfant, étudiant et handicapé : 2,00 €
Gratuit en-dessous de 10 ans


Tour de contrôle d’Angers Loire Aéroport

(photo collection privée Xavier Cotton)

Voici la tour de contrôle d’Angers Loire aéroport, terrain d’aviation qui a ouvert le 2 septembre 1998 sous le nom d’Angers-Marcé en remplacement de celui historique d’Angers-Avrillé qui datait de 1908. Malheureusement, celui-ci, encerclé par la ville et trop petit, ne permettait plus le développement des activités aériennes dans l’agglomération.

Ce nouveau terrain est une escale de premier choix pour les pilotes privés car vous pouvez y visiter le Musée Régional de l’Air GPPA où vous pourrez y voir avions et planeurs superbement restaurés. Ce musée est très vivant, on peut voir les bénévoles y travailler et une partie de sa collection est montré en vol lors des meetings. J »écrirai plusieurs article à son sujet dans les jours à venir


Plus d’info sur le DC3 F-GILV ou F-ODQL

Avant DC3 F-GILV F-ODQL Malta Aviation Museum (©Xavier Cottton)

Un grand merci à Yves TARIEL membre fondateur de FRANCE-DC3. qui m’a envoyé ces informations au sujet du DC3 exposé en extérieur au Malta Aviation Museum :

« Selon votre demande,voici quelques informations sur le DC-3 F-GILV. Il s’agit du c/n:32935 USAAF s/n:44-766O3 sorti d’usine le 24 mars 1945.
Ce DC-3 a été acheté en Afrique du Sud par la Ste.Hemet-Exploration de Toulouse,qui était spécialisée dans la détection magnétométrique . Elle louait aussi ses DC-3 pour d’autres missions de Travail Aérien (sauf Transport Public).
Il fut immatriculé F-ODQL fin 1984 et baptisé « Ville de Villandrie » (semblant n’avoir aucun lien avec le château de Villandry en val de Loire).Il participa au Paris-Dakar » fin 1984 et début 1985 comme transport de logistique.
Après divers chantiers aériens en Afrique, il tombe en panne à Tamanrasset (date inconnue) avec le moteur droit cassé.S’en suivit un imbroglio concernant les taxes aéroportuaires jugées prohibitives de telle sorte que ces taxes additionnées à la panne et la logistique nécessaire à la réparation,son propriétaire préféra l’abandonner.
S’en suivit quand même son retour en France grâce à Mr.Gilbert Vila garagiste à Nîmes. Mr.Vila convoyait des voitures vers l’Afrique Noire.Or, il découvrit le DC-3 abandonné. Étant lui-même pilote,il décide de le récupérer. Le dossier fut ressorti.Mais entretemps le DC3  » avait subit des avaries. Par grand vent une palette avait endommagé l’avion. Mr.Vila contacta Hémet-Aviation qui ne voulait plus entendre parler de cette histoire,et l’offrit Mr.Vila,qui par la même occasion héritait du dossier épineux.En fin négociateur,faisant état des dégâts sur l’avion,il réduisit la note demandée qui devint symbolique à condition d’évacuer l’avion le plus rapidement possible.Il acheta un moteur,et avec une équipe de bénévoles,il alla remettre le DC-3 en vol à Tamanrasset.C’était en décembre 1989..
Enfin rentré en France,à Nîmes-Courbesac, il est classé « Privé » et immatriculé F-GILV (pour GILbert Vila).Il le fit voler à l’aide de Sponsors. Parmi eux, »Afrique Air Solidarité » pour un transport à caractère humanitaire à destination de Bamako.Mais j’ignore si ce vol a été effectué.Il réalisa probablement d’autres vols,mais je ne les connais pas.
Connaissant personnellement Mr.Vila, il m’invita à voler dans son DC3. Avec lui,son épouse et 8 ou 9 autres amis de Mr.Vila nous décollâmes de Nîmes-Courbessac le 17 novembre 1990 pour Las-Palmas aux îles Baléares. Il était co-pilote.Le CDB était Jean Claude Tornier « cocher « Air France ». Nous rentrâmes le lendemain après avoir rendu visite à la Cie Aero-Market propriétaire de 3 ou 4 DC-3. Malheureusement, Mr.Vila se tua dans le crash d’un MS-733 à Nîmes-Courbesac.Son épouse vendit l’avion, semble-t-il en Autriche avec une immatriculation US (N48ME). Il faut savoir qu’à cette époque nous étions en pleine guerre en Yougoslavie,et des rumeurs ont courues selon lesquelles ce DC-3 aurait effectué quelques vols « spéciaux » en Bosnie!!.Il aurait ensuite reçu d’autres immatriculations étrangères avant d’être saisi par je ne sais qui. Toujours est-il qu’il a été vendu aux enchères, et acheté par le muséum de Malte ou vous l’avez vu. Peut-être en saurez-vous plus là-bas. Et si vous obteniez des informations, celles-ci m’intéressent…… »


Si le DC3 avion mythique vous fait vibrer je vous conseille vivement ce site : FRANCE-DC3


Spitfire MK IX EN199

(photo collection privée xavier cotton)
Voici le Spitfire Mk IX EN199 exposé au Malta Aviation Museum. Il fit son premier vol le 28 novembre 1942 à Eastleigh. L’avion vola sur le front nord africain dès le 29 juin 1943 piloté par le Wing Commander R.Berry DFC (d’ou les initiales peintes sur le fuselage).
En 1992 Mr Ray Polidano, le directeur du musée, commença la restauration du Spitfire (l’avion est nommé Mary Rose en l’honneur de sa femme) dans son garage puis le déplaça dans une cabane qui fait maintenant partie du Malta Aviation Museum . Pour plus d’informations sur la restauration de ce Spitfire allez voir ces photos.


Insigne sur Hurricane Z3055

(photo collection privée Xavier Cotton)

Qui pourrait me donner plus d’informations sur cet insigne peint ( Top hat skull smoking) sous les pipes d’échappement de ce Hurricane (Z3055) du 46 Sqd de la RAF exposé au Malta Aviation Museum?
Voir article ci-dessous.


Hurricane MkIIA Z3055 Malta Aviation Museum

(photo collection privé Xavier Cotton)

Voici l’histoire simplifiée du Hurricane MkIIA que l’on peut voir au Malta Aviation Museum. Le 4 juillet 1941, il décolla du terrain de SAFI. Pour une raison inconnue (probablement un feu moteur) l’avion s’ecrasa en mer et le pilote, le Sgt Thomas Hackston du 46eme Sqd de la RAF, fut tué. le chasseur fut localisé par le plongeur, David Schembri à 40 mètres de pronfondeur près des côtes maltaises (Iz-Zurrieq) en 1993. Il fut remonté deux ans plus tard le 19 septembre 1995. Pour plus d’informations, lisez l’histoire de sa restauration toujours en cours.


DC3 (F-GILV) au Malta Aviation Muséum

DC3 F-ODQL/F-GILV exposé en extérieur au Malta AIr Muséum en 2009 (©Xavier Cotton)
Ce Douglas Dakota DC3 (cn 16187/32395) exposé depuis le 28 mars 2006 à l’extérieur du Malta Aviation Museum à Ta’Qali près de l’ancienne base de la RAF (Ta’Qali Airfield) à une très longue histoire depuis sa livraison par l’USAF (44-76603) au 436 Sqd de la RAF (KN462) en mars 1945 (basé au Sri Lanka) comme en témoigne la succession d’immatriculations et de propriétaires (Aero Transport data Bank) : d’abord G-AMTB (British Eagle Int’L AL), VP-YKM (Central African AW), 7Q-YKM (Air Malawi), ZS-EYO (Air Cape),F-ODQL (Hémet Exploration), D-CDST (Reise und Rundflug), F-GILV (Hémet Exploration, Gilbert Villa Minerve Industries Paraclub, Afrique Air Solidarité en 1991 d’ou certainement l ‘autoccolant du Paris-Dakar toujours visible à droite de la porte cargo), N48ME (Warmair Inc Trustee).
Sous l’immatriculation 3C-JJN (usagers privés en Guinée Equatoriale), il décolle de Malte pour Alger le 7 mars 1995, mais après une heure de vol il fait demi-tour suite à un problème moteur,. Malgré une série de tests moteurs réussis en avril 1995, ce sera son dernier vol.
Il sera ensuite immatriculé T9-ABC pour des usagers privés en Bosnie-Herzégovine mais la transaction fut finalement abandonnée. NewCal Aviation l’acquit finalement sous l’immatriculation N47ME auprès de Medavia (Mediterranean Aviation Co.Ltd) qui en faisait don au Malta Aviation Museum dans le but de l’exposer. Ce DC3 est complet à 100% incluant les moteurs, l’instrumentation complète et les radios et si les ailes sont démontées c’est qu’il fut transféré par la route de Luqa Airport à Ta’Qali. Il fallut neuf heures et ce fut fait de nuit pour gêner le moins possible la circulation routière (Cliquez ici pour voir les photos du transfert).

 


Journées Européennes du Patrimoine au MAE

20 & 21 septembre : Journées européennes du patrimoine
A l’occasion des Journées européennes du patrimoine, le Musée de l’Air et de l’Espace ouvre ses réserves et ses ateliers de Dugny.
Le public pourra découvrir l’atelier de restauration de l’hydravion Sunderland Bermuda qui accueillera un chantier d’insertion et de formation aux métiers de l’aéronautique à partir du 6 octobre 2008.
Les restaurateurs du musée seront sur place pour présenter leur travail et les techniques de restauration du patrimoine aéronautique.
Entrée GRATUITE
Horaires : 10h-18h au 1 rue de la 2ème DB – Dugny
Navette GRATUITE à partir du musée Parking